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mardi 29 septembre 2015

L’alchimie du sourire




Un secret de femme pour nourrir les humains ! 



Le sourire est un langage universel ; il nous permet d’entrer en communication avec n’importe qui, avec tous, et surtout avec nous-mêmes. Quand j’allaitais ma fille, je ressentais tellement d’amour pour ce petit être blotti contre mon sein, qu’un sourire s’inscrivait sur mon visage ; de même, quand elle me regardait, le sourire naissait sur mon visage ; c’était l’expression de l’amour qu’elle éveillait en moi ; je n’avais pas à « créer » ce sourire, il était là, comme une évidence. Pour cette raison, je dis toujours que les enfants sont de grands maîtres ; ils sont capables de nous faire sourire en toute circonstance. Je ne sais pas pour vous, mais je suis incapable de ne pas répondre au sourire d’un enfant ; c’est tellement pur, puissant. Le sourire d’un enfant, c’est un coup de baguette magique dans la vie de la personne qui le reçoit ! 


La magie d’un sourire, c’est qu’il est gratuit et dans notre monde mercantile cela est un vrai trésor ; il existe de nombreux sourires :

Le sourire de bienvenue est celui qui me met à l'aise quand j’arrive chez quelqu’un, quand je rencontre une personne, même si nous ne nous connaissons pas ; c'est aussi le sourire de politesse ; il n'est pas intime mais ouvert sur notre environnement. C’est un accueil, la promesse d’échanges. 


Le sourire complice me permet d’exprimer une appartenance, une connivence, une entente, une complicité ; par exemple, dans une soirée entre amis, il m’est arrivé, alors que la discussion va bon train, d’échanger un regard complice avec une amie, quand une autre exprime son avis ; vous savez, c’est ce sourire qui nait d’un regard, et qui me fait penser « je pense comme toi, on ne dit rien, mais nous deux, nous sommes sur la même « longueur d’ondes » .


Le sourire séducteur est celui qui va désarmer et en même temps rassurer son destinataire ; son objectif est de mettre l'autre en confiance et le rallier à sa cause, que celle-ci soit professionnelle ou personnelle. Je reprends une situation avec un enfant : qui mieux qu’un enfant peut nous séduire pour obtenir ce qu’il désire ? Nous faire le plus beau des sourires, et, nous faire craquer !


Pour se donner de l’assurance , le sourire audacieux est un sourire « obligé » qui nous aide à retenir et à mettre en avant nos succès, nos qualités et nos aspects positifs ; il nous aide à aborder une situation stressante en étant plus détendu. Mon premier métier a été professeur ; quand j’ai commencé, j’avais des élèves à peine plus jeunes que moi, et c’est sûr que j’ai dû utiliser ce sourire pour mes entrées en cours ; j’avais à coeur de les respecter mais aussi de me faire respecter ; je peux dire que dans mon souvenir ces sourires étaient plutôt brefs, très retenus, et laissaient rapidement place au sérieux du professeur. 


Et il y a le sourire gêné, c’est celui que nous faisons quand nous venons de faire une erreur, ou d’agir avec doute, il arrive comme une excuse ; la honte submerge, le désarroi envahit, alors un sourire gêné apparaît. Le sourire met en confiance, il permet la détente. Le meilleur pour moi est le sourire de contentement ! Indistinctement, il accueille ceux et ce que l'on aime, il exprime le plaisir, le bien-être. 


Alors, combien de fois souriez-vous dans la journée ? Difficile à dire ! Et de quelles façons souriez-vous ? Est-ce pour exprimer le plaisir ? Le contentement ou...? Pour les taoïstes le sourire est la voie du pardon et plus particulièrement la pratique du Sourire Intérieur ! La pratique du sourire intérieur est une méditation aisée et joyeuse qui entraîne le système nerveux à une relaxation profonde. En tournant les sens vers l’intérieur, en se souriant à soi-même, en souriant à nos organes, nous pouvons réduire le stress et augmenter notre force vitale ! Sourire à soi-même, à nos organes, nous permet de développer la gratitude envers notre corps. Cela nous amène à être émerveillées par cette machine fabuleusement complexe et par son activité incessante dont l’objectif ultime est de nous maintenir en vie et en bonne santé ! Maître Mantak Chia nous dit : « La voie taoïste du pardon est la pratique du Sourire Intérieur. Lorsque vous sentez les émotions négatives monter, ne jugez pas les hommes ou les situations. Soyez à l’écoute de vous-même, en contact avec votre nature profonde, et utilisez la méditation du Sourire Intérieur pour transformer vos sentiments négatifs en énergie positive... »


Le sourire intérieur peut s’exprimer de 2 façons : vers soi à soi et de soi à soi ... là, je sens que je dois préciser...! • vers soi à soi : je souris à mon corps, à mes cellules, avec gratitude ; je leur souris en les remerciant de maintenir mon corps en bonne santé, de me permettre de vivre mes expériences de vie, en confort ; • de soi à soi : mes cellules me sourient, je les ressens détendues et heureuses de me « servir » ; là il n'y a pas de volonté, je reçois le sourire de tout mon être : c'est le sourire intérieur ; ce contact nous rend heureux, serein ; je vous le souhaite ! 


