Nombre total de pages vues

mercredi 13 août 2014

Conséquences tragiques de l’asservissement des femmes




Au cours de sa marche en tant que conquérant, Ramtha fut amené à connaître une civilisation étrange qu’il décrit comme la Race Bleue. Dans cette ville,  les femmes étaient considérées sans âme, comme c’était le cas chez les Lémuriens en Atlantide. Lorsque, après deux ans, Ramtha entreprit finalement le siège de la cité, il se trouva face à un ennemi inattendu qui le prit complètement par surprise. L’oracle de la cité conduisit une attaque bien plus sinistre et destructrice que la terrible armée du Ram et leurs armes. L’oracle, vêtu de robes et d’amulettes visant à l’intimidation, proclama une malédiction, les condamnant à une mort éternelle s’ils massacraient les habitants de cette cité. Seul le viol des vierges du temple leur permettrait de vivre de nouveau.

Ils accordèrent foi aux paroles prononcées par l’oracle et violèrent les vierges, la peur les rendant de plus en plus pervers et craintifs. Cette expérience eut d’énormes conséquences pour toutes les générations futures car elle créa un déséquilibre qui fut enregistré dans l’âme, une affaire inachevée qui fut transmise aux générations à venir par l’intermédiaire de l’ADN. Désormais, la peur de la mort et le doute avaient une emprise sur l’âme. La connaissance ancienne de notre véritable nature et de nos origines dans le Néant fut remplacée par la croyance que la vie peut être terminée à jamais au moment où périt le corps physique.

L’empire perse fut bâti sur le principe de l’asservissement des femmes et des enfants de même que sur celui de l’exaltation des hommes. Abraham, le père d’Israël, était Perse d’origine. L’abus et la répression des femmes sont encore d’actualité aujourd’hui dans certaines formes de divertissements, la mode, les traditions sociales et de manière plus évidente encore dans la pornographie et les gens qui fantasment sur les femmes avec vulgarité.

La chute des femmes fut tellement généralisée dans l’histoire qu’il n’est nulle part fait mention de femmes devenues Christ comme Bouddha, Yeshua ben Josèph ou Apollonius de Tyane ; aucune tradition populaire n’en parle ; Toutes les religions et traditions culturelles majeures du monde, en Orient comme en Occident, font état de la répression des femmes et de leur infériorité. Elles y sont peintes sous les traits de maîtresses ou de servantes d’hommes soi-disant saints ou même de déités. Leur valeur et leur vertu furent réduites à leur sexualité et à leur virginité plutôt qu’au pouvoir de leur esprit et de leurs facultés spirituelles. Ce n’est que récemment que les femmes eurent accès à l’éducation et à la connaissance scientifique. 

Ramtha explique que l’événement le plus dévastateur qu’ait jamais connu l’humanité ne fut ni la guerre ni un quelconque holocauste, mais la chute des femmes. Si ces dernières n’avaient jamais perdu leur statut d’égalité, l’évolution de la conscience humaine aurait déjà atteint la superconscience au lieu de la décadence.

Finalement, aussi sombre que soit devenue la sage de l’histoire humaine, l’évolution de la conscience n’a cessé de poursuivre son intention originelle de faire connaître l’inconnu. Les événements de notre lointain passé que nous relata Ramtha dans son livre : "La Redécouverte de la Perle de la SagesseAncienne"  ) reflètent parfaitement le monde actuel. De même que le chaos et les conflits fournirent à Ramtha les circonstances qui lui firent se poser les grandes questions, le voyage conflictuel et compétitif de la conscience humaine favorisa la naissance inattendue non seulement de terribles tyrans, mais aussi de grands maîtres et de grands Christs.

La nature élimine la décadence car cette dernière va à l’encontre du continuum de la vie, qu’elle soit décadence affirmée ou fantasme secret et silencieux seulement. Ceci n’est pas un châtiment ; c’est une évolution.

L’amour de soi et la réhabilitation des femmes en tant que Dieux souverains sont les clés du changement et de la liberté véritable de la race humaine.

Ramtha explique le mystère qui se cache derrière les anciennes clés d’Enoch, un concept considéré au-delà de toute description et de toute compréhension. Les deux clés qui ouvrent les sept sceaux et mènent à l’illumination sont le yin et le yang, le positif et le négatif, l’homme et la femme en chacun. Lorsque ces polarités atteignent une harmonie parfaite, l’esprit s’épanouit en une perle de sagesse.

Quelle est cette perle de sagesse ancienne ? C’est la beauté sans rival de notre soi véritable, notre nature divine de Dieux créateurs dans un voyage évolutif de l’expression et de la conquête de soi.



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire