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vendredi 30 octobre 2015

Les bougies auriculaires et les femmes



Avez-vous pensé à utiliser les bougies auriculaires pour soigner les problèmes féminins? 

Souffrez-vous de règles douloureuses chaque mois? Etes-vous tracassée par l’idée de tomber enceinte ? Avez-vous connu des sautes d’humeur après une naissance? Des difficultés à allaiter ?

Au premier abord, cela semble une idée ridicule, mais regardons de plus près ce que les bougies peuvent faire pour vous aider lors des défis surgissant à différents moments de votre vie.



Un peu d’histoire
Il faut savoir que les soins par bougies auriculaires sont utilisés depuis des milliers d'années dans de nombreuses régions du monde. Ils sont parfois taxés d'être de simples "remèdes de bonnes femmes". Or, nombreux sont ceux que l'on redécouvre aujourd'hui et dont les résultats sont excellents. Simples d'utilisation, les bougies auriculaires sont des tubes ou des cônes creux de coton ou de lin, imprégnés de cire d'abeilles ainsi que de différentes herbes. Pour traiter des maux liés aux oreilles, certains peuples y insufflaient de la fumée. A Chypre, on ajoute du miel à ce mélange afin d'empêcher que les bougies ne se consument trop rapidement car celles-ci sont en papier. On a aussi retrouvé des cônes en verre et en argile dans plusieurs régions du monde.

Le traitement
La bougie ou le cône est placé juste à l'entrée du canal auditif, puis allumé à l'autre bout. Au fur et à mesure que la bougie/cône auriculaire se consume, une douce chaleur descend en spirale et agit comme un massage du tympan, stimulant le système immunitaire. Nous savons qu'un bon fonctionnement de celui-ci est déterminant pour être en bonne santé et qu'il ne dispose pas de "système de pompe autonome" (contrairement à l'apport sanguin dépendant du cœur) pour acheminer le liquide lymphatique collectant les toxines accumulées dans l'organisme.

Les points d'acupuncture de l'oreille sont également traités en même temps, tandis que six des principaux méridiens (lignes énergétiques du corps selon la médecine chinoise), y compris les méridiens impliqués dans le traitement des allergies, ont pour source ou terminaison un point situé entre le nez et l'oreille. La bougie auriculaire diffuse donc de l'énergie à travers tout le corps en utilisant les méridiens qui le traversent. Ce traitement, appelé otothérapie, est accrédité en Suisse par l'ASCA (Fondation pour la reconnaissance et le développement des thérapies alternatives et complémentaires). Certaines assurances maladies complémentaires remboursent les soins prodigués par des thérapeutes agréés par l'ASCA ayant suivi une formation avec moi.

Des règles douloureuses
Il y a beaucoup de facteurs qui peuvent être à la base de règles douloureuses. Dans un cas de douleurs insupportables, il faudrait d’abord vérifier s'il s'agit d'endométriose. Si aucune pathologie médicale n'est observée, pourquoi ne pas essayer les bougies ? Je peux raconter l’histoire d’une adolescente qui chaque mois manquait un ou deux jours d’école à cause de fortes douleurs. Une otothérapeute lui a prodigué un soin qui lui a permis de se détendre et dormir. Elle s'est sentie bien mieux au réveil! Alors qu’est-ce qu'il s'est passé? A mon avis quelque chose d’inattendu mais assez logique. Pendant le soin la jeune fille avait le sentiment de flotter dans de l’eau. Désir subliminal de rester dans le monde de l'enfance et ne pas devenir femme ? Sans les rites de passage qui existent dans d’autres cultures, nous attendons que nos enfants deviennent adultes sans être préparés. Certains trouvent la transition difficile. En interrogeant la patiente, la thérapeute a découvert que c’était effectivement le cas. Elles se sont mises d’accord de faire un soin chaque mois pour apaiser les douleurs. Il serait aussi utile d'avoir quelqu’un à qui parler de ses ressentis.

Et le problème des seins douloureux pendant les règles ? Après avoir traité les oreilles, une bougie peut être appliquée entre les seins pour drainer la lymphe, avec d’autres bougies si nécessaire sur les glandes particulièrement douloureuses. La patiente n’a pas besoin de se déshabiller car la bougie peut être posée sur un mouchoir en papier pour protéger ses vêtements. 

Difficultés à tomber enceinte
Une thérapeute m’a parlé d’une femme qui n’arrivait pas à tomber enceinte parce qu’elle appréhendait les changements que cela pouvait entraîner dans son corps. La thérapeute a appliqué une bougie dans le nombril. Deux semaines plus tard elle était enceinte. Cependant, je ne suggère pas du tout que c’est une solution pour toutes les femmes dans la même situation car beaucoup de facteurs émotionnels aussi bien que physiques doivent être pris en considération lors de la venue d’un enfant. Mais dans ce cas-là, les bougies se sont avérées utiles.