Alors... sourions ! Se placer face à un miroir et se sourire comme l’on aime sourire à quelqu’un que l’on aime, à sa meilleure amie. Si cela parait difficile, fermer les yeux et imaginer cette amie devant soi et le plaisir de la rencontre. Sourire à cette pensée. Maintenir ce sentiment en ouvrant les yeux face au miroir. Se remercier pour ce sourire. Maintenir le sourire et ressentir comme c’est bon ! Puis reproduire ce sourire face à d’autres : à la maison, au travail, dans la rue... Et appréciez tous ces sourires qui vous reviennent ! Voyez comme le monde est différent ! ! Changez ! Souriez ! ! ! 



Benj DROUET Instructrice certifiée par Me Mantak Chia (Sénior) en sourire intérieur, Benj.drouet@infonie.fr - www.beaute-et-tao.com
« Sexualité féminine - le secret des femmes papillons » de Benj. Drouet-Rousseau Ed Medicis 

La femme est l'avenir de l'homme

  
Chaque femme porte en son sein la vie, l'amour et la tendresse de la mère qui sommeille en chacune d'elle. Elle transmet au monde les générations futures. La femme est la représentation de notre mère la terre, celle qui nous donne la vie et qui nous donne aussi chaque jour les fruits de la terre, la nourriture, l'eau et toute sa magie.




La femme symbolise la passion, l'éducation, le foyer, l'amour, la fécondité, elle est notre mère, notre sœur, notre grand-mère et la Déesse dont nous sommes les enfants.


Elle est le porte-parole de la sagesse, celle qui porte les combats pour la justice.

Tu es la femme source de toute vie,
tu es l'âme qui nous nourrit,
tu es la sagesse et la tendresse,
le souffle bien veillant et sa caresse.

Tu es la femme remplie d'amour,
celle qui accourt pour nous porter secours,
tu es le sang qui coule dans nos veines,
celle qui soigne et guérit nos peines.

Tu es femme, amie, maîtresse et confidente,
pleine de passion et toujours aimante,
tu es ce lien entre la vie et la beauté du monde,
toi, femme, mère, nourricière et féconde.

Depuis la nuit des temps la femme garde une place essentielle dans le cœur des hommes et sur cette terre, tour à tour régisseuse, femme, maman ou mère attentionnée, femme du foyer, guérisseuse, chef de clan, grande prêtresse, chamane, voyante, sorcière ou déesse, la femme est tout. Dans la Grèce antique, avant la Mythologie c'est une seule et unique déesse que le peuple grec vénérait avant que se greffent les autres dieux de la Mythologie que nous connaissons afin de rassurer et donner une personnification aux éléments autour d'eux.

La femme représente aussi le lien du sang, la maternité, la lune, la douceur, la spiritualité, la nature, la vie. On la retrouve souvent dans les milieux de l'enfance, de la médecine, de la maternité, du soin, de la beauté, de la spiritualité, des métiers de l'aide à la personne et en contact avec l'humain, en lien avec le don de soi, de l'humanitaire.

Les femmes ont un grand pouvoir d'adaptation, de séduction, d'engagement, de grande force de persuasion, elles ont souvent été mises au second plan cachant ainsi tout ce qu'elles avaient fait et voulant en donner le mérite aux hommes avec qui elles étaient alliées. Cela à cause, notamment, des religions qui leur ont toujours donné des rôles minimes ou de la politique. C'est pour cela qu'elle se sont battues pour montrer qu'elles ont toutes les qualités en tant que femme pour faire changer les choses et avoir une autre vision pour faire avancer ou changer les mentalités.

Au cours de l’histoire, elles ont ce rôle de souveraine, maîtresse et amante comme Cléopâtre, régisseuse et femme de talent dans l'art de la manipulation comme Catherine de Médicis, d’héroïne et sauveuse comme Jeanne d'Arc, chercheuse et savante comme Marie Sklodowska épouse de Pierre Curie qui découvre la radioactivité.

Simone Veil femme politique française qui s'est engagée dans le combat pour le droit des femmes.

Des auteurs, femmes aussi célèbres, fortes ou de pouvoir se sont également engagées dans différents combats, comme Françoise Dolto, pédiatre et psychanalyste française qui se consacre à la psychanalyse des enfants et sur l'image inconsciente du corps ; mais d'autres comme Olympe de Gouges, Simone de Beauvoir, la comtesse de Ségur...

Un grand nombre de représentations de femmes ou de déesses s’échelonnant au long de l'histoire a été découvert par les archéologues dans plusieurs civilisations.

La femme est omniprésente dans l'histoire, dans le présent et le sera aussi dans le futur, elle est pourtant moins mise en valeur que ses homologues masculins mais elle fait partie aussi du changement dans l'humanité, nous avons tous en nous, homme ou femme cette part de féminité. Et dans l'art et la créativité, n'est-il pas vrai que les hommes qui exploitent toute leurs sensibilité féminine transmettent à travers leurs arts toute la beauté du monde ? Et la femme artiste, n'a-t-elle pas le pouvoir de nous ouvrir les yeux sur un autre monde de douceur, de rêve, de poésie et de magie ?

Je suis un homme qui écrit ces paroles, j'aime et je vénère la femme, elle m'inspire et m'a donné la vie, elle est le lien de l'univers et de la terre notre mère. Elle incarne pour moi la féminité, la sagesse et la spiritualité.

Jérôme Largeau
Passionné d'art, d'ésotérisme et de spiritualité.
catsilver@laposte.net

samedi 26 septembre 2015

Les valeurs féminines, une clé pour notre humanité ?



