Nombre total de pages vues

dimanche 26 février 2017

Renaître à la joie



« La joie profonde du cœur est une boussole qui nous indique le chemin de la vie. », Mère Teresa.

Cultiver comme un jardin la joie dans son cœur. Telle l’Abbesse Hildegarde de Bingen, mettre des épices dans ses biscuits (si possible à l’épeautre !), c’est donner un goût de joie à sa vie dans toutes les circonstances. Une saveur proche du chocolat noir : amer mais intéressant, ouvrant le palais à une notion nouvelle.

Un certain mystère habite la réception de la joie par le don. Quelque chose de plus grand que soi est exprimé par les plus grands mystiques ou philosophes : « Bonne est l’action qui ne donne aucun regret et dont le fruit est accueilli avec joie et sérénité. » selon Bouddha. 



Donner de la joie, de l’attention, du temps, un petit bout de vie, permet de ressentir soi-même un certain allègement jusque dans les moments de détresse absolue. La science le prouve aujourd’hui, ce que Mathieu Ricard a démontré en se soumettant à des tests neurologiques relatés récemment.

Cette vérité, je l’expérimente depuis plusieurs mois, après le décès in utero de notre premier enfant à 6 mois de grossesse. Il vous semble littéralement que le Ciel vous tombe sur la tête. Au-delà de toutes les questions qui ne trouveront jamais de réponse, il faut apprendre à se relever, continuer de se lever le matin, se nourrir, prendre soin de ce corps qu’on ne peut regarder sans pleurer…

Et pourtant, quelque chose renaît. Comme une fleur au printemps réussit à percer la neige. Équilibre entre amertume et douceur. Nostalgie et Amour de la vie.

Tristesse s’installe et Joie se tait. Joie boude, croise les bras, puis se ressaisit, essaie d’écarter les coudes. Tristesse se défend mais Joie nous surprend au détour d’un anachronisme de la vie qui réussit à nous arracher un petit sourire… un premier petit sourire… l’éclat de rire reviendra plus tard… Il revient le jour où l’on comprend que la tristesse et l’amour déjà porté à cet enfant vivront toujours avec nous.

Accepter l’ambivalence, c’est planter la graine pour cultiver la joie. Ces sentiments nous accompagneront en donnant des couleurs nouvelles à la toile qui continue de se dessiner jour après jour pour nous faire grandir. Ces couleurs s’exprimeront dans des tons gris, orageux, mais enrichissent la gamme de notre existence et, curieusement, ouvrent notre cœur à une expérience nouvelle, celle de la compassion.

Plus simplement, en posant son regard sur le monde, il est évident que l’épreuve est présente tout autour de nous : l’acidité de la vie qui s’exprime dans la pauvreté matérielle s’affichant sous nos fenêtres, l’appauvrissement de l’âme malgré les richesses terrestres, les déchirements familiaux, les départs, les incompréhensions. Ces drames n’ont d’égal que la douceur dans le sourire des enfants des rues jouant avec insouciance momentanée sous une pluie battante, lors d’une visite impromptue, joie dans le regard d’une personne âgée connaissant la solitude…

Il convient de ne pas tomber dans le piège de tout relativiser : ma détresse est bien présente, celle de mon interlocuteur est incomparable à la mienne. Joyeuse, cette mère de famille nombreuse dans un quartier défavorisé des favelas me montre l’échographie payée par notre association : quelle force me permet de ne pas éclater en sanglots malgré les larmes qui montent ? Je ne le sais pas. Je suppose que c’est la petite graine que j’ai choisi de planter ce matin dans mon cœur en me forçant à aller apporter de l’écoute et du réconfort à ces femmes défavorisées. Mais défavorisées par quoi ? Par la vie ?

La détresse matérielle et la détresse morale sont-elles comparables ? Nul ne le sait. Chacune est présente sur Terre depuis la nuit des temps. Et pourtant, ces femmes ont planté la même graine que moi, choisissent en se levant de cultiver la joie malgré les coups de leur mari, les maladies de leurs enfants, la douleur des crises de manque, les viols des clients…

L’épreuve peut renforcer. J’ai connu des moments tellement sombres que le déchirement ne peut que laisser entrer un peu de lumière. Cette toute petite lueur, c’est l’espoir d’un jour nouveau dont a besoin la petite graine qui ne demande qu’à être cultivée pour grandir et se donner dans une énergie nouvelle.

« Partout où il y a joie, il y a création : plus riche est la création, plus profonde est la joie. »

Cultiver la joie, c’est chérir ce jardin dans notre âme par tous les moyens que la vie met à notre disposition si nous ouvrons les yeux : ces proches qui n’attendent qu’un pas vers eux, cette œuvre musicale qui réveille nos sens, ce paysage qui s’étend sous notre regard, ce texte qui nous apporte exactement les mots dont nous avions besoin à cet instant, ces bras qui nous entourent de leur chaleur, ce dépassement de soi dans une course effrénée. Cultiver la joie dans la solitude gracieuse, un moment volé à nos obligations, au jour, à la nuit, à l’éternité.

Cultiver la joie devient alors un choix : je choisis de laisser la mélancolie me happer à chaque moment de ma journée, ou je choisis de nourrir, en me forçant un peu, les petites folies qui m’habitent. Dire oui à la vie, accepter de se laisser approcher par la bienveillance, accepter de voir la chance d’être portée par ses proches et à son tour, de porter assistance à ceux qui n’ont pas ce bonheur. Ouvrir les yeux sur les autres couleurs dont la vie nous entoure et peu à peu, faire grandir cette petite graine de joie qui veut percer le froid, la neige et la détresse.

Cultiver la joie, c’est aussi apprendre à renoncer. Les choix me conduisent à refuser les sollicitations qui ne me ressemblent pas, résister aux chants des sirènes, quitte à s’initier à la nage à contre-courant. Bien sûr, c’est plus fatigant ! Mais quelle libération, quelle joie plus grande encore que celle connue jusqu’alors, que de renaître à soi, profondément, sereinement, joyeusement.