Post-partum
Il est bien connu que le fait d’allaiter un enfant le plus longtemps possible est très bénéfique pour lui. Cependant, certaines femmes sont déçues de savoir qu’elles n’arrivent pas à le faire. Encore une fois, le fait d'appliquer une bougie entre les seins peut avoir un effet très positif sur la production de lait. Ici aussi il ne faut pas négliger les facteurs émotionnels et l’image qu’une femme a d’elle-même et du rôle de ses seins dans sa sexualité.

Dans la médecine chinoise un petit bout d’armoise (appelé moxabustion) est brûlé sur le ventre d’une mère plusieurs fois par semaine après l’accouchement. Quelle en est la raison? Après avoir porté une vie pendant neuf mois, une femme peut se sentir étrangement vidée quand l’enfant est né. Encore une fois, nous ne prêtons pas attention à ce symptôme dans notre société. Une bougie appliquée dans le nombril donnera le même effet de chaleur sur toute la région. Plus simple que le moxa! Dans un cas de fausse couche, cela peut aussi amener un sentiment de réconfort.

Quelle est la fréquence de traitement conseillée ? Je suggère deux à trois fois pendant un mois, puis lorsque l’on ressent le besoin. Pour tous les cas mentionnés, les soins peuvent être plus rapprochés.

Qui doit prodiguer le traitement ? Dans un premier temps, un thérapeute qualifié est la personne indiquée pour effectuer le traitement. Plus tard, des traitements peuvent être effectués à la maison avec de l'aide.

Qu'est-ce qu'un thérapeute qualifié peut faire d'autre ? Il sera le mieux placé pour écouter et conseiller en matière de régime ou autres consignes à tenir.
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Devrait-on traiter les oreilles avant le reste du corps ? Absolument, car cela facilitera un soin sur le corps. Cependant, si la patiente a récemment eu un soin aux oreilles ou en reçoit régulièrement, les bougies sur le corps suffisent.

Les bougies auriculaires ont-elles d'autres propriétés ? Absolument. Il y a énormément de choses à apprendre sur les bougies; c'est pourquoi j'ai publié un ouvrage sur le sujet. Mais je continue moi-même d'en découvrir. C'est également la raison pour laquelle je forme des thérapeutes à ce traitement, car seul un thérapeute peut avoir une vue globale d'un problème, poser les bonnes questions et donner les bons conseils.

Où puis-je trouver un thérapeute qualifié? Pour obtenir davantage d'informations, visitez mon site web ou me contacter.

Je suis thérapeute et je souhaite participer à une formation professionnelle: Mes cours peuvent être organisés partout, à une date souhaitée. Veuillez me contacter pour plus de détails.

Je ne suis pas thérapeute, mais je souhaiterais être formé à cette technique: Pour obtenir les détails sur mes mini-cours, veuillez me contacter.


Informations sur l'auteur
Jili Hamilton utilise les bougies de traitement auriculaire dans ses thérapies depuis plus de 20 ans. Elle a publié le premier ouvrage en anglais sur ce thème, ainsi que le seul ouvrage disponible actuellement en français sur le sujet. Une version en italien est en cours de traduction. En 2006, elle a fait partie des principaux intervenants conviés à la conférence internationale sur les bougies de traitement auriculaire qui s'est tenue au Royaume-Uni. Jili parle couramment l'anglais et le français. Vous trouverez des informations détaillées sur les cours proposés et les ouvrages mentionnés en consultant le site www.jilihamilton.com. N'hésitez pas à faire part de vos questions à info@jilihamilton.com.  

Clause de non responsabilité
Les conseils donnés ne sont pas considérés comme un traitement médical et n'escomptent en aucun cas remplir cet objectif. Il convient en toutes circonstances de suivre les instructions fournies avec les bougies auriculaires ou de demander conseil auprès d'un praticien expérimenté en bougies auriculaires. Toute information contenue dans ce document a pour but d'accroître le savoir sur les bougies, leurs origines et leur emploi, mais ne remplace pas un avis médical ou un traitement à suivre en cas de problème médical particulier.



Francesca du blog http://etredivinaufeminin.blogspot.fr/

Jili Hamilton 2011 :  
info@jilihamilton.com

mercredi 28 octobre 2015

Femmes qui accouchent en liberté



L'accompagnement d'une naissance peut et devrait, quel qu'en soit le lieu, laisser la place à l'intime et à l'être. Que la grossesse soit eutocique ou suivie de très près pour des raisons particulières, la chaleur humaine est de mise. Le plaisir d'être en soi, entourée de personnes en lesquelles on a une confiance profonde, avec lesquelles on se sent vivre un rapport d'égal à égal : oui, cela existe, cela se prépare aussi. Le choix d'être seule, en soi-même, l'accompagnant se faisant extrêmement discret, ou n'existant pas, cela se vit aussi. 



En quête de pistes et ne voulant me limiter à ma propre expérience ou à des sources livresques, j'ai envoyé des questions autour de moi. Je reçus cette réponse de Sarah Destrebecq, qui fut ma doula : "J'ai l'impression qu'il y a eu un moment, quand je te massais, où on s'approchait dangereusement de l'orgasme... Je crois que si ce moment avait pu se prolonger et que tu aies accouché à ce moment-là, cela aurait été orgasmique. Qu'est-ce qui était présent? 

De la confiance, beaucoup, pour pouvoir lâcher prise sur l'extérieur. En ce qui me concerne, confiance à l'intérieur de moi, et en toi. Il fallait du calme aussi, en tout cas que tu puisses être dans ta bulle sans distraction, sans rien qui vienne stimuler ton néo-cortex, pour parler comme Odent.

Il me fallait être à l'écoute de ta vibration profonde. Sans le toucher, je ne suis pas sûre que j'y serais parvenue. Pour que l'accompagnement que j'offrirais à une femme lui permette de s'approcher d'un accouchement orgasmique, il faudrait qu'elle se sente tout à fait libre de s'abandonner devant moi, et qu'elle sente mon soutien inconditionnel. La confiance. Jusqu'au fond des tripes." Diantre ! J'aurais frôlé la chose... Il est vrai que ce massage nous emmenait dans une danse étonnante, moi dans l'eau, elle au dehors. Je n'ai point oublié le baiser échangé avec le père de mes enfants, alors que je baignais dans cette piscine qui m'offrait la sérénité me permettant de m'ouvrir par moi-même. J'avais prié ma sage-femme de sortir. Nous étions entre nous. Que Ina May Gaskin soit ici remerciée pour la suggestion de ce doux moment !


Annick de Lamotte, sage-femme, sait sur le bout des doigts ce que discrétion veut dire : "Le but est que la femme vive son accouchement selon son désir profond et selon ce qu'elle est à ce moment. Savoir vraiment qu'elle est compétente et adapter son accompagnement à ce principe de base : ne pas la toucher sans sa permission, être très discret, savoir que c'est elle la personne importante et pas soi, veiller à une atmosphère pleine d'amour et de respect, être bien ancrée dans son être profond, veiller à l'environnement, chaleur?, lumière?, téléphone?, sonnette?, odeurs?, mains chaudes et douces?" 

Notons ici la place offerte au désir et à la personne qu'est la mère. De là le choix de l'intimité, ou de ce que Michel Odent nomme privacy. Car là où l'on se tient devant la femme et lui parle, on peut tout aussi bien se tapir dans un coin. La pénombre, la chaleur et la présence discrète renforcent la sécurité que la mère construit en elle-même. La question revient sans cesse : qui est là? Qui est, qui sont ces personnes qui accompagnent? "Compagnon/compagne (amant/amante) ou autre. Y aura-t-il partenariat ou non ? 

Autrement dit, s'il s'agit d'un partenaire, cet instant intime, sera-t-il la vraie prolongation de celui qui a conduit à la fécondation et s'est déjà poursuivi tout au long de la grossesse ? Il s'agit plutôt d'un moment intime solitaire, dans lequel toute autre personne n'a aucune place directe. L'accompagnant reste à sa place, c'est-à-dire distante, ne répondant qu'aux sollicitations, aux questions, aux ordres, et reste vigilant aux signes. Mais, y a-t-il une autre manière d'accompagner un enfantement ?" dixit Jean-Claude Verduyckt, sage-femme. Il n'est peut-être pas d'autre manière d'accompagner une femme qui se connait, se respecte et dispose de sa propre personne. Ou en fait la conquête. Où la naissance n'est pas uniquement celle de qui l'on croit... "Pour accéder potentiellement à ce vécu, il faut que la femme - et l'homme - se sentent en sécurité et surtout que la maman vive cette aventure comme un acte d'amour, comme si elle faisait l'amour, c'est-à-dire qu'elle soit en pleine possession de son pouvoir de femme et de son pouvoir d'être humain. Et qu'elle exprime ce pouvoir dans sa façon de donner naissance à son enfant." Jane Delespesse, accompagnatrice de vie et doula.

Parler d'orgasme? 
Non, il ne faut pas avoir un orgasme en donnant la vie. Il survient quelquefois, bien imprévisible : "Orgasme : Point culminant du plaisir sexuel, jouissance. Stade ultime de l'érotisation, retentissant durant quelques secondes dans le cerveau comme un vertige éblouissant la conscience. Je ne sais pas ce que les gens comprennent en lisant "naissance orgasmique". Je sais encore moins ce que les hommes comprennent à ces deux mots quand ils sont appliqués à la femme enfantante. Parler de naissance orgasmique, pour moi, c'est parler de femmes, de sexualité et d'érotisme féminin, mais je ne peux pas en parler à la place des autres. On sait que la jouissance est atteinte dans diverses conditions. Il faut lire les bouquins érotiques. Existe-t-il une recette pour accompagner une naissance orgasmique? Je ne peux déjà pas employer le mot accouchement. Ce simple mot évoque pour moi le viol: "couche toi là, que je te fasse du bien !" Existe t-il une recette? Connaissez-vous une recette qui vous fait jouir à tous les coups? Moi, non... Si : la masturbation, mais je n'ai besoin de personne, surtout de personne. La masturbation qui me fait jouir à TOUS les coups est solitaire...." Joelle Terrien, sage-femme et auteure.