Comment, dans un contexte fort de bouleversements et de paradoxes, les valeurs féminines et leur puissance, telles que l’amour, la douceur, la tendresse, la vulnérabilité… peuvent nous donner des clés pour améliorer nos relations et nous permettre d’évoluer en tant qu’êtres humains dignes, conscients et responsables.



Et si la féminité était la quête de notre époque ? La moitié de l’humanité est concernée par cette démarche. Et l’autre ? N’avons-nous pas tous les deux polarités - féminine et masculine - en chacun de nous ? Alors si chacun(e) pouvait se questionner sur ses valeurs profondes, ses ressentis, sur ce qui le/la meut de l’intérieur, du fond de ses tripes, dans son cœur, son corps et dans l’ombre de son esprit, ici et maintenant, nous pourrions nous ouvrir de plus en plus à cette part féminine que nous portons tous.

Et j’ose imaginer que les femmes et les hommes partant à la découverte de leur propre profondeur pourraient modifier la donne dans les relations hommes-femmes et par là même dans l’équilibre du monde...

Imaginons, cette joue, douce et veloutée d’un jeune enfant qui se tend pour accueillir un tendre bisou, enlace notre cou et nous serre fort de ses bras, et notre cœur s’emplit d’émoi et fond. 

Imaginons cette main délicate et fine posée sur une épaule masculine tendue qui se relâche, et notre souffle s’apaise et se pose tranquillement au creux de notre plexus.

Imaginons ce ventre rond et plein d’une nouvelle joie à venir et cette main carrée, puissante qui apprivoise les mouvements internes, et nos yeux s’embuent un instant, dans la magie de la vie.

Imaginons cette voix qui fredonne au chevet du souffrant, la main fraîche sur son front, notre douleur se dissipe, et notre respiration s’allège.

Imaginons ces femmes qui se réunissent pour partager leurs secrets, leurs intuitions ou leurs peines dans la sororité et la simplicité, et notre tête se redresse, nos épaules se dégagent, et la joie monte en nous.

Imaginons ces danses de cérémonies, dans la joie et les rires et notre pas devient plus léger, notre hanche ondule.

Imaginons cette amie blessée qui ose dire à l’autre à quel point son cœur a été meurtri et qui dans sa sagesse et sa générosité, lui pardonne, notre cœur bouleversé fait couler nos larmes.

Imaginons ces hommes réunis, se tenant par les épaules qui s’entraident et se soutiennent dans leur puissance et leur vulnérabilité et notre ventre s’agite.

Imaginons cette main forte et douce qui nous relève le menton afin que cette bouche se pose délicatement sur nos lèvres et notre sexe palpite.

Imaginons, ces courbes et ces creux, cette forêt sombre et mystérieuse, cette peau soyeuse et des baisers la parcourir lentement et délicatement, et notre être entier se met à vibrer.

Imaginons, Imaginons, Imaginons. Et si tous ces gestes, ces attentions, cette présence, cette conscience, cette lenteur, cette sensibilité, cette ouverture, cette rondeur, cet amour étaient bien réels ? Oui, il nous appartient, chaque jour de cultiver ces dimensions, ces valeurs, ces forces, de les répandre et les partager. 

Nous, femmes, percevons, ressentons, vivons, au cœur et au creux de notre être ces énergies. Chaque mois, notre corps et notre être se préparent au miracle de la création d’un nouvel être, de la vie et nous sommes ainsi faites que nous avons cette capacité à partager cela avec l’autre, homme, femme, enfant, animal, nature. Nous sommes dépositaires de la sagesse et responsables de sa transmission, par l’éducation, la communication et la relation.

Parce que nous, êtres humains, sommes des êtres de relation, de lien, d’attachement, de partage, d’échange. Nous avons besoin d’être aimés, regardés, touchés, accueillis, entendus, reconnus, nourris, câlinés, protégés, rassurés tout au long de notre vie et avons souvent été carencés dans ces besoins fondamentaux à tel point que ce qui semble si simple, l’est rarement. Nous devenons maladroits, inquiets, angoissés, impuissants, durs ou démunis par rapport à l’autre lorsque l’on se confronte à la différence, à l’inconnu, à l’incompréhension et à nos peurs. 
Pouvons-nous apprendre ? Apprendre à être plus réceptif, plus doux, plus tendre, plus présent ? 

Oui, nous femmes pouvons apprendre parce que nous le savons déjà et les hommes aussi, le savent également. Nous tous le savons car c’est inscrit dans notre cœur. Alors, osons une main posée, un regard tendre, un léger sourire, un mot doux. Ainsi notre cœur chavire, s’ouvre et renaît à la beauté et à la vie. La danse fluide et légère peut reprendre, comme une valse à trois temps, donner-recevoir-aimer, pour célébrer la vie.

À l’aube d’une nouvelle ère, d’une humanité plus consciente, parce que son avenir en dépend, nous avons à nous tourner vers l’autre, dans la confiance et l’amour. Les manifestations du 11 janvier en témoignent, c’est dans l’amour et le partage que nous nous retrouvons, que nous nous reconnaissons comme êtres humains dignes et vivants, debout et fiers, loin de la guerre, de la violence, de la barbarie. Le lien véritable d’être à être, de cœur à cœur, est nourri par des forces puissantes que sont l’amour, l’amitié, la tendresse, la douceur, la compassion, la chaleur, l’abandon de soi, la conscience et l’intimité. 