Yola SARRAT
desraisinsverts@gmail.com


vendredi 24 février 2017

LES ENERGIES DE LA DEESSE GAÏA



Je suis Marie, la gardienne de ce lieu, la protectrice de ce lieu, la Mère de ce lieu. Je viens à vous, mes amis, ce matin, avec la joie et l'amour dans mon cœur, avec l'amour dans mon cœur pour vous tous. Je viens vous parler de la Déesse, des énergies féminines, de l'amour et la compassion. Beaucoup d'entre vous me connaissent en tant que mère de Jésus, mère de Sananda, durant cette période que j'appellerais son sacerdoce palestinien.

Beaucoup me voient dans le rôle de mère de Jésus et non de beaucoup d'autres manières. Mais, en fait, je suis la représentation des énergies de la Déesse : ces énergies, qui maintenant sont en train d'être diffusées sur votre planète, afin d'aider à ranimer en chacun le souvenir de la divinité de la planète, et à ranimer votre propre divinité qui est en vous. Cette divinité est présente dans le cœur de tous. Pour réaliser cette divinité, mes enfants, vous devez permettre à l'amour et à la compassion de couler dans vos cœurs.



Beaucoup d'entre vous se demanderont comment réaliser l'ouverture du cœur, comment permettre à l'énergie de l'amour et de la compassion de couler dans vos cœurs. Ceci est simple, mes enfants. Il n'y a pas de méditations compliquées, ni de prières journalières compliquées, ni de rituels compliqués. C'est simplement une question d'affirmer que vous êtes amour, que vous êtes lumière, et que vous êtes compassion, incarnés dans cette réalité tridimensionnelle. Si vous faîtes ces affirmations, vous verrez que ces énergies d'amour, ces énergies de compassion, couleront juste tout droit dans vos cœurs, tout droit dans vos vies, et vous deviendrez feu d'amour, feu de lumière, sur cette planète troublée qui est vôtre. Quelques-uns diront " à quoi bon devenir amour et lumière ? ", et d'autres diront " pourquoi devrais-je travailler pour être amour, alors que, autour de moi, il y a l'opposé de l'amour ?

Ne serais-je pas submergé par les pensées et les énergies des autres qui se sont dissociés de la Source, notre Dieu Mère/Père ? "

En vous permettant d'être amour, vous ancrerez l'énergie d'amour et vous ancrerez l'énergie de compassion dans ce monde. Et ainsi que vous ancrerez cette énergie d'amour, cette énergie de compassion dans ce monde, lorsque vous reprendrez votre travail journalier, votre ronde de vie, les devoirs de vie, cet amour affectera non seulement ceux qui seront en contact avec vous, mais également tous les êtres visibles et non visibles sur votre planète.

Celui-ci (John Armitage) vous a entretenu, de la Déesse Gaïa, la Terre Mère. Il est maintenant temps, mes enfants, que la divinité de la Déesse soit reconnue, et que ce mode de pensée qu'est la domination masculine, soit retourné et transmuté en compassion et amour, et alors la Déesse Gaïa continuera à vivre. Vous savez que la Déesse souffre de déséquilibres. Vous savez que la Déesse est malade. Il est maintenant temps de réaliser que vous ne pouvez pas violer votre mère, vous ne pouvez pas empoisonner votre mère, que vous ne pouvez pas piller votre mère, parce que viendra un moment, comme le moment dans toutes les vies de mère, où la mère ne tolérera pas la conduite des enfants car ceci est inacceptable. Je vous dis que le moment se rapproche où votre mère la Déesse Gaïa, Planète Terre, réagira aux actions de ses enfants. Dans le monde tridimensionnel, lorsque la mère est mécontente, d'abord elle réprimande, et si la réprimande n'opère pas de changement dans la conduite et la conscience, alors elle frappe. Elle peut consacrer du temps à la réprimande, mais vient un moment où sa patience finit par être épuisée et elle commence, à cause de la conduite, à devenir si malade qu'il est presque impossible pour elle de persévérer. A ce stade, la mère réalise que quelque chose doit être fait. Nous sommes maintenant à ce carrefour, sur votre planète. Votre mère, la Déesse Gaïa, a décidé qu'elle veut réaliser son intégralité. Réaliser son intégralité signifie parfois que l'on doit passer par une crise de guérison. Le moment de la crise de guérison arrive.

C'est largement plus proche que beaucoup ne le sauraient et autrement plus proche que beaucoup ne le redouteraient. Mais, je vous dis qu'avec l'amour et la compassion, avant tout pour la Déesse Terre, et en second lieu, pour tous ses habitants, cette crise peut être évitée. Si vous ouvrez vos cœurs, et devenez un avec l'amour du Créateur, devenez un avec l'amour de moi, Marie, mes énergies jumelles, les énergies d'Isis et, apprenez à vous unir aux énergies de compassion Qwan Yin, tout sera bien. Il y aura une transition dans l'amour, une transition dans la lumière. La Terre Mère réalisera son intégralité et, vous mes enfants, réaliserez votre intégralité avec elle. Vos lumières sont déjà en train de briller vivement. Elles peuvent être vues depuis beaucoup de dimensions de création, depuis beaucoup d'univers.

Je vous demande de transmettre cet amour aux autres. Ce n'est pas nécessaire que vous vous mettiez à courir partout, en parlant sans cesse de cet amour et de cette compassion. Il est seulement nécessaire que vous aimiez les autres. Les énergies de cet amour inconditionnel apporteront l'amour dans la vie des autres, sans que vous ayez même à leur en parler.

Vous n'avez pas besoin de leur faire un cours, mais juste de les aimer.
Vous pouvez vous demander : " Que peut-on faire concernant la peur et l'oppression ? Que peut-on faire concernant ceux qui oppriment les êtres humains sur la planète, les emplissant de peur ? " A nouveau, je vous dis, mes enfants, simplement aimez-les, car à travers votre amour, ils deviendront amour. Ils réaliseront bientôt que, lorsque tous les êtres deviendront amour, ils n'auront rien à faire. Ils voudront aussi aller par eux-mêmes vers cette énergie d'amour. Alors je vous en prie, mes enfants, ne soyez pas effrayés par ces énergies, de ces êtres qui se sont dissociés du Dieu Mère/Père. Ne soyez pas effrayés…. Aimez-les ! Aimez-les sans jugement, aimez-les inconditionnellement, avec compassion, et ils deviendront amour.

Alors, mes enfants, j'aimerais faire avec vous, une courte méditation.
Durant cette méditation, tout ce que je vous demande de faire est de vous ouvrir, de concentrer votre attention sur la zone de votre cœur, et permettre à cette énergie de compassion et d'amour, de couler à travers vous.