Parler du plaisir
"Un accompagnement pour moi va vers le respect de la personne et de ses désirs. Je parle de sexualité et, souvent, il y a des surprises. Je parle des différents ressentis que peuvent avoir les femmes, y compris l'orgasme. C'est essentiel de savoir que c'est possible. Je dis les conditions nécessaires à ce qu'un accouchement se passe le plus physiologiquement possible, et je compare souvent cela à l'orgasme : si vous avez un spot dans la figure et 3 personnes autour, c'est compliqué. 

À part cela, une amie a eu un orgasme en accouchant dans une maternité de niveau 3, le gynécologue entre ses jambes et 3 personnes dans la pièce et j'ai connu plein d'accouchements très respectés, à la maison, où il y avait plein de belles choses, mais pas d'orgasme. Il faut aller chercher la douceur et le plaisir, particulièrement pendant la grossesse. Se mettre au centre aide à accoucher dans sa puissance, orgasmique ou pas, mais en tous cas dans du "bon". Quand on me demande s'il faut se masser le périnée pour le préparer, je réponds : "si vous y prenez du plaisir, foncez, mais si vous faites cela en vous forçant, en écartant de force les muscles, je pense qu'il vaut mieux éviter." 

Si on proposait aux femmes d'écouter leur ressenti, quel qu'il soit, au lieu de leur donner des solutions... Mais jamais jamais je ne promettrais un accompagnement vers une naissance orgasmique. Une naissance respectée, oui et oui. Goûter du plaisir dans le processus, oui. Mais orgasmique, en faire une fin en soi ? Se mettre une pression en plus ? Je suis convaincue qu'il y a aujourd'hui des femmes qui se sentent nulles de ne pas avoir eu un orgasme en accouchant et qui se posent la question de ce qu'elles ont raté." Charlotte Marchandise, doula. 

Parler des peurs et de la logistique
"Je travaille en pré-natal sur les peurs des parents : peur de la douleur, de devenir mère/père, peurs au sujet du corps et de la santé de la mère, autour du bébé. Mon objectif est qu'ils ressentent la confiance, ayant compris leurs peurs, changé d'avis éventuellement, ou pris des décisions pour mettre en place des filets de sécurité sur ce qui continue de les inquiéter. L'idéal est qu'ils arrivent le plus zen possible au moment de la naissance. Qu'ils n'aient qu'à penser à la magie de cette rencontre qui s'en vient. Par ailleurs, je conseille de réfléchir aux conditions matérielles, afin qu'ils mettent tout en place pour respecter leurs besoins personnels : intimité, bain, musique, ce qui leur convient. Un plan de naissance permet aux parents de parler avec le personnel soignant : cela les rassure - ou non - sur le lieu et les personnes qu'ils ont choisis. C'est encore le moment de choisir un autre lieu." Julie Gaffarel, doula.

Ou d'autres accompagnants. Un changement de dernière minute est toujours possible. Michel Odent a mis en vidence l'effet nocebo des consultations prénatales. Des accompagnants informés de la littérature médicale, qui n'induisent pas de stress superflu par effet nocebo, seront toujours utiles. Enfin, des personnes bien dans leur peau. N'est-ce pas essentiel pour envisager de leur ouvrir la porte de son intimité?




Ingrid van den Peereboom
auteure, formatrice et mère de 8 enfants

Danser Avec Chakradance verser Devenir pleinement Soi




Les cellules de mon corps en Ontario La Mémoire de ma vie, Toute Voire Meme de ma lignée de La Et De mes Origines primitives. Avoir accès direct à this mémoire par la danse libre aux fils de musiques en résonance Avec les 7 chakras Permet Une prise de conscience rapide, Puissante et holistique du «Qui suis-je?».



Qu'est-ce que Chakradance?

Créé il y a plus de 15 ans en Australie par Nathalie Southgate et Douglas Channing et aujourd'hui présent, plus de 30 Dans paie, Chakradance ™ is the pratique D'une Danse pour le Corps et l'Esprit Qui Associe mouvement spontané, musique en résonance Avec Les chakras principaux (7 centres d'UO de Énergie), imagerie guidée, et dessin créatif d'mandala de l'ONU. Puisant SES racines Dans la psychologie jungienne (principe d'individuation, symboles et des archétypes, des mandalas), Chakradance ™ encourager les gens à danser versez la découverte de soi et le Mieux-être

Rapide Rapide rapide Quels en Sont Les Bienfaits?

FFondamentalement, Chakradance ™ Permet À chacun de mieux, se connaitre et s'accepter, Ce Qui du coup Permet Une relation à l'Autre, plus vraie et authentique AINSI Qu'une insertion, plus harmonieuse DANS LE groupe. This also Pratique Permet de Trouver Reportages en moi des ressources for better Affronter les obstacles de la vie et SURTOUT versez Avoir le courage de Suivre mon propre chemin de vie, rapide Quels Que Soient les Jugements et Croyances limitatives Qui m'entourent et je ai intégré au Québec . Il s'agit veritablement d'un voyage initiatique A travers la danse et la musique versez Pressothérapie et avancer sur ce que je aime Appeler «mon chemin de lumière».

