Dans un lointain passé, il y eut des sièges qui
causèrent la mort d’un nombreux bien supérieur de gens que ce dont vous n’avez
jamais entendu parler. Même pris tous ensemble et en multipliant leurs
travestissements, ces derniers n’auraient jamais été aussi importants que celui
que l’on appelle la chute des femmes.
Je vais vous dire pourquoi. Les femmes devinrent
des ornements destinés au plaisir des hommes. Elles étaient rassemblées comme
du bétail dans les harems. Elles étaient vendues au marché sous des auvents de
soie d’un orange éclatant et d’un jaune citron ; elles se tenaient sur
l’étal des enchères au milieu de l’odeur de l’ail, du vieux fromage, du vin
pourri, de l’urine de chameau et des cris des oies. Tous ces sens vous
pénètrent alors qu’une femme nue se tien soumise à l’examen de tous, peinte de
ce qu’on appelle le khôl et le henné afin d ‘être vendue au plus offrant. Cela
se produisant tout le temps.
Les femmes commencèrent à être fécondées. Elles
ne désiraient pas avoir une fille comme enfant. Leur survie était exaltée
si elles produisaient un fils ; la demande allait aux fils ; Ils
alimentaient la machine de guerre. Il arrivait fréquemment que, souffrant
en silence, une petite fille de 13 ans seulement donnait naissance à un enfant
qui se révélait être ce qu’on appelle une malédiction pour elle car il
s’agissait d’une petite fille. Pour assurer sa propre survie, elle jetait
l’enfant sur les tas de merde à l’extérieur des murs de la cité afin que les
bêtes nocturnes qui ressemblaient à des hyènes et à des coyotes puissent venir
le déchiqueter – mort impitoyable en vérité.
Souvenez-vous, chacune de ces émotions
enregistrées dans l’âme. C’est là que l’on ressent les émotions. Tout le monde
trouvait naturel de vendre ces petites filles dont, dès l’âge de trois ans, la
pureté était brisée à l’aide d’un phallus de marbre avant d’être envoyées à un
satrape qui les achèterait et les tourmenterait tous les jours de leur vie.
C’est ce qu’on appelle la souffrance liée à l’identité sexuelle.
Et une fois qu’elles savaient atteint la
maturité, elles s’enveloppaient les seins pour qu’ils restent plats et
épilaient les poils de leurs parties intimes de sorte à toujours ressembler à
des petites filles car, passé 13 ans, on les considérait vieilles. Le
saviez-vous ? Personne ne voulait dans un son harem des entités capables
de donner la vie – les petites filles ne peuvent pas se reproduire. Ils
pouvaient ainsi faire d’elles ce qu’ils voulaient. Saviez-vous que ceci était
chose acceptable ? Et aujourd’hui, vous qui acceptez tant de choses, en
êtes-vous si différents ?
Une femme qui était éduquée n’était pas aimée. Il
lui était interdit de recevoir la connaissance des étoiles, des mathématiques,
de la physique, d’être ce qu’on appelle un philosophe, d’enseigner, de lire les
hiéroglyphes, d’être un scribe. La seule chose qu’elle était autorisée à
apprendre était comment être une hétaïre ; Savez-vous ce qu’est une
hétaïre ? Savez-vous ce qu’est une prostituée ? Vous avez
compris, sauf que l’art de faire l’amour
leur était enseigné. Savez-vous que lorsque l’on doit vous enseigner à faire
cela, la passion meurt dans l’âme ? Elle n’y est plus.
Au contraire, on considérait les hommes
dépositaires d’une âme. Ils étaient les élus ; Ils étaient les entités de
Dieu, quelle que soit votre conception de Dieu. Le devoir leur revenait d’être
une machine de guerre. Ils ne pouvaient pas pleurer parce que s’ils pleuraient
ils seraient comparables à une femme, ce qui était une condamnation terrible –
le saviez- vous ? – d’être appelé une femme. Ils ne pouvaient donc ni
pleurer ni être doux et tendres. Ils devaient être durs et impitoyables. Ils
devaient faire toutes les choses qui sont une indication que vous êtes ce qu’on
appelle un homme.
Saviez-vous également quelle était la récompense
une fois la bataille terminée ? Les femmes, les enfants et les petits
garçons. Savez-vous d’où viennent les termes de viol et de pillage ?
L’explosion sexuelle leur permettait de se libérer de leur peur et de leurs
frustrations ; C’est de là que naquirent les abominables viols. Qu’une
femme soit à la merci d’une légion était chose insignifiante, car la souffrance
fait partie de ce qu’on appelle la satisfaction sexuelle.