Mes frères et sœurs, avant de vous quitter, j'aimerais donner ce bref message aux femmes de cette planète, pas seulement aux femmes présentes dans cette session. Ce message s'adresse à toutes les femmes de toutes les races sur la planète. Vous, femmes, avez ce tendre et doux, aimant en vous. C'est une partie naturelle de vos énergies. Vous avez l'amour et la compassion en vos cœurs. C'est un triste fait celui que, bien que les hommes ont aussi cet amour et cette compassion en leur cœur, ils ont oubliés que c'est là. Ils ont été submergés par ce besoin de contrôler. Ils ont été submergés par l'énergie de peur. Cette énergie de peur, cette peur des énergies féminines dont beaucoup de mâles souffrent, a été amenée par le conditionnement à travers la religion, pas seulement le Christianisme, mais aussi par les religions de l'Est. Vous voyez, à l'origine sur votre planète, tout le monde reconnaissait l'énergie de la Déesse, mais lorsqu'il y a eu un afflux de visiteurs (nous pouvons les appeler visiteurs au lieu d'envahisseurs) sur votre planète, qui avaient des tendances très guerrières et belligérantes, la connaissance de la Déesse et la divinité féminine furent étouffées.





Je ne rejette pas toute la responsabilité sur les hommes, car en fait, il n'y a personne à blâmer. Vous pouvez dire qu'il n'y a pas de blâme, pas d'erreurs, seulement des leçons. Pas de problèmes, seulement des solutions, alors souvenez-vous de ces paroles. Mais cet étouffement de la connaissance de la Déesse, cet étouffement des énergies féminines, ont été amenés de diverses façons, par le mauvais usage des femmes de l'énergie féminine. Beaucoup d'entre vous connaissent les lois de Cause à Effet, et que chaque cause a un effet, alors par conséquent, les choses balancent d'avant en arrière. Les Cycles viennent, ils prennent leur course complète, toute chose parcourt un cercle et revient à nouveau au début. Je vous dis que maintenant est un nouveau début. Ce nouveau début est la reconnaissance des énergies féminines en tout.


Les hommes doivent reconnaître leur côté féminin. Ils doivent regarder dans leur cœur, regarder dans leur âme, voir les déséquilibres et ajuster les déséquilibres. Les femmes doivent aussi regarder dans leur cœur et voir qu'elles ont également un côté masculin, et équilibrer le masculin avec le féminin. Une fois que ce travail est fait, l'équilibre complet sera ici, sur la planète. Cet équilibre aura pour résultats une réalité d'amour, une réalité de compassion, et une réalité de vie, ce qui signifie qu'il n'y aura plus de conflits, qu'il n'y aura plus de peur, qu'il n'y aura plus d'oppression, que tous les êtres seront nourris à nouveau par la Déesse Gaïa. La Déesse s'équilibrera d'elle-même, elle sera guérie, sera dans son intégralité et, tous ses habitants seront à nouveau guéris, seront équilibrés dans leur intégralité. Les espèces qui ont disparues, qui sont parties, reviendront.

Les espèces quittent les planètes, car personne ne s'en préoccupe, personne ne pense à elles, car personne ne les aime. Mais lorsque l'amour sera manifesté, ici, et que l'amour régnera, le corps de cette Déesse la planète Terre, réalisera à nouveau son intégralité, tout deviendra beau.

Rien ne manquera.

Tout vivra dans l'harmonie, tout vivra dans l'amour. Je vous en prie, pensez à mes paroles.

Je vous en prie, digérez mes paroles dans votre for intérieur, et ouvrez-vous pour recevoir l'amour. Je suis Marie. Je vous bénis tous et je vous remercie d'être venu écouter mes paroles. Soyez bénis, soyez tous bénis.
Adonai (Seigneur). 

Transmis par John Armitage
Traduction par Sophie Lebon

Site de John Armitage : MAHATMA

mardi 21 février 2017

Interrogation sur la Stérilité de la femme



La stérilité a toujours été un véritable fléau, c’est-à-dire qu’elle a toujours eu un pourcentage élevé. Mais à chaque époque les causes sont différentes. La cause principale, disons ce qui qualifie la plupart du temps ce problème sur un plan énergétique, c’est un blocage que fait la femme par rapport à la loi. La loi dit, que chaque espèce doit se renouveler d’elle-même. Il y a des femmes qui, par leurs expériences passées dans d’autres réincarnations, souffrent terriblement de cette loi, soit parce qu’elles sont  mortes à l’accouchement ou ont eu des enfantements très douloureux, soit parce qu’elles ont parfois mis au monde des enfants handicapés.



La volonté de mettre au monde étant un acte qui fait peur, cela crée dans la mémoire de la femme des chocs qui bloquent cette volonté. Pour beaucoup de ces personnes, quelque part il y a eu faute. Lorsque je dis cela, je ne voudrais pas accuser ou critiquer toutes les femmes, ou tous les hommes atteints de stérilité.

L’homme n’a pas toujours été un être très développé, et au cours de ses nombreuses réincarnations, il a eu parfois des comportements très sauvages sur tout ce qui concerne le plan sexuel. Ce qui fait que, l’âme fait une sorte d’obsession à propos de ce problème qu’elle n’arrive pas à sublimer de vie en vie.

Une certaine hantise se pose sur les organes sexuels à les voir en activité, parce que  d’une certaine manière, pour ces personnes, dans leur esprit, c’est l’endroit où ils ont péché, c’est par là, où ils ont été le plus rattachés à la matière, où ils se sont faits honte eux-mêmes, alors que Dieu et les Maîtres ne leur reprochent rien.

Il n’y a pas pire juge que l’âme vis-à-vis d’elle-même. Lorsque vous avez un remords à propos de quelque chose, vous souffrez cent fois plus que si quelqu’un vous faisait un reproche. Il y a une véritable torture intérieure. Ce qui fait qu’au fur et à mesure des réincarnations, l’homme  passe par tous ces états, alors qu’aucun reproche ne lui est fait par un Maître. Il a une fixation qui bloque littéralement l’épanouissement de ce centre sexuel.

C’est ce qui fait aussi qu’il y a de plus en plus des cas de sexualité, des cas de mésentente, de désaccord, de manque d’accomplissement, alors qu’aujourd’hui les mœurs se libèrent et les rapports sexuels ne sont plus un obstacle.