Alors, traversons nos peurs, passons au-delà de nos blessures, de notre orgueil et nos différences, pardonnons et osons cette intimité qui nous rend plus authentiques et vulnérables. Nous pourrons ainsi nous dévoiler peu à peu, en confiance, et montrer à l’autre qui nous sommes vraiment, dans l’ouverture du cœur et la simplicité, si l’on reconnaît que l’autre fait de même du mieux qu’il peut. Ainsi, nous pourrons grandir ensemble, nous ajustant dans le respect mutuel et l’altérité et construire un monde meilleur.

Carlotta Munier
Gestalt-thérapeute et Sexothérapeute, animatrice de stages de développement personnel, de 
groupes de femmes et de stages de Tantra.
Auteure de « Sexualité Féminine : vers une intimité épanouie » - Éditions Le Souffle d’Or, avril 2015.
sexotherapie13@orange.fr

Retour à la Matrice originelle



Source de vie, principe créateur… La matrice se révèle multiple, contenue et contenante. Et si la dynamique d’évolution des multiples matrices vers l’Ultime, celle qui contient toute vie, expliquait les bouleversements du monde actuel comme un passage nécessaire…?



La Matrice, celle qui donne forme Matrice, mère et contenant qui donne forme à toute chose, à toute vie dans notre Univers. Tel le verbe qui incarne l’idée, la toile qui supporte les couleurs du peintre, la partition et l’orchestre qui animent la musique du compositeur.

Et bien sûr le ventre de notre Mère qui nous accueille, nous héberge durant les mois nécessaires à notre incarnation dans le physique. La Matrice serait tout à la fois le contenant qui maintient et crée la forme, et la structure qui permet au contenu d’être, de naître, d’apparaître, d’être visible. La Matrice est profondément reliée au principe créateur qui émerge d’une intuition, d’une idée, d’une sensation ; elle est ce four, ce creuset alchimique qui donne naissance en regroupant, reliant, unissant pour mettre au Monde les Mystères, et révéler aux yeux de ceux qui savent lire, déceler, regarder le Mystère.

Homme ou Femme, nous portons tous une Matrice, des matrices : cette capacité de création, de manifestation dans la matière, de contenir, avec des spécificités certes reliées à nos polarités. En ce sens, la Matrice est reliée non seulement à la création mais aussi à la vie, à son mystère plus vaste qui englobe toute chose, tout être, tout vivant. Si la Vie et la Création sont des principes puissants, la Matrice l’est tout autant. Chaque Matrice serait alors englobée dans une Matrice plus large, plus vaste. Et en ce cas, peut-être que les changements de conscience profonds que nous vivons actuellement sont comme autant de changements de Matrices pour rejoindre la Matrice Originelle.

Dieu, Source, Esprit, quel que soit le nom qu’on lui donne, c’est la Matrice. L’étincelle première qui a donné Vie, qui a créé, qui a donné forme pour la première fois. Elle est la Source et le modèle de toutes les autres Matrices. Puisse votre Puissance et votre force de création donner vie à travers la Matrice qui vous est propre à des créations d’amour et de conscience pour votre plus grand bien et celui de tous.


Agnès Reboul reboul.agnes@orange.fr

jeudi 24 septembre 2015

L'argent doit-il vraiment devenir une valeur féminine ?




Traditionnellement, la femme est tournée vers le foyer, l'intérieur. C'est elle qui prépare les bêtes ramenées par le chasseur, allume le feu dans l'âtre pour faire cuire la viande et tanne les peaux pour en faire des vêtements. C'est elle qui enfante, nourrit et élève les enfants qui passeront les premières années de leur vie dans la chaleur du foyer maternel. Et la tradition marque toujours nos modes de vie, la femme met au monde et prend soin des tout-petits. D'ailleurs, n'est-ce pas à elle qu'est confiée le plus souvent la garde des enfants lors de la séparation des parents ?



Et si traditionnellement, la femme est tournée vers l'intérieur, l'homme, quant à lui, est tourné vers l'extérieur. Il est celui qui parcourt les contrées pour rapporter la nourriture, celui qui affiche ses exploits de chasse ou de combats, échange, décide, dirige. Il est l'être social. Simone de Beauvoir expliquait cette différence de rôles entre les hommes et les femmes par la différence anatomique de leurs sexes. Le vagin, à l'intérieur, est caché, secret ; le pénis, à l'extérieur, est voyant et exposé aux regards. Les rôles sont donc complémentaires et le lien que chacun entretient avec l'argent est fortement dicté par son genre social.


Mais qu'en est-il aujourd'hui ? L'argent est-il toujours l’apanage des hommes ? A voir l'initiative de certaines femmes africaines pour lutter contre la pauvreté par le biais de micro-crédits, on pourrait penser que non. Mais en France ? L'INSEE nous apprend qu'en 2008, une femme travaillant à temps complet gagne en moyenne 19,2 % de moins que son homologue masculin. L'argent n'est donc pas une priorité féminine. Et la pauvreté, la vraie, celle qui condamne à vivre dans la précarité de la rue touche plus fortement les femmes et les enfants. Triste constat...


