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vendredi 15 mai 2015

FRIGIDITE et Connexions Neuroniques



Il apparaît que le système de conscience supérieure d’un être ne parvient pas toujours à établir un contrôle sur le corps qui a été créé dans un accouplement plus ou moins inconscient d’un homme et d’une femme. Donc, il faut tout un temps pour que les systèmes physique, vital et énergétique créent un réceptacle favorable permettant à la conscience supérieure, par l’intermédiaire d’un mental organisé, d’établir un contrôle sur ce véhicule et de réaliser les opérations qu’elle voudrait faire avec celui-ci. Mais ce véhicule est toujours difficile à contrôler. On s’aperçoit que souvent les individus ont l’intention de faire quelque chose mais n’y arrivent pas parce qu’ils ont d’autres pulsions qui les conduisent vers l’alcool, la drogue ou la déviation de toute sorte.



Si l’on veut réaliser une meilleure communication entre le système physique et la conscience supérieure, il faut essayer de rétablir une bonne circulation d ‘énergie à l’intérieur du corps et une communication entre les systèmes parasympathiques et les systèmes cérébraux par l’intermédiaire des chaînes orthosympathiques qui sont le long de la colonne vertébrale. Si le système nerveux est extériorisé, dans un état d’hyper-esthésie, de stresse qui peut  le fatiguer et le rendre tout à fait inadéquat pour établir cette communication, les éléments existant dans les bases palé-encéphaliques de l’être ne peuvent pas être mis sous contrôle du système néo-encéphalique. Ce qui fait que celui-ci peut avoir un fonctionnement instinctivo-affectif profond tout à fait en décalage avec la volonté de sa conscience supérieure.

Il faut réussir à pacifier l’organisme et le mettre dans une situation où il puisse y avoir une intercommunication entre les systèmes instinctifs de base et la conscience de veille supérieure, et une maîtrise progressive des intermédiaires de l’être qui sont la base d’une bonne circulation d’énergie. Le plexus parasympathique du système pelvien ne peut se mettre en relation avec le système crébro-spiral d’une manière aisée et réaliser l’atteinte d’un paroxysme que si l’être n’est pas dans un état de stress qui, par ses décharges adrénaliniques continuelles, augmente le seuil de transfert des stimuli à travers le système orthosympathique.

Si l’être vit une situation préoccupante qui le met toujours dans une positon de défense face à l’environnement, il éprouve une très grande difficulté à faire circuler les éléments issus des plexus inférieurs vers le système cérébro-spinal supérieur. Ainsi, la décharge énergétique, qui peut se faire sur l’hypothalamus et qui détermine l’atteinte d’un paroxysme ressenti dans le système cérébral, ne peut se produire.

Donc il est indispensable que l’être ait un style de vie et une hygiène alimentaire qui ne surchargent pas son système physique au point de rendre impossible la jonction entre son système inférieur et son système supérieur.

Les cas de frigidité sont très divers parce que leur origine peut être d’ordre physiologique ou psychologique. Si c’est d’ordre physiologique, les personnes se trouvent dans une situation où souvent leur véhicule physique est très densifié, très alourdi. Elles n’ont pas un bon rapport avec le système de commande cérébro-spinal de leur corps physique. Par exemple elles peuvent être maladroites dans leurs gestes, incapables de danser ou de nager correctement. Elles ont, en quelque sorte, une insensibilité dans une partie de leur véhicule et des rigidités de leur forme telles que les courants nerveux sont affaiblis pour atteindre différentes couches du corps.

Cette situation est souvent liée au fait que des connexions neuroniques ne sont pas éveillées dans l’être, soit parce que qu’il a subi des conditionnements qui l’ont conduit à utiliser des connexions neuroniques préférentielles, en négligeant toutes les autres, soit parce qu’il a eu des coiffes, des blocages qui ont fait qu’il a complètement négativité certains aspects de sa personnalité.

Quelquefois cela peut être dû à un mauvais régime alimentaire  qui bourre le corps de stéarine, de graisses animales très dures, le rendant beaucoup plus rigide. De ce fait, les circulations d’énergie à l’intérieur du corps et du système nerveux se font difficilement. Donc, s’il y a ces blocages physiques, il est important de dire aux êtres de faire un peu d’exercice, éventuellement, de pratiquer une sorte de yoga, avec des mouvements accompagnés d’une conscience interne dans la gestion du corps physique, et essayer par une gestuelle spontanée, de percevoir l’énergie qui se déploie à l’intérieur de lui-ci. Ainsi, petit à petit des lignes de communication énergétique se rétablissent entre les divers niveaux de l’être. Ceci est d’autant plus intéressant que les exercices physiques dégagent de l’acide lactique, qui est une nourriture pour le système cérébral.

A partir du moment où on renforce le système nerveux d’un être, on lui donne la possibilité de franchir des zones de résistance et d’établir des interrelations beaucoup plus aisées qui lui permettront d’avoir une meilleur maîtrise  de son véhicule. Mais il peut avoir des problèmes d’ordre psychologique, des blocages qui viennent de chocs issus de son enfance où il s’est recroquevillé dans une partie de lui-même et est resté dans un état d’infantilisme.  A ce moment-là, une intervention très précise de la conscience doit permettre de faire remonter l’être, d’étape en étape jusqu’à l’endroit où s’est fait le blocage.

Il retrouve alors la communication avec cette partie de sa personnalité qui est restée immature en arrière ; il ‘aborde avec beaucoup de délicatesse pour pouvoir établir avec elle une relation de confiance en vue de la réacheminer, progressivement, à travers tout un labyrinthe, vers une prise de conscience et une nouvelle relation à l’environnement. Mais souvent on constate que ces blocages psychiques sont associés à des cristallisations quasiment au niveau physique, et l’être a de très grandes difficultés à refaire des connexions entre telle ou telle partie de son corps et tel ou tel niveau de conscience.

Quelquefois, il faut essayer d’établir par force un chemin, d’ouvrir une route à l’explosif, de dégager une voie d’accès entre la conscience et le corps par des pressions, des actions parfois douloureuses comme dans l’acupuncture. L’être doit donc faire une nouvelle prise de conscience dans cette partie de son corps, parce que les systèmes de condensation sont tels qu’ils l’empêchent d’avoir un rapport avec celle-ci. Donc, petit à petit, il faut rouvrir une voie de communication entre le corps et le cerveau, et établir des décharges énergétiques jusqu’à temps qu’une ligne d’intercommunication se réalise dans le système nerveux et dans les connexions neuroniques.

Une fois que cette porte est ré-ouverte, il faut moduler progressivement, rassurer, remettre en route une communication plus harmonieuse. C’est alors qu’il peut y avoir une sorte d’élévation du niveau vibratoire général de l’être et la mise en circulation de tous les courants d’énergie qui déterminent en lui petit à petit une maîtrise telle de son véhicule par son système de conscience de veille que le système cérébral et le corps deviennent un lieu de passage unifié harmonieux, permettant de faire circuler des énergies beaucoup plus vastes, liées au tellurisme et aux dimensions cosmiques. C’est à ce moment-là que l’être peut atteindre un paroxysme transcendant son état ordinaire.

Vous pouvez reproduire ce texte à la condition d’en indiquer sa source : http://etredivinaufeminin.blogspot.fr/    

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