L’homme, développant plus de conscience, développe en même temps le jugement, l’auto-jugement. C’est ce qui amène une nouvelle vague de résurgence de maladies ou de maladies nouvelles, et des blocages comme dans le cas de la stérilité. Dans ces cas-là, il faut apprendre, il faut rééduquer la personne à vivre l’acte de procréation, pas seulement l’acte sexuel, mais à vivre l’enfantement d’une manière positive. Si vous alliez fouiller dans l’inconscient de ces personnes, vous verriez que se nichent des tas de fantômes : naissance d’enfants handicapés, comportements suspects voire prostitution etc.

Lorsque se réincarnent ces personnes, que se passe-t-il ?
Pensez-vous que d’un seul coup ces personnes vont devenir des anges ?

Non. Il y a forcément à ce niveau-là, encore un blocage, et surtout une autodestruction. Il y a le méa culpa.  Donc, il faut nettoyer leur inconscient. De toute manière, chaque fois qu’il y a infirmité, alors que les organes eux-mêmes sont normalement constitués, il faut aller chercher dans les mémoires passées la racine du mal. Rééduquer la personne à vivre la chose de manière positive et la déculpabiliser. Il n’y a rien de plus meurtrier que la culpabilité. Cela tuerait le bon Dieu s’il se sentait coupable de quelque chose. Parce que cela crée un effet de rétroversion dans les énergies, il n’y a plus construction, il y a destruction après obturation.

Ce qui fait que, si quelqu’un développe un cas de stérilité dans sa vie présente, il est fort possible, que dans sa prochaine vie, il développe au même endroit un cancer ou une tumeur quel qu’en soit le degré. Parce que l’énergie, à force d’être coincée, sclérosée, finit un jour par se désagréger. Naturellement ce cancer va être libérateur, parce que cette mémoire va être nettoyée, c’est un peu comme lorsque l’on crève un abcès.

Mais plutôt que de passer par toutes ces douleurs, il serait bon, pendant quelques mois, d’apprendre à ces gens à nettoyer leur inconscient. Ce qui se fait très facilement, vous avez actuellement toutes les méthodes pour le faire, parce que vous avez la connaissance de cet aspect caché de la conscience. Ce qu’il faut, c’est juste adapter la méthode au cas qui concerne votre démarche, et vous pouvez faire de véritables séminaires, pour réapprendre à penser.

Comment cela se passe-t-il ?

Il faut mettre la personne dans le cas critique. Bien sûr, vous ne pouvez pas savoir si la personne a eu des enfants infirmes, ou si c’est parce qu’elle a eu plusieurs vies en tant que prostituées, homme ou femme, ou si c’est tout simplement une peur parce que lors de plusieurs accouchements elle a énormément souffert, ou décédée.

Mettez une musique, ou tout simplement une voix magnétique et ensuite dépeignez les cas les plus tragiques. Faites imaginer à la personne qu’elle est au moyen âge, quelque part sur une roche, qu’elle porte en elle un enfant, que l’enfant n’arrive pas à naître et qu’elle meure dans d’atroces souffrances. Mais ceci doit se faire assez vite pour ne pas déranger la personne.

Faites imaginer ensuite, qu’elle est sur le point d’accoucher, qu’elle est au bout de ses forces et qu’en même temps que l’enfant est libéré, son âme rejoint l’éternel. Ensuite faites-lui imaginer qu’elle subit un avortement qui tourne mal, comme il y en a eu très souvent et à toutes les époques. Puis qu’elle met au monde un enfant anormal. Tout ceci, tout ce panorama, vous devez le décrire très rapidement à la personne pour qu’elle ne se polarise pas sur ces images néfastes, mais que sa conscience soit portée sur ces points, de manière à réveiller l’égal souvenir dans son inconscient, par osmose en quelque sorte. Ensuite vous lui dites : Voilà, vous êtes une de ces personnes. Si la personne est véritablement relaxée, immanquablement son inconscient va choisir le cas qui la concerne, comme dans la méthode des rêves conduits. Vous citez tout simplement tous les cas, toutes les catégories, et l’inconscient de la personne dès qu’il va sentir  son cas cité, va le prendre.

D’une certaine manière la personne va le revivre, mais pas de manière aussi tragique, aussi forte que s’il s’agissait d’une séance d’hypnose. Il faut simplement réveiller dans l’inconscient la même corde, et ensuite apprenez-lui à mourir en quelque sorte, puisque dans la plupart des cas il y a eu mort à l’accouchement, ou une mort intérieure à cause d’un enfant handicapé.


Donc Il faut que vous lui appreniez à mourir sans peur, et sans angoisse, quel que soit le cas qu’elle ait choisi, c’est ce que vous lui direz. « Quel que soit le cas que vous avez choisi, maintenant vous êtes contrainte de mourir. Apprenez à mourir gentiment, sans peur, sans angoisse, acceptez  la libération. Ne regardez pas l’enfant qui va vivre seul, ou ne dédaigniez pas l’enfant infirme qui a été mis au monde. Simplement acceptez l’état de chose sans révolte, sans angoisse. »

Ajoutez à cela de la relaxation tout à fait classique pour détendre l’esprit, et concluez avec des paysages de printemps.


Actuellement la vie moderne, le stress et l’abus de produits chimiques sont aussi des facteurs de cas de stérilité.



En ce moment, à cause des énergies nouvelles qui vont rendre la femme nouvelle, il y a mutation du corps féminin. Donc, la femme, étant en mutation, est plus spécialement visée par les énergies, elle se trouve un petit peu plus fragile dans tout ce qui la constitue. Si elle abuse de la vie et de l’activité de la vie moderne, plus l’abus de certains produits chimiques, de certains excitants comme les drogues, le café etc., il y a parasitage au niveau des énergies qui visent la reproduction. Parce que la reproduction ne serait pas souhaitable, étant donné que le type féminin est en mutation pour être un type nouveau dans la nouvelle ère.


Si  on contamine ce changement avec des données qui ne sont pas souhaitables, des données qui viennent aussi bien du psychisme, de la vie stressante, ou qui viennent tout simplement de l’abus de certaines drogues, ou de produits chimiques comme certains médicaments, le nouvel ADN qui doit s’instaurer dans cette femme, se trouve mal programmé en quelque sorte, la nouvelle race serait mal programmée et ne serait pas la race souhaitée. Alors les énergies se mettent en place pour contrecarrer les niveaux de reproduction afin que l’ADN soit préservé.