La chute des femmes fit perdre à celles-ci leurs
âmes sœurs, car elles n’étaient pas autorisées à avoir des sentiments. En vertu
de la croyance et du dogme, elles se trouvèrent donc déconnectées de leurs âmes
soeurs. Sur l’océan du tourment humain dérivent donc ainsi ceux qui sont
déconnectés de la réalité, hommes et femmes.
Que commença-t-il à se produire alors ? Vie
après vie après vie à revenir sur cette roue, rien ne se produisait au niveau
de l’âme. Les femmes commencèrent à considérer ce qu’on appelle l’honneur
accordé aux hommes. Il était plus aisé de ne pas donner naissance à un enfant.
Il serait plus aisé de ne pas être violées, molestées et d’endurer ces
souffrances. Il était interdit aux femmes de travailler ; si elles le
faisaient, elles étaient jetées dans la rue, où elles devaient se prostituer
pour gagner leur pain quotidien. Ceci est une grande vérité.
La souffrance devint insoutenable car il
n’existait pas une autre âme ou encore l’équilibre, l’aspect masculin de leur
être, avec lesquels elles puissent
équilibrer la connaissance. Comprenez-vous ? Elles étaient seules. Elles
ne pouvaient comprendre. Les hommes étaient isolés de leurs femmes. Ils ne
pouvaient les comprendre au niveau de l’âme, car ils n’étaient pas supposés les
considérer comme leurs égales. A cette époque dont je parle, si vous aviez dit
que telle femme ou tel homme était votre âme sœur, vous auriez été mis à mort.
Vous ne pouvez jamais prétendre être égale à un homme.
Le schéma suivant évolua et la femme devint un
croisement de sexe, choisissant un corps d’homme dans lequel revenir. L’homme,
pensant qu’il préférerait être une femme dont l’on prend soin, pour laquelle on
prodigue richesse, à qui sont offerts encens, myrrhe, musque, soie et bijoux
grossièrement taillés, ressentit qu’il était plus facile de revenir comme une
femme car ainsi les hommes n’auraient pas à aller se battre. Ils pourraient
pleurer. Quelqu’un prendrait soin d’eux. Ils choisirent donc de changer de
sexe. Comprenez-vous ce qui a lieu maintenant ? Avant de rationaliser
cette histoire, vous devriez savoir dans l’étroitesse de votre esprit que vous
avez vécu auparavant. C’est une vérité légendaire dans votre histoire. Vous
avez vécu auparavant.
Que se passe-t-il alors ? Lorsqu’une énergie
féminine/négative entre dans un organisme dont l’énergie est masculine et que
les sceaux répondent, sont censés répondre, à une énergie égale, une longueur
égale, on a ce qu’on appelle un hybride. On a ce qu’on appelle la confusion. Et
voici que la femme qui en réalité est un homme est molestée à l’âge de trois
ans, molestée par un homme ; Rien ne marche convenablement. Et voici que
la femme part à la batille à l’âge de 12 ans, maniant l’épée. Il ne se passe
rien. Vous savez pourquoi ? La petite fille qui possède maintenant les
énergies d’un homme évolue dans une forme hybride comparable à celle d’une
femme, alors qu’elle est grossièrement taillée comme un homme. Le corps est
définitivement celui d’une femme mais est également masculin.
Les croisements de sexe sont des hybrides. Ils
aiment les gens du même sexe qu’eux. Ils ne produisent rien. Elles sont
positives et négatives, elles se rencontrent, champ magnétique, et c’est au
centre que ce qu’on appelle l’ETRE se produit. Au centre, voyez-vous, n’existe
ni positif ni négatif ; il est simplement. Lorsque l’on a négatif avec
négatif, il y a répulsion. Savez-vous que ce qu’on appelle la matière
cellulaire à trois dimensions ne peut évoluer dans un processus de répulsion,
autrement dit lorsqu’elle se fuit elle-même ? Les hybrides sont ainsi.
Qu’arrive-t-il alors à l’âme sœur de celui qui a
changé de sexe ? Vous voyez, ceux qu’on appelle en vérité les croisements
de sexe ne changent pas de sexe ensemble. Seul un des eux le fait, alors que
l’autre reste dans son état car ce dernier gagne de la force et l’autre en
perd. Et ils n’ont pourtant aucune connexion l’un avec l’autre, rien qui les attire
l’un vers l’autre. L’âme sœur d’un croisement de sexe, que fait-elle
donc ? Ils se propulsent loin d‘elle. Ainsi, non seulement n’aviez-vous
pas une bonne communication avec eux au début, mais celles-ci est-elle depuis
longtemps disparue car vous la rejetez plutôt que de provoquer un rassemblement
harmonieux.
