En Inde, "ramasseuse D'excréments" Un métier Est Qui se Transmet de mère en fille. Cette tradition Pèse sur-nauséabonde des millions de Femmes. Elle POURTANT Est interdite par la loi de.
vidéo Youtube : forcer un Nettoyer humain déchets en Inde
Son père pas de Lui croyait pas Avoir Trouvé un beau parti: « Ta belle-famille d'un un joli patrimoine :. La Gestion de 100 maisons » Sevanti non rejointoiement de l'Etat Fait du Madhya Pradesh, OU ELLE à découvert, en même temps un homme et d'un métier non, Celui des Femmes de sa nouvelle famille: nettoyeuse de l'AMA fosses UO Sèches - CE is-à-dire ramasseuse D'excréments. Au Rajasthan, Sona non Connu la même expérience: « Je ne savais pas faire de commentaire. Le premier jour, mon pied a glissé. Je suis tombée Dans un bain de merde. Je suis rentrée chez nous en pleurant. Le Lendemain, mon mari HNE Venu m'apprendre. »Badambai se souvient, Elle, de sa Première Fois sous la pluie:« Je portais sur la tête de l'ONU panier d'osier Avec Les excréments Récoltes. Tout un Fondu sur moi, sur mes cheveux, Sur mes habitudes. Je te Sens Toujours Mauvais. Une vigueur, je perds mes cheveux et je ai des maladies de peau. »
En Inde, «
ramasseuse de merde » est une charge héréditaire que se transmettent les
femmes. Depuis des siècles, cette tradition pèse sur les dalits,
les « intouchables ». Ceux-là sont en dessous de l’échelle hiérarchique des
castes (tellement bas qu’ils en sont exclus…), décrétée par l’hindouisme, interdite
par la Constitution, mais plus que jamais vivace au sein de la société –
puisqu’elle a une légitimité religieuse, les
dalits payant le prix des karmas de leurs vies antérieures.
Aujourd’hui, et même si cela est interdit par la loi, un dalit est
puni s’il marche sur l’ombre d’un membre de caste supérieure, il lui est
défendu d’entrer dans les temples et même de partager avec les « autres » les
accès aux points d’eau : il est intrinsèquement porteur de pollution.
Impossible
d’échapper à la tradition des « ramasseuses de merde », quand bien même, en mai
dernier, le Premier ministre Narendra Modi haranguait ainsi les foules :
« Construire des toilettes modernes est plus méritant qu’édifier un
temple. » Avec quelques collègues, Gangashri a bien essayé de se
révolter : « Les hommes des castes supérieures ont menacé nos maris :
si nous ne reprenions pas le travail, ils les battraient, nous chasseraient de
l’enclos (où vivent les intouchables, ndlr),interdiraient à nos
bêtes l’accès aux pâturages et à nous, le ramassage de bois pour
cuisiner. “Nous ne vous laisserons pas vivre en paix”, ont-ils
dit. Nous sommes retournées aux wada. »
Le phénomène est
loin d’être anecdotique. 665 millions d’Indiens n’ont pas accès à des
installations sanitaires correctes : 9,6 millions de maisons sont équipées
de wada(selon la Cour suprême) ; les autres se débrouillent comme
ils peuvent, déféquant dans les champs, les rues, sur les trottoirs. Et des
millions de femmes ramassent. Depuis son indépendance, en 1947, l’Inde a adopté
des dizaines de lois (la dernière remonte à 2013) pour moderniser les
sanitaires et interdire le métier de « ramasseuse de merde ». C’est une
question de santé publique… mais ces lois n’ont jamais été appliquées. Y
compris par les collectivités locales : des dizaines de milliers de mairies,
écoles et centres administratifs sont équipés de wada, et des
femmes se transmettent la charge de les vider à la main, puis d’en transporter
le contenu sur leur tête, dans des corbeilles en osier. Elles reçoivent rétribution
pour ce travail – on n’oserait pas utiliser le mot « salaire » : après leur
tournée, elles reviennent récupérer des restes de nourriture. Vu qu’elles sont
« intouchables », les chapatis (galettes de pain) entamés sont
jetés par terre, elles les ramassent. Pour les fêtes, elles reçoivent parfois
de vieux chiffons. L’une des patronnes de Rekhabai lui avait promis
l’équivalent de 15 centimes d’euro par mois. Elle n’en a jamais vu la couleur.
Les équipes de
Human Rights Watch, qui ont enquêté et mis en lumière ce phénomène, ont demandé
aux ramasseuses pourquoi elles ne portent pas plainte, puisqu’une loi existe.
Les réponses ont été invariables : les policiers refusent de recevoir ces
plaintes, les considérant injustifiées. Et puis, ils ne laissent pas toujours
entrer ces « femmes qui puent » dans les commissariats.
Des mères, elles-mêmes ramasseuses de merde, ont compris
un jour pourquoi leurs filles allaient à l’école si tôt : elles nettoyaient
les wada avant l’arrivée des autres élèves. Elles sont venues
se plaindre, elles ont été chassées à coups de bâtons, et leurs filles
condamnées à être soulevées 50 fois du sol par les oreilles – pour s’être
plaintes. L’affaire est arrivée jusqu’au ministre de l’Education ; elle a quand
même été enterrée. Le plus terrible est, sans doute, que personne n’y peut
rien…
Les Equipes de Human Rights Watch, Qui Ont Enquête et mis en lumière CE Phénomène, les pas de présage de Ont Demandé aux ramasseuses Pourquoi ELLES plainte, puisqu'une loi Existe. Les Réponses étaient invariants: les Policiers refusent de recevoir CES Plaintes, les Considerant injustifiées. Et Puis, ILS NE laissent Pas de Toujours ENTRER CES «Femmes Sie puent» Dans Les commissariats.
Des mères, Elles-Mêmes ramasseuses de merde, Ont COMPRIS un jour Pourquoi Leurs filles allaient à l'école si tot: Elles nettoyaient les AMA avant l'Arrivée des Autres Élèves. Elles Sont Plaindre de Lieux, Elles étaient chassées Ë coups de bâtons, et Leurs filles condamnées A être soulevées 50 Fois du sol par les oreilles - pour s'être Plaintes. L'affaire est Arrivée Jusqu'au ministre de l'Éducation; Elle a quand même Été enterrée. Le plus is horrible, Sans Doute, Que Personne N'y Peut rien ...
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