Ceci, est pour les femmes qui se placent dans la zone où justement elles peuvent devenir des nouvelles femmes. Maintenant, il n’y a pas de problème pour les personnes qui continuent à appartenir à l’ancien monde, et qui peuvent avoir des enfants, car il ne faut pas faire une généralité de tout. N’oublions pas qu’il y a interpénétration des deux zones, de l’ancienne et de la nouvelle.

Il y a des personnes qui, tout en continuant à appartenir à l’ancien monde, peuvent très bien continuer à enfanter, parce qu’énergétiquement elles sont en harmonie. Mais dès qu’il y a mutation, dès que certaines personnes s’éveillent, même s’il n’y a pas forcément une démarche spirituelle, mais si sur un plan vibratoire elles ont atteint un certain degré pouvant permettre la mutation, alors ce sont plutôt ces personnes qui sont visées par la stérilité. Ne pouvant pas s’adapter à la discipline, il vaut mieux que leur moyen de reproduction soit coupé, parce qu’elles transmettraient de fausses données à la nouvelle "race".


Il vaut mieux reproduire selon les normes de l’ancien monde, que d’essayer de produire des mutants qui ne seraient pas conformes aux normes spirituelles futures. Il vaut mieux quelqu’un d’un petit peu vieux, qu’un mutant qui est désordonné et incontrôlable.

N’oublions pas qu’il s’agit justement de créer des mutants, et c’est pour cela qu’il doit y avoir une grande sélection parmi les personnes qui sont en mutation, tandis que les autres peuvent tranquillement avoir leurs enfants.

Extrait des dossiers de la "Conscience Universelle"

samedi 18 février 2017

Le Rayon Féminin envoyé pour neutraliser les Forces des Ténèbres



Lorsque l'ancienne civilisation de l'Atlantide eut atteint le même point d'évolution que nous avons atteint aujourd'hui, il y avait peu de différence entre hommes et femmes hormis les différences physiques évidentes. À ce stage de leur évolution, les atlantes découvrirent que le son, comme notre technologie au laser d'aujourd'hui, pouvait être utilisé pour plusieurs merveilleuses méthodes de guérison. Mais du côté diabolique, les soi-disant fils de Bélial dans l'Atlantide, voulaient utiliser cette invention pour faire la guerre. Comme une balle, le son pouvait viser le cour d'un homme et le faire exploser. Des masses pouvaient être exterminées d'un seul coup. Sur cette question, un grand désaccord surgit entre les hommes et les femmes de la communauté scientifique de l'Atlantide. Curieusement, d'un côté il y avait beaucoup de femmes tandis que de l'autre côté, une majorité d'hommes avec quelques exceptions. Les femmes soutenaient que "simplement parce que l'on peut faire que chose cela n'est pas une raison pour le faire. Où en sommes-nous de notre éthique et de notre morale? Où est notre conscience?"

Le côté opposé, composé surtout d'hommes, répliquèrent que les femmes avaient le cerveau affaibli. Elles laissaient la sentimentalité entraver le progrès scientifique. Les hommes ont donc lancé une campagne contre les femmes pour les discréditer, les humilier et les déprécier. Ils ont gagné la partie et malheureusement ils ont aussi détruit leur civilisation avancée.



L'influence du Rayon Féminin à partir de l'an 2000

Ces mêmes âmes masculines sont venues occuper la terre depuis des siècles, apportant avec elles les mêmes antagonismes qu'elles nourrissaient à leur départ de l'Atlantide. Ceci a créé une civilisation "macho" où les hommes dominent le pouvoir dans les affaires, dans la politique. Ce rayon masculin dominant déséquilibré est essentiellement associé avec les soi-disantes races blanches sur la terre et il a tendance à prendre et à dominer les choses par la force. Ces âmes promeuvent le syndrome que "la force donne le droit". Il en résulte que la terre, encore une fois, se trouve au seuil de la guerre et de la destruction comme autrefois en Atlantide.

Afin de contremander cette domination et avec espoir apporter un équilibre à la situation belliqueuse sur terre, la Mère Divine a décrété qu'au début de l'année 2000 de notre calendrier occidental, elle lancerait le Rayon Féminin sur la terre. Ce rayon répand la beauté et il est préservé, encouragé, nourri, protégé et supporté dans tous ses attributs de beauté. Et chacun qui va à l'encontre sera aussitôt frappé et noyé sur les lieux par une avalanche de son karma.

En d'autres mots, partout sur cette planète, quand hommes et femmes (cela n'a pas d'importance) s'alignent avec ce rayon masculin dominateur déséquilibré, ils vont échouer ou ils seront totalement neutralisés. Ce rayon masculin dominateur déséquilibré ne peut plus persister, parce qu'il est contraire au Plan Divin pour la planète.

Comme le Rayon Féminin prend de la force et de l'importance, le rayon masculin sera rééquilibré et deviendra l'autre côté de la médaille, pour ainsi dire. Il est inévitable que toutes ces forces dominantes masculines soient dévaluées, dissoutes, qu'elles perdent leurs griffes, et qu'elles soient écrasées si elles refusent de voir la beauté de l'AMOUR.

La force pour contremander le rayon masculin dominateur devait venir directement de la plus Grande et la plus Haute Source, le côté Féminin de Dieu. Ce côté sait que la patience, la tolérance, le pardon et la souffrance sont tous de beaux attributs que le cour féminin apporte à la maternité et exprime à ses enfants.

Et pourtant, ces mêmes attributs peuvent être appliqués à la malice dans le cours des adultes, à son petit ami, mari, et n'importe quel autre adulte. Mais ils sont atténués par des : "Oh, ça va, Vas-y, Continue, J'oublie ça." Ceci est perçu comme la soi-disante "faiblesse des femmes."

Autrement dit, le coeur féminin se montre beaucoup trop indulgent envers ces égoïstes dominateurs qui pensent plus à eux-mêmes qu'aux autres.
Alors ces tendances seront maintenant anéanties et détruites par la grâce de Dieu Tout Puissant.

