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mardi 19 mai 2015

Communication de la Mère Cosmique



La notion du sacré est si importante que, dans les temps passés, seules  des vierges pouvaient être prophétesses et recevoir des révélations. Elles officiaient en accord avec un prêtre.

Si la femme s’est suffisamment construite, dessus, dehors et dedans, elle peut avoir la ligne avec d’autres parties d’elle, avec son frère et sa sœur lumière, et avec son père spirituel.

La sœur lumière est le système énergétique qui peut s’accorder au circuit subtil. Elle correspond au corps subtil animique. Le frère lumière correspond, d’une certaine manière au mental supérieur, et le père spirituel correspond à l’esprit supérieur. Si la femme se subtilise, se sublimise, elle sera en résonance avec des mondes de pureté, de beauté, de bonté et de vérité et pourra recevoir des messages interdimensionnels issus des hiérarchies supérieures.

Lorsqu’elle réussit à rétablir la communication avec les hiérarchies cosmiques, elle participe alors à la remise en place de la jonction entre la Terre et le Ciel, entre le terrien et le cosmique, entre l’homme et Dieu.

La femme de cosmique essence éveille alors sa dimension de mère cosmique, protectrice, animée du désir de protéger son enfant subtil, déployant pour cela une panoplie d e forces qui en font sa beauté. Elle rencontre ainsi cette essence archétypique qui résonne avec l’harmonie universelle.

La mère cosmique participe à la fluidité des échanges interdimensionnels dans un accord permanent avec l’harmonie cosmique. Elle surveille l‘évolution d’êtres et de planètes qui font partie de son univers. La mère cosmique est la retranscription de l’archétype de la mère dans les plans subtils et interdimensionnels. La femme doit  redevenir consciente et reprendre son rôle d’élévatrice cosmique, de fleur du cosmos. Source de bonté et de beauté, elle est ainsi au service du Divin.

L’évolution d’un individu se réalise par progressions successives vers une dimension de synthèse, c'est-à-dire vers la réunification de toutes les parties de lui-même aussi éloignées ou aussi élevées soient-elle. Si nous observons ce qu’il y a à régler pour pouvoir réaliser cette synthèse, nous nous apercevons que ce sont les rapports qui peuvent se créer entre ce qu’on appelle la perfection et l’imperfection. Il y a une distance très grande entre la perfection et l’imperfection et, si l’on veut régler une dimension de conjonction, de synthèse et de totalité, on doit trouver les moyens de faire un pont entre la perfection et l’imperfection, et de réaliser à travers ce pont des transferts qui sont importants pour s’installer dans ce que l’on peut considérer être la perfection.

Or, si l’on examine ce que nous transmet la tradition et ce que l’on peut soi-même avoir comme expérience, on se rend compte que, effectivement, les systèmes semblent être hiérarchisés de cette manière. A partir du moment où on envisage de refait une jonction, d’opérer un transfert interdimensionnel avec une nouvelle liaison à l’unité, de créer un passage au travers de la déconnexion pour se reconnecter à la Centrale de télédiffusion universelle, dans la mesure où l’on envisage d’accomplir un tel programme, il faut examiner quelles sont les coordonnées qui vont permettre de réaliser cette figure, et sous quelles conditions. C’est pourquoi il faut partir d’un point de départ, il faut se souvenir de ce que dit la tradition : Dieu est au paradis au milieu des anges et entouré des séraphins. C’est exactement la reproduction d’un système cellulaire avec un noyau, un protoplasme et une membrane.

Il semble d’ailleurs que ce soit un modèle assez universel de création d’une figure qui contient une conscience directrice dans le noyau, une énergie fonctionnelle de réserve dans le protoplasme et une limite condensée dans la membrane qui est la création. Donc, on a le triangle créateur-créature-création. A partir du moment où on veut mettre en figure de systèmes qui soient réellement fonctionnels, on est obligé de se conformer à ce type de configuration. Ce qu’il faut constate aussi, c’est qu’il y a des éléments qui sont proches du noyau et il y en a qui sont proches de la membrane. Il est indispensable de considérer qu’un être qui veut finir sa figure doit définir comment se manifestera son noyau, comment se manifestera son protoplasme, comment se manifestera sa membrane et quel type de rapport il aura à l’environnement pour avoir des échanges, car cette cellule vit, se développe et a des échanges.

Il est important de préciser les positions qui existent au niveau spirituel, au niveau énergétique, mais aussi au niveau substantiel. On peut se poser la question : "Avec quel niveau le type d’existence que je mène se trouve-t-il en résonance" ? Pour répondre, il faut établir des corrélations et si un individu tient un pôle de centralisation, il se trouve en corrélation avec le système central, c’est à dire le noyau divin. Par contre, si l’on considère ce qui va exister à sa périphérie, on s’aperçoit que s’il a vraiment une certaine représentation divine sur ce plan, il ne peut avoir autour de lui qu’une représentation angélique.

Quelle est la différence entre les anges et les hommes ? La tradition nous dit que les anges sont soit hommes, soit femmes, mais très légèrement polarisés yin-yang, et beaucoup moins polarisés que l’homme et la femme. Il peut y avoir des anges à tendance féminine, des anges à tendance masculine, mais ils sont beaucoup moins sexualisés. D’ailleurs, dans ce domaine, on constate si on continue la chaîne, que les humains sont beaucoup plus sexualisés, différenciés sexuellement et si l’on observe les animaux, alors là la sexualisation devient extrêmement marquée, chez certaines araignées et certains poissons par exemple. Des différenciations énormes se font ainsi à partir du moment où on s’éloigne d’un système d’unification central qui est intérieur et total, et contient donc le yin et le yang dans une synthèse harmonieuse. On peut remarquer cependant que chez certains animaux qui ont une coquille spirale, donc intermédiaire entre la droite mâle et le cercle femelle, il y a hermaphrodisme, donc présence des deux sexes dans un seul animal.

Dans tout le jeu énergétique qui se joue sur nous et qui est dirigé par d’autres dimensions, on assiste à des programmes assez systématiques. Si l’on veut rester en relation avec le maître des maîtres, le Père supérieur, on a avantage à se mettre à l’intérieur des anges ; c’est le seul moyen que l’on ait pour être le plus en résonance avec le Père des Pères.

C’est pourquoi une personne qui veut se mettre en résonance avec ces structures divines supérieures, doit veiller à s’entourer de personnalités évoluées avec lesquelles elle entretient, sinon des rapports angéliques, au moins une relation fraternelle d’entraide et de communion.


Vous pouvez reproduire ce texte à la condition d’en indiquer sa source : http://etredivinaufeminin.blogspot.fr/    

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