Peut-on guérir par la danse?

Depuis des millénaires, l'être humain a toujours dansé, se connectant ainsi à des énergies créatrices et transformatrices qui le guérissent. La danse représente un élément de réponse originale aux enjeux de notre temps. Elle peut nous aider à communier avec les sources profondes de notre Etre, pour réinventer une autre façon de vivre ensemble, et retrouver un juste équilibre corps, esprit que notre culture occidentale dualiste a indûment séparés. L'expérience de la Danse fait comprendre qu'ils ne font qu'un, et que nous faisons partie de l'Univers ! 
En déplaçant l’expérience solo du divan vers la pratique collective du parquet, nous répondons à un besoin de l’individu de s’épanouir, mais aussi d’appartenir à un groupe, celui-ci produisant par résonance une accélération des prises de conscience. Là ou parfois nous pouvons « tourner » autour du pot en séance individuelle, le bain collectif nous pousse à dépasser nos limites, comme une matrice bienveillante nous proposant une nouvelle naissance.

Pourquoi Travailler avec les chakras Alors Que Nous Avons une histoire judéo-chrétienne?

Je dis souvent à mes participants qu’il ne s’agit pas de croire ou pas aux chakras. Dans Chakradance™, les chakras sont en effet utilisés comme une grille de lecture très complète qui nous permet d’appréhender toutes nos dimensions d’être humain, du corporel au spirituel, avec au centre de la croix énergétique, le Cœur.
Il y a une citation d’Osho que j’aime beaucoup et qui parle des chakras :
"L'homme est un arc-en-ciel rassemblant les sept couleurs. De la complexité de l'homme est née l'harmonie, la mélodie divine...L'Homme est un pont entre l'animal et le divin...Juste entre les deux, entre le plus bas et le plus élevé...L'arc-en-ciel a sept couleurs, l'homme a sept centres d'énergie. En Inde, l'ancienne allégorie a pris la forme de sept chakras. Et l'homme doit traverser ces sept chakras; sept marches vers le divin"  - Osho in "the divine melody"
Situé aux points d’intersection des forces vitales, chaque chakra reflète un aspect de la conscience essentielle à notre vie. Ensemble, les sept chakras forment un tout qui intègre à la fois l’esprit, le corps et l’âme et constituent un puissant outil de croissance personnelle et planétaire.

Le corps est un véhicule de la conscience. Les chakras sont les roues de la vie qui permet à ce véhicule d’avancer, à travers les tribulations de la vie et les transformations. Pour bien diriger notre véhicule, nous avons besoin d’un guide de conduite, ainsi qu’une carte pour nous expliquer comment circuler sur le territoire que notre véhicule peut explorer.
Atelier Commentaire SE DEROULE Chakradance ONU?

Chaque atelier s’ouvre avec une méditation pour revenir ici et maintenant, s’accueillir dans l’espace et accueillir l’énergie du groupe. Puis nous faisons un échauffement doux du corps en prenant conscience de chaque partie isolément, afin de commencer à aller « à l’intérieur », dans son ressenti corporel.
Nous dansons ensuite les yeux légèrement fermés ou les paupières baissées. La musique exclusivement conçue pour être en résonance avec nos chakras va commencer à activer les expériences intérieures, c’est comme entrer dans un rêve éveillé. Chacun trouve ses propres mouvements du corps pour laisser s’évacuer les émotions, tensions.
A la fin de la danse, nous ouvrons un espace pour la réalisation d’un mandala qui va venir matérialiser nos visions et sensations et compléter notre prise de conscience de faҫon intuitive et inconsciente.
Un retour en cercle pour échanger des expériences de chacun, puis nous terminons par une courte méditation pour refermer l’espace sacré qui a été partagé.

Plusieurs formats d’ateliers peuvent être proposés, de 1h30/2h à 4h. Chaque atelier est consacré à l’exploration d’un chakra, à l’exception des ateliers Découverte et Intégration.

Regardez la vidéo ci-dessous versez voir le DEROULE D'UN Atelier Découverte (texte en anglais).


 




Véronique Thomann proposant des ateliers Chakradance ™ sur Lyon et Paris.  Verser voir les Prochaines dates,  la page visitez SA.

Une nouvelle séance de formation de Verser Devenir Facilitateur / trice Chakradance Dans votre Région VA also Commencer en février 2016. Nombre de lieu Limite à 10 personnes - clôture des inscriptions le 21 Décembre 2015.  http://www.meditationfrance.com/stages/ formations .htm

Pour découvrir Chakradance ™ Dans le monde, visitez  http://www.chakradance.com


mardi 27 octobre 2015

L'AMOUR VOUS VA SI BIEN



Comment le regard porté sur la vie peut-il permettre de passer du mal-être au bien-être profond, réel, joyeux ? Comment ce regard dépend-il de la façon d’être avec celle(s) qui m’entoure(nt) ?