Les femmes, la conscience de l'Humanité

C'est pourquoi il est dit, avec plus de vigueur de nos jours, que les femmes sont la conscience de l'humanité. Ne pas l'écouter est de se placer dans un état où l'on est totalement irresponsable. Donc aujourd'hui nous parlons d'un retour à l'amour, un retour à la conscience, un retour à la droiture. L'on peut vous dire que cette tendance est inévitable. Ce n'est qu'une question de temps, de cycles. Maintenant advient le plus glorieux des temps, quand les choses commencent à montrer les dents. Dans ce cas, c'est le grincement des dents.

Maintenant vient le temps que le Maître Jésus a prophétisé il y a deux milles ans, "Ceux qui s'humilient seront exaltés, ceux qui s'exaltent seront humiliés."


vendredi 17 février 2017

La femme pour combattre la folie du monde



Plus que jamais, le côté féminin de l'humanité est appelé, de manière urgente, à accomplir sa part pour équilibrer les actions de l'homme. Sans cet aspect critique de l'équation cosmique, l'homme ne connaîtra ni la paix ni la libération de l'âme qu'il recherche tant. Celles qui se sont incarnées en tant que femmes au cours de cette vie sur terre, auront à faire face à des défis et à des situations particulières avant que l'humanité puisse faire des progrès. Ceci demande non seulement la renaissance de l'aspect féminin, mais aussi un réajustement de l'aspect masculin, celui-ci étant actuellement trop prononcé chez l'homme en général.




Ce message, livré le 28 juillet 2001, a été adressé à un groupe de femmes pour solliciter leur aide afin de s'occuper de la folie dans laquelle notre planète s'est engouffrée.

Vous voyez, mes chères, en ce temps-là, rien ne ressemblait à ce que vous pouvez probablement apprendre dans vos écoles d'aujourd'hui. Vous connaissez l'histoire, mais elle n'est pas comme ça, comme beaucoup de choses dans l'histoire ; comme mentionné par Sir Arthur, « c'est seulement un récit, c'est tout ».

Je parle de cela, car pendant cet événement, le dernier Thanksgiving, que je crois certaines parmi vous célébriez à la maison du médium ; Jill et Sir Arthur convoquèrent une réunion plutôt inattendue qui a fait sursauter plus d'une personne et surpris par son franc-parler, car plutôt que d'être un petit message réconfortant du genre : « Oh! Vous avez eu votre charmant Thanksgiving, votre Action de grâces, voilà qui est bien, bien, bien ». Eh bien ! il dit alors que votre planète, cette planète, est sur le point d'être engloutie par une onde de folie. C'était le mot employé, folie. Il est entré dans les détails, je crois, sur la manière dont cela se produirait. Si certains d'entre vous veulent l'entendre, je crois que des copies existent.

Eh bien, il n'est pas de ceux qui mâchent leurs mots, encore moins les fabriquerait-il. 
Et si vous prenez la peine de le remarquer, il y a bien eu de la folie, n'est-ce pas ? Oh ! oui ! Assez pour tout le monde ?

Je le pense. Bien, ça a tout à voir, comme on dit, avec certains facteurs de l'univers, la soi-disant ceinture de photons et ainsi de suite. Et pourtant, vraiment, se pourrait-il que cette soi-disant ceinture de photons incite des gens totalement sains, et une planète en équilibre à devenir soudainement fous? Je ne le pense pas. Je pense que lorsqu'il pleut, et que ça coule, c'est parce qu'il y avait une fuite qui ne pouvait résister à la pluie, ne pensez-vous pas? La pluie n'a pas soudainement créé l'ouverture. De même avec la folie, mes chères. Ce qui arrive aujourd'hui, n'est que la folie latente de la planète, une planète qui, hormis certaines exceptions, et je crains de ne pouvoir vous en donner une à l'échelle nationale, mais je me réfère bien sûr aux individus, au corps des individus, à l'exception de ceux, par qui la planète est devenue folle, folle depuis un temps déjà. Cinq décennies pour être plus précis. Cinquante ans de démence.

Que s'est-il passé ?

La Grande guerre a bien, j'hésite à le dire, été gagnée. Est-ce qu'une telle chose peut-elle être gagnée? Disons plutôt, a été réglée à un terrible, terrible prix. Et je vous dis, mes chères, comme chaque fois que l'on ne calcule pas le prix qu'on est prêt à payer pour quelque chose que l'on est obsédé à gagner, ça coûte trop cher. C'est un peu comme si les terribles bombardements de Nagasaki et Hiroshima avaient libéré une terrible force, mais qui s'est retournée contre ceux-là mêmes qui l'ont lancée. Y a-t-il plus fous que les Américains? Je ne sais pas. Et quand je dis ceci, mes chères, j'ai confiance dans le fait que vous devinez que je ne suis certainement pas en train de tenir une sorte de tribune politique. J'ai de meilleures choses à faire et vous aussi. Non, je dis que votre pays, votre magnifique pays, le plus magnifique du monde de bien des manières et pour des raisons variées, est aussi le plus attrayant pour ces pouvoirs qui gouvernent ces choses jugées utiles à la promotion de leur folie. Ainsi nous pouvons vraiment dire que c'est bien américain quoique l'Amérique semble être malheureusement le promoteur majeur, où l'instigateur et même la principale victime de cette démence.
Qui regarde plus la télévision que les Américains ? Personne.

Méfiez-vous de vos postes de télévision, mes chères. Méfiez-vous. Ce qui est transmis par eux est bien plus et bien moins que ce que vous pensez être du divertissement. Regardez, ceux-ci sont apparus et, pourrions-nous dire, ont été distribués, pendant la décennie des années cinquante approximativement. Peu de temps après, il y eut une certaine rencontre clandestine, entre votre propre président M. Eisenhower et les membres d'une race non terrestre. Vous en avez peut-être entendu parler. (Voyez le message ci-dessous sur les Forces Sombres).

Oh! oui. C'est arrivé. M. Truman a été impliqué aussi. Le point étant, mes chères, que des alliances impies ont été conclues et complotées non pour enrichir, non pour illuminer, elles ont aussi été lancées sur vous, sur tous. Ces choses doivent être comprises, afin que nous sachions à quoi nous en tenir, car je vous appelle, sœurs de compassion, mères de demain, et je vous demande, j'enrôle votre support afin d'être telles des infirmières dans le grand hôpital de la Divine Mère qui existe où que vous soyez. Vous êtes cet hôpital, comme le sont d'autres. C'est un hôpital non pas pour les malades mentaux, mais plutôt pour les personnes mentalement équilibrées et saines afin qu'elles puissent regagner et garder leur santé mentale, leur bon sens et ne plus jamais les perdre.