Mais parlons de valeurs féminines cette fois. Car l'argent est une valeur, marchande peut-être, mais en aucun cas morale ou spirituelle. Les valeurs, donc, que l'on attribue à la féminité seraient des valeurs d'amour, d'empathie, de douceur, d'écoute et de solidarité. Est-ce compatible avec le fait de gagner de l'argent, beaucoup d'argent ? Et pour gagner plus, il faut aussi travailler plus comme cela a été dit dernièrement. Mais la carrière professionnelle n'est pas souvent compatible avec une vie de femme et surtout avec l'accès à la maternité. On sait les difficultés que les femmes ont à garder leur emploi ou à gravir les échelons si elles prennent un congé parental pour accompagner le tout-petit dans les premiers moments de sa vie. Et aux femmes de carrière de mettre leur vie de famille entre parenthèses, ce qu'on leur reprochera peut-être ensuite.


Alors le rapport des femmes à l'argent peut-il changer ? Et surtout doit-il changer ? Si l'argent signifie posséder et accumuler, est-ce dans notre intérêt de se l'approprier ? Par contre, si l'argent sert la solidarité et la dimension du cœur, les femmes ont toute leur place. Déjà, il faudrait élargir la définition de la paternité. Cela impliquerait un changement plus grand encore des mentalités et une volonté des pouvoirs publics de rendre le congé parental masculin plus séduisant qu'il n'est à l'heure actuelle (en effet, sa rémunération semble peu motivante). Ensuite, il faudrait que la femme soit en pouvoir de mener de front sa vie de mère et sa vie professionnelle sans avoir à choisir. Dans une société où l'homme et la femme accordent la même importance au travail et à la parentalité, chacun peut envisager un meilleur accès à l'argent.


Mais finalement, peut-être devrions-nous revoir son importance et son rôle dans notre société. Où en sont les valeurs humaines de paix et d'amour ?


D'après Omraam Mikhaël Aïvanhov, maître spirituel du XXème siècle, « si les femmes s'unissent dans le but sublime de régénérer l'humanité, elles gagneront l'estime des hommes. De nouveau, ils seront obligés de les respecter, de les admirer, de les estimer et d'être inspirés par elles. L'époque qui vient sera celle de l'amour : cela signifie que ce sera l'époque de la femme. » 

Euriel Bourreau



Prendre sa place de Femme



Quand la charge du « devoir maternel » s’impose dans notre vie au détriment de l’enfant que nous étions, la femme que nous sommes et la mère que nous devenons, nous bousculons l’équilibre et perdons notre juste place. Comme nous le fait partager Audrey, maman éveillée, l’écoute de soi est une porte évidente de libération et d’allègement.

Quand le corps sature, c’est qu’il y a déséquilibre, soit en excès, soit en carence, que ce soit physique, alimentaire, émotionnel… Cette saturation parle, vient signifier quelque chose. Elle révèle et touche du doigt un malaise. Quand il s’agit d’un déséquilibre dans le rôle de Mère, le malaise est accompagné de culpabilité, de colère, de peur, de honte parce que l’on a l’impression d’avoir échoué, de ne pas avoir assumé notre responsabilité. On ne sait plus comment faire. On n’ose pas dire. On reste seule. Et plus on est seule, plus on sature. Et la spirale se met à tourner, tourner, tourner, tourner… Jusqu’où ? J’ai noté « On » pour ne pas noter "Je". 



J’avoue. Dans mon histoire, c’est ainsi que ça s’est traduit pour moi. Quand le corps sature, l’une des premières solutions est de se mettre à l’écoute de ce qu’il nous raconte. Que faut-il faire quand les Mères saturent ? Avis subjectif : se mettre à l’écoute. Un jour, au plus haut de la saturation ou au plus bas de mon mal-être, je me suis dit que si je continuais sur cette voie, je me retrouverais à l’hôpital. Et mes enfants dans tout ça ? Alors guerrière dans l’âme, je me suis mise à écouter ce qui me faisait mal. Et n’en pouvant plus, j’ai osé appeler à l’aide. Un grand pas. Le premier.

Pour moi, Mère signifiait « Tout porter ». « Porter tout ». Envers et contre tout. Envers et contre Moi. Adulte à la naissance, j’ai pris le rôle de Mère de mes parents. Et en parallèle, je n’avais aucune envie de grandir, aucune envie de devenir adulte. Une trouille bleue ! Être adulte signifiait être irresponsable. Tout était mélangé. En faisant ce travail d’écoute, en rencontrant de belles personnes aidantes, j’ai compris pourquoi je saturais dans mon rôle de Mère. Toutes mes facettes de Femme étaient mélangées, aucune n’était à sa place. Comme si tout était construit à l’envers. Tout était bancal. Il y a peu de temps, dire à ma propre mère : « Je ne suis pas ta mère » fut pour moi une révélation. Une libération. Cette phrase n’était pas programmée. Elle est venue au bon moment et c’était juste.

Et j’ai pris ma première place : ma place d’Enfant, à 33 ans. Depuis j’ai pris ma place d’Adulte, dans le sens réel du mot. Et je travaille à la réparation de ma place de Mère avec mes enfants, surtout avec ma propre fille de 10 ans. Être enfin sa Maman, pour qu’elle soit mon Enfant, qu’elle n’endosse plus ce rôle de Mère avec moi. Doucement réparer ce lien, qui de génération en génération, s’était emmêlé. Prendre enfin ma place légitime de Mère. Merci à toutes les Mères. Mère de Sang, Mère de Cœur, Mère de Résilience, Mère d’Âme à Âme, Mère sans le savoir, Mère sans le vouloir, Mère sans le pouvoir, Mère Combative, Mère Dépressive, Mère d’une vie, Mère de plusieurs vies, Mères-filles, Filles-mères, petites Mères, grandes Mères… à la Terre-Mère.


