Il faut comprendre que le métal est mélangé au minéral, et il
faut donc faire agir le feu – feu vulgaire ou feu vital – pour extraire le
métal du minéral. Quand on agit sur la Terre, on agit sur un minéral. Si on
veut réinsérer le noyau de métal qui se trouve à l’intérieur, on est obligé de
faire une extraction à travers un minéral chauffé par le feu.
Par ce biais, il faut donc comprendre que la femme est une âme
formalisée. Peut-être, l’âme formalisée d’un puissant guerrier qui utilisa le
métal pour ses actions de toutes sortes dans d’autres temps ou dans d’autres
dimensions. Donc, le fait de travailler sur le minéral pour extraire le métal,
de reprendre une maîtrise sur le métal, c’est évidemment reprendre contact avec
le glaive ou l’arme, pour maîtriser cette configuration, pour la retraiter
d’une autre façon, pour la rédempter aussi ; ne pas la diriger vers une
dimension d’agression extérieure, mais simplement de réincrudation dans une
zone de délimitation, de contrôle, d’enveloppe de corps ou de vaisseau.
L’exercice de la transférisation de système minéraux et métalliens sur un
niveau supérieur s’inscrit dans le cadre de cette reprise en main d’un système
déchu.
C’est important d’avoir des informations de conscience, de les
appliquer dans le monde de l’énergie et de gérer tout ce qu’on peut avec la conscience
de l’énergie. Ensuite, on peut concerner les mondes vitaux et substantiels,
mais tout ceci reste assez fluctuant. Finalement, ce qu’il faut arriver à
faire, c’est évidemment signer l’opération jusque dans le plan matériel :
c’est à dire déplacement d’objets, mise en place d’architectures, etc… qui
positionnent l’opération dans le plan matériel et qui la signent pendant un
certain temps, parce que ces objets matériels restent immobiles alors que les
systèmes de conscience, d’énergie et de substance se promènent, disparaissent
de la configuration.
Le système matériel maintient la structure dans l’espace temps,
et provoque donc une transformation des lignes de force interdimensionnelles,
parce que le système qui a été relié jusque dans le plan matériel se réorganise
en fonction de l’architecture matérielle qui est positionnée. C’est ce qui fait
la différence entre une opération réalisée dans le cadre du Dieu expérientiel
éternel lié à la créature subtile ou formelle et une opération liée au Dieu
immobile internel, si l’on peut dire, lié à la création. A partir du moment où
vous jouez sur la matière, vous signez avec une configuration numérale, une
signature de numération unitaire. Le corps de transfert interne peut se
stabiliser, parce que son émergence externe est arrivée à signer jusque sur le
plan matériel.
C’est cette coordination entre des éléments unitaires internes
et des créatures éternelles subtiles et externelles sociales qui peut créer des
résonateurs matériels. Ces résonateurs matériels une fois installés déterminent
des transformations fondamentales dans
des dimensions immenses, macrocosmiques et interplanétaires, par résonance
interdimensionnelles. Ceci provient du fait que les temps ne sont pas les mêmes
puis les cycles sont plus étendus ; ainsi les systèmes les plus éloignés
vont demander plus de temps pour se rapatrier et se mettre en conformité avec
les systèmes qui sont les plus internes et qui ont un cycle court, rapide.
Il faut constater que l’être vivant contient un feu vital intérieur,
il a une animation susceptible d’être inspirée par l’esprit supérieur, alors
que les circuits matériels ne peuvent pas bouger sans ce relais vivant qui a un
feu intérieur. Si vous voulez agir sur les forces lunaires, les forces du champ
des vierges folles, vous devez agir
sur la matière qui n’a pas le même feu intérieur lui permettant de bouger. Vous
agissez sur la matière, pour créer une structure qui soit au-delà du système
des vierges folles qui ont perdu leur feu intérieur, et vous encadrez leur
opération de destruction par des signatures de type matériel qui sont au-delà
des formes substantielles des vierges folles, si l’on peut dire, et ces
structures matérielles, traitées par des corps biologiques animés et reliés à
l’esprit, tiennent un cadre opérationnel qui va empêcher des dérives du circuit
des vierges folles dans des zones de destruction.
Il va maintenir le circuit des vierges folles dans un cadre de
contrôle périphérique, mais quand même maîtrisé par les circuits de
transformation.
Il faut aussi retenir ceci : c’est que toute vierge sage qui ne surveille pas correctement l’état de sa chandelle, la voit s’éteindre,
se dérive et tombe dans le circuit des vierges folles. Si une personne, tombée
dans le circuit des chandelles éteintes entre en contact avec un circuit
rallumé, elle peut à nouveau être ravivée ; cela demande une animation,
une activation, une conversion et un changement de coordonnées.
