Par Marie-Madeleine
Le
retour de la déesse ne veut pas dire qu’elle descendra des cieux avec une épée
enflammée. Il signifie qu’elle incarne le cœur et l’esprit des femmes et que
celles-ci trouvent maintenant le courage d’exprimer leur vérité et de poser les
gestes qu’elles croient nécessaires à l’instauration d’un changement.
Dans
le sud de la France, au pied des Pyrénées, se trouve une région unique. Comme
dans tous les endroits de la Terre, il y a là de subtils canaux énergétiques
pour la circulation de l’énergie planétaire partout dans la campagne. Ce sont
les méridiens du corps de la Terre.
Dans
cette région, celle du Languedoc, le réseau énergétique est très complexe. La
région possède une longue histoire remontant à l’époque païenne. Il y avait là
autrefois des temples d’Isis, la Mère cosmique. Plus tard, lorsque la
chrétienté s’y implanta, des églises furent construites sur plusieurs de ces
sites énergétiques païens. Dès lors, les mystères féminins furent recouverts
par la nouvelle religion dominée par les mâles. Et les siècles passèrent.
Voici
venu le temps d’une remontée du féminin sacré, cette fois-ci en équilibre avec
le masculin. Ce ne sera ni le matriarcat ni le patriarcat, mais les deux dans
un équilibre mutuel, symbolisés en alchimie par le soleil et la lune en parfait
équilibre réciproque. Voici la naissance de l’androgyne sacré, l’équilibre
parfait du masculine t du féminin. Quand cela se produit, la dimension mystique
de l’être humain se révèle. J’ai donc demandé à Thomas de chanter dans la
petite église afin d’ancrer une énergie qui libérerait le féminin sacré en
invoquant en quelque sorte la déesse endormie. Ce fut fait par des sons,
envoyés par moi en lui. Ces sons furent reçus par la terre, par ces lignes
d’énergie et ces vortex de lumière terrestre.
Si
j’ai demandé à Thomas de chanter dans la petite église, c’était pour des
raisons personnelles, car j’ai un problème avec l’Eglise de Rome. Moi qui fus
l’épouse de Yeshua ainsi que sa plus proche disciple, j’ai été éclipsée.
Pierre, le « roc sur lequel fut bâtie l’Eglise de Rome », ne pouvant
tolérer les femmes de pouvoir, ma position et mes enseignements furent occultés
par la montée du patriarcat.
Lorsque
l’Eglise de Rome brûlait des femmes sous l’Inquisition en accusant ces
guérisseuses d’être des sorcières, il s’agissait d’une attaque directe contre
les méthodes de guérison païennes qui employaient les énergies terrestres, et
ces méthodes constituaient mon héritage. Mes méthodes de guérison n’utilisaient
pas uniquement la lumière d’autres mondes, mais aussi celle de la terre :
les énergies terrestres, les herbes, les huiles.
Ainsi,
quand l’Eglise de Rome entreprit la purification de ce qu’elle appelait le
« mal », il s’agissait d’une attaque directe contre le féminin sacré.
Maintenant, avec le temps, le vent a commencé à tourner et j’ai un compte à
régler avec l’Eglise. C’est pourquoi mon cœur s’est profondément réjoui quand
Thomas a chanté dans l’église qui porte mon nom. Son chant consacré à la déesse
rendait honneur au féminin sacré sur les lieux mêmes qui lui étaient consacrés
autrefois et qui lui furent volés par l’Eglise. J’y ai donc pris un plaisir
très particulier. Avant tout événement spirituel important surgissent des
obstacles qui tentent de l’empêcher. Lors de la Cène, quand Yeshua livra ses
derniers enseignements avant sa crucifixion, il n’y avait que des hommes autour
de la table. J’étais la seule femme présente, et c’est un homme, Judas, qui l’a
trahi.
Au
moment où Tom s’apprêtait à aller semer le germe de la libération du féminin
sacré dans une église catholique romaine, symbole suprême du patriarcat, il était
assis à une table en compagnie de femmes uniquement. Survint alors une femme
qui tenta de le distraire en instillant de la peur dans la situation. Ce fut
suffisant pour que Tom se sente catapulté dans le temps jusqu’à l’époque où
l’on avait réellement peur de l’insurger contre l’Eglise. Cette époque remonte
à plusieurs siècles. Dès lors, Tom opérait dans deux dimensions temporelles.
L’une était le présent et l’autre était le passé, qui comportait ses souvenirs
de l’Inquisition, et il se débattait donc entre deux époques. Il a fallu la
femme qu’il aime, et qui est aussi une femme de pouvoir, pour le ramener à la
réalité présente et lui rappeler ce qu’il était venu faire, soit chanter dans
cette église pour y semer le germe de la libération du féminin sacré, parce que
moi, Marie Madeleine, je le lui avais demandé. Ce qu’il faut retenir ici, c’est
qu’une femme a tenté de le distraire et qu’ne femme de pouvoir qu’il aime et en
qui il a confiance l’a ramené au présent à travers le labyrinthe des souvenirs
et des émotions d’une vie antérieure.
Venons-en
donc maintenant à ce qui s’est passé dans la petite église et à la première
raison pour laquelle ce fut important. A l’exception de Thomas, tous les
personnages principaux étaient des femmes. Je dirais qu’il était important pour
Thomas de chanter dans cette église où se trouvaient tant de forces apparemment
opposées. Quand il a chanté, il s’est pleinement investi de lui-même,
c’est-à-dire du Soi supérieur, et il a chanté pour moi et pour les femmes avec
toute la force de son être. Il l’a fait dans une église patriarcale, et ce,
même s’il avait servi l’Eglise mère dans le passé. Grâce à l’intervention de
Judi, j’ai reçu ce que j’avais espéré pour ma propre instruction, pour le
plaisir d’apprendre… J’ai appris que Thomas pouvait se lever et changer malgré
une énorme opposition extérieure. Grâce à l’intervention de Judi, la
libération du féminin sacré fut implantée dans une géométrie centrale.
Ce
fut donc pour moi l’achèvement de ce cycle énergétique, une note dans les pages
du temps pour célébrer le retour du féminin sacré et sa montée jusqu’à son
équilibre avec le masculin. La seconde raison pour laquelle c’était important,
c’est que le germe de cette libération fut semé dans une église catholique
romaine, et énergétiquement dans tout l’édifice à l’éveil et au changement tous
ceux qui appartiennent à l’Eglise. Je crois fermement que ce germe sera comme
un grain de sénevé ; insignifiant sur le moment, il croîtra en force et en
protée. C’est la déesse elle-même sonnât le clairon contre le château du
patriarcat ; « Le temps est venu de partager votre pouvoir.
Partagez-le avec équité, sinon vous le perdrez ».
Ce son
fut le germe de la libération du féminin sacré, lequel germe fut semé dans le
sol d’une église catholique romaine érigée sur les ruines d’un temps consacré à
la déesse. Concluez-en ce que vous voulez.
Extrait de 2012 –
Le Grand Rassemblement – Propos de Kryeon, Marie-Madeleine et les Hathors
recueillis par Martine Vallée. Invités spéciaux : l’archange Michaël, le
Haut Conseil de Sirius. Aux éditions Ariane – Page 243.
tu connais rien à rien, elle va tous vous raser car vous êtes absolument tous des traîtres. pas la peine de parler d'Hathor d'Afrique du nord que vous méprisez. vous êtes tous illogiques, fourbes, tarés et voleurs et menteurs, . bye bye .
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