Témoignage de Audrey Rigaux audreyrgx@gmail.com  paru au magazine "Rêves de femmes"

lundi 21 septembre 2015

Matrice, créatrice de l'Humanité


Nirmala Gustave, praticienne en Santé Humaniste, nous fait partager sa vision et sa connaissance de l’utérus. Elle nous invite à reconnecter la puissance transformatrice de cet espace intime et sacré pour incarner et guérir notre humanité de femmes.



En contemplant son enfant, une femme peut être saisie d’émotion en ayant la réflexion suivante :

 « Cet enfant connaît un endroit intime de moi au creux de mon féminin, que je n’expérimenterai jamais de la même façon que lui, de l’intérieur de mon ventre. Il a habité cette grotte mystérieuse de moi-même dans un de mes organes féminins. »

Cette réflexion est source de cheminement… Matrice, vient du mot latin « matrix » (matricis), lui-même dérivé de « mater » qui signifie mère. La matrice est l’élément qui fournit un appui ou une structure et qui sert à entourer, reproduire ou construire. Cet élément chez la femme est l’utérus - organe triangulaire dont la pointe s’ouvre vers le col utérin, débouchant vers l’extérieur du corps. La Matrice est ce ventre douillet qui accueille et fait pousser les bébés. La spécificité extraordinaire de cet organe féminin réside en son pouvoir de transformation.

En effet, sa taille à l’état normal est celle d’une orange puis lorsqu’il accueille un bébé, peut atteindre celle d’une pastèque. Depuis des temps immémoriaux, ce ventre rond, fertile, accueillant, protecteur est une source d’émerveillement où la magie de la vie en mouvement se met en œuvre. Cette matrice capable d’engendrer des « petits d’Homme » fut longtemps considérée d’essence divine face à ce miracle de vie ; par analogie la femme était vénérée comme la Déesse-Mère puisqu’elle pouvait enfanter et l’homme, non.

Autrefois, la sorcière savait utiliser les pouvoirs de son utérus en appelant les forces et le pouvoir de transformation contenus dans son bas-ventre. Elle puisait sa puissance depuis sa matrice, douée d’un pouvoir créateur extraordinaire, habitait consciemment son bassin. Elle pratiquait des rituels par des offrandes matérielles ou sensuelles, des chants ou des danses. Qu’elle soit mère ou non, la sorcière vivait le potentiel de la matrice en tirant sa force de son ventre.

La matrice capable d’accueillir la Vie est l’enjeu mystérieux de convoitises. La science cherche à imiter sa puissance de création, en l’étudiant, en voulant l’imiter par différentes expérimentations. La rencontre fusionnelle entre un spermatozoïde et un ovule puis la multiplication des cellules de l’être ne peut exister que par la magie de la matrice, accueillante et protectrice de la Vie. Comment fonctionne vraiment cette matrice ? Quelle impulsion est sous-jacente dans l’accueil de cette vie ?

La matrice est encore pénétrée de mystères : pourquoi telle rencontre entre un spermatozoïde et un ovule aboutit à une fécondation et telle autre rencontre reste stérile ? Quelle force supérieure est en jeu et de quelle façon : ces questions n’ont trouvé que des réponses partielles… La spiritualité nous parle des expérimentations utiles ou non à l’évolution de l’âme afin d’amener l’Etre à incarner l’amour véritable, son humanité authentique. C’est de ce côté spirituel que les réponses peuvent arriver…

Comme les pièces d’un puzzle qui s’imbriquent. La matrice, puissance énergétique de la femme En Inde, chaque syllabe de l’alphabet est considérée comme une matrice, une petite mère « mâtrika », où réside l’éclat de la conscience. De même, la matrice de la femme recèle le trésor de l’humanité à la conscience évoluée.

L’utérus, situé dans le corps, trois doigts sous le nombril est associé énergétiquement au centre vital de la joie de vivre, la puissance féminine, l’assise stable (chakra Svadhistana, Hara chez les Japonais, Tan-Tien chez les Chinois). Cet espace du corps, lorsqu’il est bien harmonisé, fournit la puissance de l’équilibre et la force de création. Plusieurs pratiques énergétiques libèrent l’énergie de la matrice. Parmi elles : respirer en conscience dans son ventre favorise une oxygénation des cellules utérines, une vascularisation de l’utérus afin de renforcer la santé, la tonicité de l’organe et permet de développer la puissance de son féminin.

Dans les médecines ayurvédique, tibétaine ou chinoise, l’énergie et les vertus des pierres apportent la santé physique et mentale. Ainsi, s’allonger en état de profonde relaxation et poser une cornaline au niveau de l’utérus apportera ou renforcera la joie de vivre, le dynamisme, la connexion au potentiel féminin, la libido créatrice.



La cornaline aide la femme à connecter la puissance de son féminin. Poser une chrysoprase verte au niveau de l’utérus apporte une profonde connexion avec notre organe féminin et aide à accompagner toutes les transformations physiques liées à nos phases du féminin : lors de la menstruation, de la maternité et de la ménopause.