Il est certain que le fait de créer un foyer d’énergie rallumé
crée une possibilité de réinsertion de circuits qui se dérivaient vers des
zones en train de s’éteindre. Si on arrive à allumer un foyer avec plusieurs
chandelles, et à énergétifier tous les systèmes avec une dimension de
conscience-énergie, intervention substantielle et modification matérielle, cela
devient un tôle de recentralisation qui peut complètement résister aux forces
d’explosion et d’infériorisation, parce qu’il est à contre-courant.
Ce qu’il faut remarque, c’est qu’à l’intérieur de ce Graal en
quelque sorte des vierges sages, existe le sang du Christ, c’est à dire un
plasma énergétique d’amour, à l’intérieur duquel peut exister l’esprit du Père.
On peut donc dire que cette enceinte de vierges sages, de femmes
reliées, unifiées et représentantes du Saint-Esprit en quelque sorte, cette
femme qui est comme la femme d’Abraham – celle qui ne fait pas les enfants,
alors que c’est l’esclave qui les fait – cette femme est le support de l’aspect
énergético-subtil du Fils, de l’amour et est absolument indispensable pour la
présence du Fils. C’est cette alliance très proche entre ce Saint Esprit et le
Fils qui fait réellement la rédemption de la Mère.
Cela permet à une femme, qui a atteint ce stade de
développement, de bien concevoir dans quelle direction est sa porte de salut.
Sa porte de salut est dans cette communion plasmatique accordée au Saint
Esprit, reliée au Fils et en direction du Père, et non pas en direction de la
matière avec extériorisation et détérioration de son énergie interne. Le libre
arbitre de la femme doit la conduire à faire un choix qui la rapproche de
Dieu : c’est sa liberté, c’est son choix volontaire, con action réitérée,
qui la différencie des vierges folles et de la dérive vers la matière. Cet
exercice du libre arbitre va se faire dans un niveau spirituel énergétique,
vital éventuellement, mais va se faire aussi dans un niveau d’analyse mentale
de sa situation et de positionnement social, en quelque sorte, vis-à-vis d’un
ensemble de systèmes qui tend à la rabaisser comme pondeuse de formes, en l la
castrant de son aspect de vierge sage, puisque toute sa vitalité part en
dessous pour faire des formes entre elle et la matière. Si elle veut
véritablement s’inscrire dans la voie de la rédemption, il faut au contraire
qu’elle arrive à refaire une coupe, un saint Graal, à l’intérieur duquel puisse
exister cette chaleur, cette flamme, cette présence du Saint Esprit.
C’est à cause de cette dérive dans des systèmes trop
quantitatifs, trop multiples, trop matérialistes que les pères spirituels
tendent à faire en sorte que les créatures s’extraient de ces grandes religions
trop matérialisée, trop politisées, trop financées ; néanmoins, elles ont
des schémas qui sont à l’origine reliés à certaines dimensions archétypiques
mais par infiltration de toute la puissance, elles sont devenues inaptes à
faire la rédemption d’un individu. D’où la nécessité de créer des mini-groupes,
pour que les individus, guidés par leur dimension supérieure, puissent
retrouver les mêmes schémas, mais dans un niveau énergétique un peu plus élevé,
parce qu’il y a moins d’éclatement dans la démesure du multiple, et moins
d’accrochage de poids de puissance matérielle et de passé, qui empêchent les
individus de véritablement se relier et de vivre l’expérience du saint Graal,
du Saint Esprit, de la liaison du Fils au Père. Ils sont empêchés de vivre
cette expérience parce qu’il y a trop d’accrochages ou trop d’expansion du
multiple.
Et puis, il y ale non-respect de certaines lois qui ont été
quand même formulées dans l’Ancien Testament et qui ont été dérivées. Comme par
exemple "l’homme ne répandra pas sa semence en vain", ce qui
présuppose que l’homme pratiquera l’INjaculation
comme dans le tantrisme et le taoïsme. Cette dimension de maîtrise du psychisme
et du corps crée une centrale structurale chez l’homme qui peut grandement
aider la femme à se maintenir dans le niveau d’une verge sage. Donc le fait de
se réinscrire dans un canal plus originel fait immédiatement retrouver une
conjonction dont les éléments structuraux sont en accord avec les grandes
architectures formulées, mais sont vécus dans un niveau de jonction
opérationnelle.
L’excès d’accrochage matériel et de démesure produit des vierges
folles, qui n’ont plus la flamme intérieure et sont déconnectées. Il n’y a plus
d’animation, il n’y a plus de liaison possible. C’est cette dérive des
Pharisiens dans le temple, contre lesquels s’insurge l’initié Jésus qui essaye
de refaire une liaison exacte, parce que ces êtres là se sont trouvés dérivés
par la forme et la matière.
Si vous voulez vivre une
vie reliée, vous êtes obligées d’examiner toute cette configuration et de
redimensionner les architectures anciennes dans un cadre opérationnel qui était
celui de l’origine.
Vous pouvez reproduire ce texte à la condition
d’en indiquer l’auteure et sa source : http://etredivinaufeminin.blogspot.fr/
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