Chacune de vous ici a souffert de cela. Vous avez toutes été mentalement malades. Certaines le sont encore. Ce n'est pas une cause de honte. Pas du tout. Au contraire, c'est une question d'honnêteté. Ne pouvez-vous, chacune de vous, attraper un rhume? Il n'y a pas de raison d'être embarrassée de cela. Certaines de vous se plaignent de leurs soi-disant douleurs menstruelles. Vous n'y pensez pas à deux fois avant de le mentionner durant le déjeuner. Certaines se plaignent de maux de tête, un peu trop souvent, ajouterais-je. Et ceci n'est pas une critique. Je veux dire que si vous le mentionnez si souvent, mes chères, c'est que quelque chose doit aller affreusement mal. Ce n'est pas naturel d'avoir mal à la tête. Cela devrait être une exception, mais jamais la règle.

Pour certaines c'est plus profond. Le point étant que vous devez vous saisir de votre propre santé mentale, là où elle en est, dès maintenant. Et ne plus la laisser glisser hors de vous. Vous ne pouvez-vous le permettre. Vous ne pouvez vraiment pas vous le permettre. Je vous le dis à tout moment, les eaux montent et vous ne pouvez-vous permettre de perdre pied, car cela pourrait être votre dernière fois.

Je ne suis pas ici pour effrayer, menacer. Je suis ici pour alerter, pour réveiller, pour suggérer avec espoir que chacune de vous et toutes celles partout qui devraient entendre ces mots, en viennent à savoir que la santé mentale est pareille à, eh bien, une ligne tracée dans un champ où se joue une partie de football américain. Vous savez, si vous connaissez un peu ce jeu et, bien que je réalise que c'est un domaine d'homme, qu'il y a des divisions, la ligne de 10 verges, la ligne de 20 verges et ainsi de suite, et que le but bien sûr est d'atteindre l'autre côté et d'y rester, d'y revenir aussi souvent que vous pouvez, à n'importe quel prix, l'idée étant de ne pas laisser l'ennemi gagner le contrôle. Ne laissez pas l'ennemi gagner du terrain sur vous.

Si vous étiez en train d'escalader une montagne, vous la verriez comme ne perdant pas de terrain, c'est-à-dire, ne glissant pas vers le bas. Je dis qu'il est mieux de ne pas progresser que de régresser. Alors, gardez votre santé mentale, mes chères, pour ne pas perdre pied et aussi parce que cela peut aider celles qui l'ont perdu. Il en est de même pour ce recrutement auquel je me référais, je suis ici pour solliciter votre amour, votre aide, votre attention et peut-être aussi votre patience afin que vous sachiez toutes que cette folie, ce règne de terreur, n'est pas terminé, en fait il n'a pas encore atteint son sommet. Je parle en général et pas de cas particulier ici, alors s'il vous plaît, n'ayez pas peur.

Je suis seulement en train de dire que vu dans l'absolu, nous observons cette planète et tous ceux qui en font partie, ses habitants notamment, tous soumis à des ondes de cette chose et ceci nous mène au prochain sujet : les ondes. Ondes, certainement. Ondes d'énergies, mais énergies de qui? Que des énergies humaines évidemment. Des ondes générées par le mental des humains, qui est embrouillé, coupé de sa source divine, temporairement perdu, égaré, effrayé et par conséquent, rendu fou.

Je ne parle pas ici de définitions cliniques. Je me réfère à la santé mentale émanant de l'amour, de la paix et, dans un sens, de la relation au divin; et la folie, c'est l'absence de cela. Donc, redéfinissons la santé mentale et la folie. Et que ce soit clair que cette guerre sera gagnée. En parlant de guerre, cela me reporte en arrière aux jours de la Grande guerre, et croyez-le ou non, à une très effrayante circonstance, avec les bombes tombant sur Londres.

Nuage Rouge (Red Cloud, mon guide) me fit monter sur le porche d'un bâtiment bombardé, pour m'adresser à tous ces gens qui cherchaient dans les décombres peut-être leurs proches bien-aimés, et déclarer : « Cette guerre ne sera pas perdue! Le prix qui a été payé en sang ne l'aura pas été vainement! Courage, cher peuple, et ne permettez pas à l'ennemi de nous vaincre, en abdiquant de vos trônes de foi personnelle, de pouvoir, d'équilibre et de santé mentale. » Et ce furent les mots que j'utilisai. Difficile à imaginer que je serais ici à nouveau à répéter la même chose.

Considérez cela. Mes chères, considérez-le. Vous devez faire attention de ne pas vous plonger dans une telle dégringolade émotionnelle. Car vous savez que c'est toujours une question de choix, n'est-ce pas? Oh! Oui. Cela ne veut pas dire que nous jugeons nos camarades, certainement pas. Au contraire, la pitié n'est que plus grande car ils n'ont pas la lucidité, la prévoyance de voir où, dirions-nous, leur résistance à se contrôler a mené. Ne le faites pas, mes très chères. Tenez votre place. Ne cédez pas à la tentation d'agiter vos mains en l'air et à vous comporter en aliénée. S'il vous plaît. Cela ne fonctionne pas, n'aide pas, ne guérit pas, n'aime pas. Cela ne s'inquiète de rien. Ne le faites donc pas, je vous implore. Soyez aussi saine que vous l'êtes car toute chose s'engendre d'elle-même, vous savez, par la loi cosmique du momentum. Ce que vous êtes, EST, et s'accroît constamment. Ainsi, si vous deviez choisir la folie, eh bien, sachez à quoi vous attendre. Regardez ceux qui font du ski. Peuvent-ils s'arrêter ?

Mes chères, ceci est le dernier obstacle sérieux pour notre planète avant d'atteindre son illumination. C'est l'antithèse de l'illumination, n'est-ce pas ? La folie. Quel est son opposé, si ce n'est celui d'un être de lumière, si on pense en termes d'opposés de tout. Bien évidemment quelqu'un non seulement pas illuminé mais assez fou et loin de la paix et de la joie qui caractérisent toujours la présence de la vision divine.