La chrysoprase verte aide la femme à accepter le corps qui change et à grandir de ses différentes phases. à l’instar de cette matrice-microcosme de la femme, notre Mère-Terre Gaïa est la matrice-macrocosme. Gaïa est une matrice pour l’humanité entière. Le temps de l’incarnation de l’être humain sur Terre, notre Mère-Terre nous porte en elle afin de croître et d’évoluer. Pareil au bébé par le ventre de la mère, l’humain trouve en Gaïa le cadre qui lui permet d’expérimenter son essence profonde. Elle fait de lui un être humain digne de ce nom, viscéralement relié à la Terre et au Ciel. Mère-Terre, en enfantant l’être humain qui expérimente et chemine, donne naissance à l’humain éveillé.


Nirmala Gustave Auteur de « BéBé Lumière », livre-CD de relaxations pour les femmes enceintes, éd. Le Souffle d’Or - avril 2011 www.nirmala.co

Navdanya Message


Navdanya signifié  "neuf  graines»  (protection symbolisant la de la Diversité biologique et culturelle) et le also "nouveau   cadeau" (pour des semences communes, basées sur le  droit versez sauvegarder et partager des semences 

Dans le Contexte actuel de destruction biologique et écologique, les épargnants de semences are. les vrais Donneurs de semences Ce cadeau OÜ «Dana» de Navadhanyas (Les graines neuf) Est le cadeau ultime -. Il Est un don de la vie, du patrimoine et de la continuité des semences de conservation is the conservation de la biodiversité, la conservation de la Connaissance de la semence et de l'utilisation des fils, la conservation de la culture de la, la conservation de la Durabilité.


Navdanya is a Réseau de gardiennes des semences et  ORGANIQUES  Producteurs répartis Dans 18 Etats de l'Inde.

Navdanya un aide mis en lieu 122 Banques de semences Communautaires A travers le Pays, Formes sur 5,00,000 agriculteurs de  la souveraineté des  semences,  la de l'alimentaire  et l'agriculture durable au cours des Deux Dernières décennies, et un contribué à la configuration la en plus, le marketing grande directe  le commerce équitable  réseau organique DANS LE paie.

Navdanya un also mis en Place Centre des Nations Unies d'apprentissage,  Bija Vidyapeeth  (École de la Semence / Université de la Terre) de sa conservation de la biodiversité sur de et de la ferme organique Dans Doon Valley, Uttarakhand, Inde du Nord.
Navdanya is activement impliqué DANS LE rajeunissement de la Connaissance et de la culture indigène.  Il Cri la sensibilisation sur les Risques du génie génétique, une défendu la Connaissance de gens de  biopiraterie  et alimentaires de l'homme Dans Le Visage de la mondialisation et  le changement  climatique.

Navdanya est une femme Centrée au Mouvement pour la protection de la Diversité biologique et culturelle.


L'imposition des OGM viole le dharma de la nourriture ... Au lieu de voir la nourriture Comme Le créateur, sociétés en Développement OGM prennent le rôle de «créateur» par les des «brevets» La Vie sur.

Dharma «concept is a Indien uniques, un don de la civilisation indienne à l'humanité.  Il a Fourni à la boussole POUR L'une action juste et de subsistance droite.  Il N'y a pas de mot équivalent Dans Les langues occidentales.  Le notion de dharma ne se limite pas à la religion - Comme un CELA Souvent Été fait un délit - dharma Est notion des Nations Unies Qui traverse les fils spirituels Nombreux Qui tissent Notre culture.  Il Est le "chemin de la droiture".

Toutes les religions Qui se Sont développées à partir de sol indien - l'hindouisme, le bouddhisme, le Sikhisme et le Jaïnisme -. Soi référent au dharma  Dans l'hindouisme, le dharma signifié le '' droit chemin de la Vie '', aligné Avec RTA -. L'ordre Qui soutient la Vie et maintient  L'univers. Dans le bouddhisme, dharma signifié «loi cosmique et l'ordre»  Dans le Jaïnisme, le dharma se refere aux Enseignements du Jina, versez la transformation du moral des Êtres Humains.  Pour les sikhs, le mot dharma signifie »le chemin de la justice» et l'hymne 1,353 du Guru Granth Sahib se refere au dharma Comme devoir des Nations Unies.

La racine étymologique du mot dharma est "dhr" - de Tenir, l'ours, le Soutien, Entretenir, Conserver et transporter - et sa signification est "Celui qui détient", "Ce Qui soutient" - L'Univers et Toute la création , du microcosme au macrocosme, du, plus petit microbe Le plus grand mammifère et Toute la famille de la Terre (Vasudhaiva Kutumbakam), de l'individu à la Communauté, et de toute l'humanité.  Parce dharma détient et soutient la famille et à L'intérieur de la Terre, il Toute la famille humaine, il incarne le principe de l'unité -. Avec des Humains Le Reste de la nature et de l'homme à Travers nos diversités  Dharma découle de l'interdépendance de Toute Vie, Notre devoir et de Prendre soin de Tous les Êtres Humains et Toutes Les Espèces semblables.

Le Contraire du dharma Est adharma, la violation de la RTA, des lois Écologiques de la planète, et de l'obligation de soins versez les Autres Êtres Humains, sans distinction de sexe, de race, de caste, de l'âge de UO classe.  Tout ce qui Nous separé de la nature et de l'autre, l'action each Qui Mène à la désintégration des sociétés et des Écosystèmes Est adharma.

Dharma Guide nous dans le choix Entre le bien et le mal - par l'évaluation éthique, Environmental Assessment, l'évaluation des technologies et de l'évaluation socio-économique - en Evaluant L'Impact de SES actions sur la nature et la société , en Utilisant des Outils et des instruments Que l'sur forme, CHOISIT et utiliser.  Outils et technologies ne Sont pas auto-référentielle.  Leur évaluation et Leur choix is fonder sur des Valeurs, plus élevées.  Si l'ONU de choix fait contribue à "ensemble de Tenir", à l'intégration, Alors le choix is Un choix dharmic;  SI Elle Mène à la destruction écologique et sociale de Déplacement, Il Est adharma.

Le dharma et à la discipline de la nourriture en Inde are Dans Nos Pratiques agricoles anciennes.  Pratiques Que Sir Albert Howard (Imperial Botaniste économique du Gouvernement de l'Inde), Réparties Dans Le Monde Entier Comme L'agriculture biologique contemporaine, à Travers fils Une classique Testament agricole.  Pratiques fondées sur les Principes de acception les lois de la nature et du la bien-être sociale Qui sont scientifiquement Aujourd'hui soustenans DANS LES Principes de l'agroécologie.

Jitendra Bajaj, mon Collègue et compagnon cours à l'Université du Pendjab, Avec Qui Je faisais de mon M.Sc.  (Hons) en Physique des particules, et MD Srinivas, Un autre physicien des particules, Ont Écrit ensemble le meilleur livre au Québec Nous Avons Aujourd'hui sur le dharma de la nourriture, l'Annam Bahu Kurvita:. Se rappelant la discipline indien de Croissance et de partage de la nourriture en abondance  de Leurs des citations de textes plongeurs antiquités résonnent Avec La Dernière Dans la la science de l 'agroécologie et La Meilleure réflexion sur les Principes de la justice alimentaire et de l'éthique alimentaires:



Annam Brahma - alimentaire, lui-même is Brahma, le créateur;  annamnanindyat tadvratam - Ne regardez pas vers le bas sur Anna annamnaparicaksita tadvratam - Ne négligez pas anna annambahukurvita tadvratam - Multipliez anna de Nombreuses Fois.  Assureur Une abondance de nourriture Tout autour.

Dans Notre dharma de la nourriture, Anna is the création, le Cycle de vie est alimentaire du cycle de l'ONU, la bonne nourriture is the médecine (sarvaushada), et la Croissance et le partage de la bonne nourriture, en abondance, Est Le Plus Haut Devoir .  La Capacité de Mener à bien cette Tâche repos sur Notre Capacité à Connaître la difference between la bonne nourriture et le mal, Entre Les Systèmes Qui maintiennent les Écosystèmes ensemble ous Complètement violente Toute éthique et dharma versez la cupidité myope - poussant annadatas Dans la dette , de la détresse et de suicide et de Détruire notre santé grace à des épidémies de maladies.

En Dépit de l'héritage civilisationnel profonde du dharma, le discours et l'orientation du dharma was Replaced by a l'imposition des outils Toxic de l'agriculture industrielle basée guerre. L'imposition des OGM à tout prix viole le dharma de nourriture à de Nombreux levels.  Les préoccupations scientifiques are Réduits au silence par le financier musculaire et Dharma Est d'être Exclus De toute discussion et de Débat sur ​​l'alimentation.  Au lieu d 'évaluation intelligente de juin, responsable et éthique d'outils commentaire Particulières de transformation de la graine et de l'impact de Notre alimentaire du tissu de la vie, d'Autres Espèces, les agriculteurs, nos sociétés et la santé humaine, l'ONU outil was mis au -delà de l'évaluation et au-delà dharma.

Au lieu de voir la nourriture Comme Le créateur, Les Entreprises et les scientifiques en Développement OGM prennent le rôle de "créateur" par "brevets" La Vie sur.  Au lieu d'Evaluer la Façon Dont L'utilisation de Produits Chimiques et les OGM Toxic Ont l'impact des Nations Unies sur la toile de la vie - les abeilles et les papillons, les vers de terre et les Organismes du sol, la biodiversité de nos Usines - des évaluations Intégrées DANS LES lois de biosécurité are bloques par la déréglementation sous l'influence de l'industrie paie après paie.

Le principe de l'Abondance Est Viole en tournant L'Abondance Dans la rareté.  La rareté Est fiche créée en Faisant des semences non-renouvelables Grâce à des outils biologiques Comme La stérilité ou La création de gènes outils juridiques Comme les brevets et les licences obligatoires versez Prévenir les semences de se multiplier et de Reproduire Librement.  La rareté is when fiche créée la Liberté de la graine Est Détruit intentionnellement de Rendre les agriculteurs ayants de l'achat de semences CHAQUE année.  En Inde, this création intentionnelle de la Pénurie un conduit à La Grande adharma de piéger les agriculteurs de la dette et en poussant 300.000 au suicide.  Le débat sur ​​les OGM Est Principalement concours des Nations Unies Entre dharma et adharma.  Il Est Dans CE Contexte Que les choix sur les outils et les technologies POUR LA alimentaire de production Faits doivent Être.  Le choix is Right Livelihood Entre vs la règle de la cupidité, le pouvoir, le Contrôle et l'orgueil humain.  Il Est de Notre devoir de Prendre soin de la Terre et de Notre Famille de la Terre, y COMPRIS Tous les Êtres Humains.  Un devoir Que Nous Avons collectivement Échoué à verser Les Dernières décennies d'être violente à Notre propre terre par l'empoisonnant.


L'auteur est le directeur exécutif de la Navdanya Trus t