Elle arrive avec son petit bébé qui sourit et gazouille. Les regards se tournent vers elle. Elle entend « Oh, qu’il est beau ! » puis des apartés « Évidemment, c’est un enfant facile ! », « Et dire qu’elle l’éloigne de son père. »


Elle joue avec son fils qui découvre sur une table des crayons de couleur : « C’est le bleu, et ça le jaune, et celui-là, il est rouge. Bleu comme le ciel d’azur, jaune comme le citron, rouge comme les fraises. Oh, tu as vu quand on fait des ondes avec son crayon, ça peut dessiner une feuille d’arbre ! » L’hôtesse du lieu, soi-disant pour le bien-être maman-enfant murmure à son sujet, « Tout le monde dit d’elle, qu’elle est à moitié folle. »


Cette amie pleure, elle la prend dans les bras. Au loin, d’autres femmes murmurent : « des gouines, des lesbiennes, je te dis. »

Comment vivre avec ces commentaires mauvais, qui collent à la peau ? Que faire de ces commérages, colportages, langues de vipères, commentaires, critiques derrière le dos, calomnies, jalousies, envies qui polluent chaque moment en société ? Leur faire face, leur dire la colère, s’en laver, s’en frotter à la brosse rouge, quitte à se faire mal ?


« Vous êtes amour. Vous cherchez l’amour autour de vous, chez une compagne, un compagnon, une maison, un chien, mais VOUS ÊTES amour ». Entendre cela à la radio lui envoie une onde… de choc ! Et puis, elle marche dans la rue et la lumière devient du miel, elle entre dans le tramway, elle remarque les sourires, elle remercie, elle reçoit des gestes attentionnés. Si jusque-là elle regardait essentiellement ce qui lui faisait du bien en essayant de ne pas tenir compte de ce qui la blessait, elle se met soudain à sentir qu’elle a en elle « l’amour ». Chacun vit avec ses souffrances, pourquoi en vouloir pour cela ? Nier ces souffrances, cela protège, mais cela ne les soigne pas. Soudain, elle ose plonger le regard dans celui des inconnues. Les traîtresses d’hier peuvent-elles être des sœurs? Elle en fait le pari fou, et alors ? En être taxée un peu plus ou un peu moins, qu’est-ce que cela lui fait ? Elle plonge son regard et elle comprend qu’elle peut avoir des amies, avec leurs blessures, des amies. Y a-t-il besoin de chercher plus loin ? 


Elle reçoit les gestes de grâce, de tendresse, d’affection, les regards empathiques, les mots courtois, bons, justes. Elle sent que ces femmes aussi sont amour.
Elle voit aussi que son cœur s’emplit quand elle pense à cette amie, si discrète, qui l’aime telle qu’elle est, avec sa liberté, sa spontanéité, ses maladresses, ses mauvaises idées et ses bonnes. Elle aime également profondément cette amie malade, généreuse, sensible, naturelle. Et celle-là, si spirituelle, charismatique, éclairée et si blessée aussi. En fait, plus elle pense aux femmes qu’elle aime, plus elle en voit, comme si ce regard lui faisait apparaître la beauté de celles qui l’entourent, mais aussi leurs fêlures à aimer.


Dans le fond, les médisances, les violences n’étaient-elles donc que des aveux de souffrance ?


Peu à peu, son regard puisant dans la phrase « Vous êtes amour » la mène à puiser dans celui des autres, mais aussi à accueillir sa propre féminité : un corps de femme, avec ses plis, replis, coffres à bijoux et secrets, un cœur de femme sensible et extrêmement fort à la fois, mais aussi des manières de femme, si difficiles jusqu’alors à accepter. Pourquoi renoncer à ce qu’un homme nous laisse passer devant au restaurant ? Quel délice d’accepter qu’il tire sa chaise pour qu’elle s’assoie ? Et s’il paie la note, et bien pourquoi pas ! Cette femme est ta sœur, est ma sœur, est la bien-aimée.

Isabelle SYLVIN
Éducatrice
Un Nid de douceur : http://unniddedouceur.blogspot.fr/

dimanche 25 octobre 2015

La fin du temps cyclique, la connexion avec la femme sauvage


On me dit que j’ai le retour d’âge.
Vers quoi mon âge s’en retourne-t-il ?
Ménopause... 




Elle est là cette période de notre vie vêtue de connotations plus ou moins effrayantes en tout cas, rarement positives. Comment passer ce cap ? Comment vivre la perte de notre jeunesse et de tout ce qui se rattache, comment accomplir ces deuils pour nous ouvrir à autre chose ? Comment ne pas se recroqueviller mais au contraire étendre nos bras et nos jupes et danser la danse de la femme sauvage, de “Celle qui sait ?” Comment devenir une femme mature vibrante ? 

La perte du temps cyclique
Avec la fin des menstruations, ce cycle qui réglait notre vie avec ses multiples, disparaît. Nous étions femmes-lune, directement reliées au rythme des marées et des maternités et nous voilà, le ventre sec avec l’impression que cette sécheresse s’étend à toutes les parties de notre corps. 


L’élément eau relié à la lune se retire. Nos yeux s’assèchent, notre peau et parfois notre sexe. 