Version Audio en anglais : Téléchargement de l'Audio


Estelle Roberts, voir son autobiographie : Fifty Years a Medium - New Age Spiritualist Mission

mardi 14 février 2017

A L’écoute de toutes ses émotions



Écouter nos émotions pour libérer la colère, la tristesse et la peur et laisser notre joie profonde et innée jaillir de nous !

La joie fait partie de la famille des émotions que nous ressentons, avec la colère, la tristesse et la peur. Elle nous dit que nous sommes satisfaits, c’est-à-dire que des besoins en nous sont satisfaits. Elle est associée au plaisir, à la détente, à un ressenti agréable…

Avec l’émergence de la pensée positive, on peut penser que la joie et le bonheur se développent en se concentrant sur les choses positives.  Alors, oui, le fait de se concentrer sur ce qui nous satisfait, ce qui est beau autour de nous, ce que nous avons, ce que nous sommes capables de faire, sur ce dont nous sommes fiers-fières, sur ce qu’on aime, contribue à cultiver la joie et le sentiment de satisfaction.  Cet outil permet de se rappeler que, à chaque instant, je peux ressentir les quatre émotions vu qu’elles habitent toutes en moi en permanence, c’est-à-dire que je peux à chaque instant trouver une pensée qui me rendra triste, comme une qui me rendra joyeuse. J’ai donc ainsi le choix de me concentrer plus sur le ressenti de la joie que sur le ressenti des émotions désagréables. 



Mais cet outil ne me satisfait pas entièrement.

Que faire des émotions désagréables qui surgissent en moi et qui prennent tellement de place que la joie ne m’est plus accessible ? Est-ce que je dois les rejeter ?

Soit, ces émotions sont désagréables à vivre et à faire vivre aux autres. Leur présence dérange, surtout quand on ne sait pas quoi en faire. Souvent, on n’a pas appris à les gérer sainement et sereinement ni à les comprendre. Et on peut préférer mettre toute son énergie à essayer de les faire taire afin qu’elles ne se manifestent plus et qu’on soit tranquille !

Vaine tentative ! Vous avez sûrement fait l’expérience de cette fameuse goutte d’eau qui fait déborder le vase. Ou bien de cette déconnexion avec nous-mêmes qui fait qu’on ne sait même pas ce qui nous met vraiment en pétard ou nous déprime tant et ainsi nous prive de la possibilité d’agir sur la cause !  Sans parler des maladies psychosomatiques qui révèlent ces enfouissements.

Cultiver la joie est pour moi une invitation à l’écoute des émotions qui surgissent et également des émotions désagréables. C’est leur donner de l’espace. C’est accepter qu’elles vivent en moi. C’est envisager qu’elles ont un message important à me transmettre par rapport à la situation que je vis. C’est s’ouvrir à elles et ne pas les juger ni les enfermer dans la case « me pourrissent la vie et je serais mieux si elles n’étaient pas là ! »

L’écoute et la considération des émotions sont pour moi le chemin vers la joie, la vraie, la durable. La joie est notre état naturel.
Une fois que l’émotion désagréable s’est sentie entendue et comprise, alors elle cesse instantanément de se manifester, et la joie revient ! Il n’y a pas besoin de se battre pour que la joie soit au rendez-vous ! Les enfants pleurent à chaudes larmes et une fois que leur chagrin a été écouté et pris en compte, il cesse et ils repartent jouer comme si rien ne s’était passé.

L’écoute signifie :

- Prendre du temps ;
- Se connecter à soi : se concentrer sur soi et laisser émerger ce qui vient ;
- Accueillir ce qui est en essayant de ne pas juger ;
- Écouter les jugements qui arrivent (sans se juger !) ;
- Être avec ce qui surgit.
Par exemple, en faisant une activité qui amène à la concentration et à l’introversion (méditation, marche…), en utilisant un support (écriture, dessin…), en en parlant à une personne bienveillante et dans l’accueil, etc.

Quel message les émotions désagréables ont-elles à nous dire ?

Elles nous disent qu’un besoin n’est pas satisfait. C’est un voyant rouge sur notre tableau de bord, c’est un signal lumineux qui nous dit « quelque chose ne va pas ». Tous les êtres humains ont les mêmes besoins à satisfaire. Il y a des besoins physiques (boire, se nourrir, avoir chaud…) et des besoins psychologiques (se sentir aimé, reconnu, en sécurité, autonome, avoir une orientation, pouvoir être créatif…).

Ainsi, la colère nous informe que l’objet de cette colère est considéré comme une menace à notre bien-être et elle crée en nous une grande force pour nous battre contre cette menace. La tristesse nous informe que nous ressentons un manque et permet de prendre le temps de faire le deuil. Et la peur nous informe qu’il y a un danger et déclenche en nous des réactions physiques qui nous aident à faire face au danger plus efficacement.

Est-ce acceptable d’exprimer ses émotions ?

Accueillir ces émotions désagréables, c’est aussi se libérer des jugements qu’on a sur elles, du fait qu’on les ressente. Selon notre histoire et notre éducation, nous pouvons avoir des croyances sur l’interdit d’exprimer certaines émotions, voire toutes : « une petite fille est laide quand elle se met en colère », « un garçon qui pleure est une femmelette », « pour survivre, tu ne dois pas avoir peur », « il faut être positif », « ressentir des émotions, c’est être faible »…

Or tout le monde, y compris les animaux, ressent ces émotions. Elles s’expriment en premier lieu par notre corps (accélération du battement du cœur, frissons, tétanie…). Elles font donc partie de nous. Elles vont et viennent au gré des situations, nous informant si ces situations nous conviennent ou non. Elles nous permettent de réajuster nos décisions et nos comportements pour être satisfait profondément. Elles sont là pleinement à notre service et pour nous guider vers l’épanouissement.

Cultiver la joie est un chemin. Un chemin merveilleux vers le dialogue et la connaissance de soi, vers le pardon et la guérison, vers la libération de ce qui nous pèse et des non-dits. Un chemin à la rencontre de notre joie intérieure, celle qui nous habite naturellement.

À chaque instant, notre être nous donne les clés par un ressenti de ce dont il a besoin pour se sentir en joie. À nous de l’écouter et de lui tendre les bras !


Laure GUIGARD
consciencejoyeuse.com 
consciencejoyeuse@mailoo.org