Vous avez dégradé vos femmes. Vous ricanez ;
vous riez ; vous continuez à leur refuser toute vertu. Vous regardez leurs
corps nus exposés, leurs parties intimes exposées. Ce que vous ressentez n’est
pas d’ordre sexuel, mais un sentiment de supériorité et vous considérez cela
naturel. C’est un signe de décadence, vous savez. Avez-vous jamais imaginé
votre mère dans un de ces magazines ?
Si les femmes n’avaient jamais perdu leurs taux
d’égalité, rien de tout ceci n’aurait jamais existé et la superconscience, le
royaume des cieux aurait été établi
depuis longtemps sur ce plan. Vous auriez eu un cerveau totalement opérationnel
au lieu de n’avoir accès qu’à moins du tiers. Le vieillissement n’aurait pas
existé. Vous n’auriez pas vécu dans la déprime psychologique. Vous auriez été
en dehors de l’atteinte du temps. Le saviez-vous ? Ces entités dont je
parle vivent depuis des millions d’années dans le même corps. En tombant, vous
avez créé un déséquilibre. Cet état de déséquilibre créé des polarisations
verticales à côté de polarisations horizontales. C’est l’effondrement de la
conscience sociale. Vous vous désintégrez ici. Lorsque l’hiver viendra,
vus tomberez comme des mouches, je vous l’assure ; La nature se débarrasse
de la décadence ; il en est ainsi car cela va à l’encontre de la
continuité, de la vertu et de la pureté de la vie. Cela fait la guerre à la vie
et je vous assure que l’élément naturel de l’ETRE gagnera toujours. Il en est
ainsi.
Avez-vous jamais cessé de répandre vote semence,
de la maintenir, de simplement être et de la laisser vous parler ?
Avez-vous jamais vécu l’expression sexuelle que l’on appelle la passion quand
cela c’est simplement produit ? Peu d’entre vous, si même un seul, l’ont
vécu car c’est complètement forcé et vous devez en outre imaginer des fantasmes
de plus en plus débauchés de sorte que cela puisse se produire.
Les femmes n’ont pas de prédisposition à
ressentir un orgasme – savez-vous-même ce que c’est ; tout le monde dit
que vous êtes censés en avoir un – parce qu’elles ont dû faire face à la
violence dans leur âme. Pour elles, cela a été une affaire de survie plutôt que
de plaisir et c’est la raison pour laquelle elles le perdent. Elles ne le
ressentent pas.
Et vous, les hommes, pourquoi êtes-vous si
enclins à la sexualité ? Parce que vous y pensez constamment ; Et
plus vous êtes violents, plus l’orgasme est grand. Vous vous demandez pourquoi il n’y arien qui
réponde en dessous de vous ; c’est parce que vous réactivez un
déséquilibre primitif. Tout ceci est vrai, vous le savez.
Ce qui s’était produit en es temps-là, s’en est
allé dans une vallée – ce qu’on appelle l’Age des Ténèbres – et remonte
aujourd’hui jusqu’à un sommet éminent. Vous revivez tout cela de nouveau ;
c’est partout. Vous y êtes sensible set ne cessez de toucher ces ponts
sensibles. Ce point approche un point culminant. Arrivera alors la grande
intimidation et, une fois ceci terminé, achevé, cela ne se représentera plus
jamais. Ce seront les vieilles histoires de l’âme. Ainsi sont les choses.
Vous, les femmes, vous méprisez / haïssez vos
hommes ? Maîtrisez cela. Vous, les hommes, vous méprisez et aimez /
haïssez vos femmes. Maîtrisez cela. Si le seul lieu où vous puissiez
trouver réconfort, paix et joie est de vivre sous quelque vieil être
remarquable que l’on appelle un arbre, faites-le pour l’amour de la vie.
Comprenez-vous ? Entendez-vous ?
Les âmes sœurs, elles en ont vu de toutes les
couleurs, n’est-ce pas ? Il existait une raison à cette beauté, une
expérience qui peut devenir sagesse s’il
lui en est accordé la possibilité. Vous pouvez faire l’amour avec la ferveur de
la passion originelle si vous laissez votre corps tranquille et lui permettez
de vous parler. Laissez l’âme vous parler. Elle vous dira quand vous êtes
prêts. Lorsque vous en finirez avec les préjugés sexuels, vous connaîtrez le
bonheur. Lorsque vous en finirez de vivre dans votre pénis pour vivre dans ce
qu’on appelle l’Esprit, le Christ, le Dieu de vous-mêmes, vous découvrirez la
joie. Vous découvrirez en même temps que vos jugements sur les hommes et les
femmes cesseront et que votre amour ira à eux tous. Comprenez-vous.
Ramtha Extrait du Chapitre : « Les dieux
nés sous forme humaine » aux Editions AdA.
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