L’élément feu nous envahit parfois avec ses bouffées de chaleur qui nous laissent exténuées. Il irradie nos articulations et accentue cette soudaine impression d’accéder trop vite au rivage de la vieillesse. 


Nous sommes, comme par le coup de baguette magique d’une vieille fée hostile, devenues quasiment transparentes pour la gent masculine. Cela augmente notre désarroi. 


Femmes qui étions femmes-lune, que devenir ? 
Nous devons vivre ce paradoxe ; au moment où notre corps perd une grande partie de sa séduction (celle de la jeunesse et de la fécondité), il se rappelle à nous sans cesse et de multiples façons. 


Peut-être a-t-il quelque chose à nous dire ? Peut-être devons-nous commencer à nous voir autrement qu’à travers le regard de l’autre ? 


Ce corps qui sue, s’échauffe, qui a mal et qui s’angoisse, peut-être a-t-il besoin que nous le considérions autrement, que nous lui reconnaissions sa noblesse, sa force et sa stature de femme mature. Et aussi étonnant que cela puisse paraître, cela passe par le fait de reconnaître sa fragilité. Comme il est terrible le corset psychique que notre époque nous fait porter : il me semble, lorsque je regarde nos grand-mères, qu’elles vivaient mieux cette entrée dans l’âge. 


Qu’elles n’avaient pas cette suridentification au corps qui nous caractérise. Les femmes de 40-50 ans avaient le corps des femmes mûres, c’était ainsi. Elles avaient la fierté d’avoir élevé leurs enfants, d’avoir survécu aux guerres et autres cataclysmes. Nous, nous ajoutons à notre image, le calque du corps de la jeune femme parfaite de 35 ans et détestons tout ce qui dépasse de ce calque. 


Nous nous rejetons sans cesse et nous étonnons d’être rejetées. 
Il doit s’agir d’être présente autrement à notre corps, de le considérer avec bienveillance, de le remercier pour le fait de contenir notre âme et de cheminer avec nous pendant cette vie qui nous est donnée. 


Pour cela, rejoignons la femme sauvage, cet archétype instinctuel qui est en chacune de nous et comptons nos blessures de guerre. 


Comptons nos cicatrices ; nos blessures, nos accouchements, nos avortements, les agressions vécues, les maladies... 


Fabriquons-leur un totem, en papier, en carton, en branchage... 

... la suite dans la revue n°18... du magazine Rêves de Femmes

Marlène Herrero 





mercredi 21 octobre 2015

Les couleurs de mon voyage initiatique vers l’Utérus, calice de vie



J’ai été la légataire des souffrances utérines de ma famille. L’utérus, ce vase, ce calice où la vie se crée dans une mystérieuse alchimie d’amour était devenu au fil des générations la poubelle de la honte, de la violence, de la frustration, de la peur. Les femmes si fortes, si puissantes de ma famille ont été ainsi persuadées de leur prétendue faiblesse, indignité, recroquevillées sur leur ventre blessé où pleurait leur calice souillé par la méchanceté du monde.




Enfant née de la génération 68, j’ai été élevée par mon père et ma mère avec l’idée qu’être une femme est une fierté, est sacré, tout en voyant les souffrances des femmes qui m’entouraient et qui criaient « être une femme est un enfer ». Je me suis révoltée, j’ai d’abord rejeté en bloc cette féminité qui me faisait souffrir à chaque lune, qui entravait mes relations aux autres, qui les transformait de façon malsaine. Je n’étais plus un être humain, j’étais une femme avec un utérus contenant toutes les projections sociales, sexuelles, émotionnelles et autres qui ont pu se créer depuis le début de la civilisation. Ensuite j’ai essayé de profiter du fameux « pouvoir féminin » que nous avons sur les hommes, me servant de cette « muselière à utérus » que nous appelons la pilule, du « carcan respiratoire » que nous appelons soutien-gorge et des « échasses qui nous coupent de la Terre-Mère » que nous appelons chaussures à talons. J’ai gagné dans cette histoire de remplir encore plus mon utérus-poubelle et de brimer mon utérus-trésor. Je l’ai fait par amour de l’autre, par désir de l’autre, par faim de l’autre pour remplir mon vide intérieur. Toutefois je ne me suis jamais vraiment coupée des enseignements des femmes primordiales qui me paraissaient si loin de mon quotidien mais si vrais. Et le jour où mon amour de l’autre s’est brisé et où j’ai compris que c’est dans l’amour de moi que je pourrai libérer mon utérus-poubelle et regagner mon utérus-trésor, le voyage initiatique sur les pas des femmes primordiales a vraiment commencé.


Au cours de ce voyage j’ai fait la rencontre de flacons d’huiles bicolores remplies des merveilles des mondes végétaux et minéraux, ainsi que des sciences ésotériques des mondes humains et des Autres Mondes. Tout en eux m’a parlé de la Femme. De celle qui est un Etre Humain sans partage, de celle qui est une Déesse, dont l’Utérus est la Caverne des Mystères, le Saint Graal de la Vie. Chaque flacon est une facette de l’être complet, un principe, un archétype.


« Nous sommes les couleurs que nous choisissons. » Face à ce mur de 109 flacons, ce mur de couleurs si intenses, de lumière, mon esprit a été hypnotisé, mon corps attiré comme par un aimant. Ma main s’est levée pour toucher les flacons qui me parlaient. Un rituel qui me soutient depuis 3 ans maintenant. Ces flacons font partie d’un système de guérison énergétique appelé Aura-Soma. Je voudrais ici parler de trois flacons que j’ai choisis, utilisés, et qui m’ont guidée, aidée et qui m’ont donné la matière pour reconstruire mon utérus-trésor où je me sens désormais prête à créer un enfant de la vie et de l’amour.


Le premier est le flacon 104 « Archange Chamael », un magnifique rose moiré d’argent sur une base de magenta. Malgré toutes mes révoltes anti-féminité j’aime le rose. C’est le guérisseur de ma petite fille intérieure qui ne voulait pas grandir, qui ne se sentait pas assez forte pour grandir. Pour Vicky Wall, la créatrice d’Aura-Soma, le rose est la couleur de l’utérus. C’est la couleur de vie et de passion du rouge illuminée pour devenir couleur de préservation de la vie, d’amour inconditionnel, de non-agressivité. Et le magenta est l’amour « d’en haut », l’amour des anges, l’amour de Dieu-Déesse. Ce flacon a été celui du lâcher-prise sur la dureté avec moi-même, mon flacon aussi d’acceptation de ce que je suis, une femme. J’ai même utilisé l’huile dans mon vagin pour guérir mes sensations de brûlures qui venaient lorsque je ne respectais pas les ressentis de mon corps. C’est le flacon « Accepte tes limitations, tes souffrances, arrête de t’imposer des choses qui te font du mal, prends soin de toi ».


Ensuite j’ai utilisé le flacon 105 « Archange Azreal » corail irisé d’or sur corail. Je n’ai pas eu le courage de l’utiliser la première fois qu’il m’a appelée. Et il m’a obsédée pendant 2 ans. Le défi que le corail et l’or me proposaient était de (re)devenir la Femme-Déesse, la femme sauvage, celle qui justement est pleinement reliée à son utérus-trésor et le laisse rayonner et la guider. Au bout de 2 ans j’ai sauté le pas. 


J’avoue que le chemin accompli avec lui fut rude physiquement. Azreal est l’archange coranique du deuil et il permet de travailler au niveau des mémoires cellulaires et il a fait ressortir beaucoup de douleurs, de maladies de mon utérus et de mon ventre pour un bien : la libération. Cette huile a été aussi la guérisseuse de mon bol chantant tibétain dans lequel j’ai commencé à créer à cette époque des élixirs. Symboliquement, ce fut la partie visible ma capacité à (re)créer avec mon utérus et l’eau des émotions et de l’intuition. 

Enfin celui que j’utilise en ce moment, choisi le jour charnière de mes 30 ans : 92 « Gretel » corail pâle sur olive. Ici je retrouve la petite sorcière qui ne veut pas devenir la méchante sorcière, tellement emplie de souffrance et de dégoût de soi qu’elle ne vit que pour la souffrance des autres. Le Flacon « Gretel » est la clairvoyance du monde et des autres, sans illusions et sans amertume. Il permet à la petite Gretel de voir clair dans le jeu des adultes et de botter le train de la peur de la vieillesse amère, de ceux qui ont renié leur beauté intérieure, leur trésor. Ici j’ai retrouvé le corail de la Femme-Déesse mêlé au rose de la petite fille reposant sur l’olive du Saint-Graal, de la Femme-Leader, du soi qui s’exprime par le cœur. C’est le pont dont j’avais besoin pour réunir la Fille et la Femme. 92 est le chiffre qui permet de régler la dualité incarnée dans le 2 vis-à-vis des mystères de la matrice symbolisés par le 9. Cette dualité où la Femme et la Fille se font face dans ce lieu de pouvoir.


 Elles peuvent se reconnaître dans ce lieu de création qu’est la matrice comme une même essence à un stade différent de leur expression-incarnation. Gretel, la petite sorcière blanche peut enfin se permettre de grandir, de devenir la sorcière arc-en-ciel dont le corps de lumière peut bénir, soigner, aimer, créer à partir de son utérus-trésor-graal-chaudron rayonnant de vie et d’amour.

Chaque flacon Aura-Soma est un pas sur le chemin initiatique de la quête du Graal, de la reconquête devrions-nous plutôt dire, de ce lieu secret au plus profond de nous, la Matrice, où se place le Maître. La fusion amoureuse de l’Esprit-Maître-Père et de la Matière-Argile-Matrice-Mère éveille l’Enfant Divin Créatif. C’est en notre Matrice, notre Caverne que nous pouvons renaître, méditer et matûrer pour devenir des Femmes-Humains Libres et Complets. 




Emilie « Elijah » Bourdet
Sorcière-chamane-guérisseuse moderne et nouvelle praticienne Aura-Soma