La Presse
médicale reste très hostile à ces promotions féminines, comme en témoigne le
Concours médical, en 1900. Mais qu'importe, ces femmes intrépides ont gagné et,
en 1900, on compte déjà en France 87 médecins-femmes en exercice dont une à
Angers, Mme Relers. L'Amérique est également hostile à l'exercice de la
médecine par la femme : « Parce qu'elle est faible, parce que cela l'empêche
d'élever ses enfants, parce qu'il peut y avoir des conflits et des difficultés
pratiques si la même famille emploie deux médecins, homme et femme. Enfin, la
femme ne peut avoir autant de finesse et d'adresse que les hommes qui exercent
depuis des siècles », déclarent médecins et professeurs dans une pétition
s'opposant à l'entrée des femmes en Faculté, en 1863. Elisabeth Blackwell, qui
dirige la lutte, est refusée partout. Elle étudie donc à Londres puis à Paris,
parmi les premières, puis revient dans son pays ouvrir un dispensaire, puis un
hôpital maternel et pédiatrique. Malgré ses titres et son action, elle n'est
pas reconnue et part définitivement à Londres où lui est offerte une chaire de
gynécologie. Mais l'opinion publique est ébranlée et, finalement, les Facultés
s'ouvrent aux femmes en 1890 et, en 1900, plus de 2 000 femmes exercent.
La Suisse
est plus libérale : dès 1860, les femmes peuvent faire médecine à Genève; ce
sont surtout des étrangères repoussées par leurs pays. Pour les jeunes filles
suisses, le taux d'abandon est important, faute d'une instruction préliminaire
suffisante. Ainsi n'y a-t-il que 26 femmes-médecins en exercice en 1900, contre
1 100 inscrites.
En
Angleterre, l'opposition est farouche. Miss Garett, déterminée à être médecin,
essuie tous les refus et doit être infirmière, puis sage-femme, avant de se
résoudre à faire médecine à Paris, pour être docteur en 1868. Cinq femmes
cependant, en 1869, sont admises en « cours spéciaux » à Edimbourg ; mais les
étudiants boycottent leurs examens et l'hôpital est fermé. Elles partent en Suisse
finir leurs études et ouvrent une école de médecine pour les femmes dès leur
retour. Seul un jury irlandais accepte de juger leurs élèves ! Enfin, Londres
cède en 1890, puis Edimbourg et il y a, en 1900, 258 femmes-médecins en
Angleterre, et 156 s'établissent en Inde, en Chine, en Egypte. La
médicalisation des pays d'Orient est due aux « missions médicales » dont
certaines sont, dès lors, exclusivement féminines.
Mais
certaines écoles de médecine anglaises n'accepteront des femmes qu'en 1939,
lorsque le ministère de la Santé décide de subordonner les subventions à
l'admission d'une femme pour 5 hommes, pourcentage jugé « raisonnable ». En
Autriche-Hongrie, l'occupation de la Bosnie a curieusement permis de faire
disparaître les a priori : les conditions de vie et d'hygiène des Bosniaques
sont déplorables, la morbidité est importante, le gouvernement s'en émeut. Ce
sont pour la plupart des musulmanes ; aussi est-il décidé d'offrir quelques
postes de médecins de district à des femmes, pour visiter les femmes
bosniaques. Le zèle de deux étrangères, Mm e Koraeiwska, Polonaise, et Mm e
Keck, Allemande, emporte la décision d'ouvrir les Facultés en Autriche aux
femmes, en 1890.
En Allemagne
: en 1850, à l'ère de la grande industrie, il y a 26 millions de femmes pour 25
millions d'hommes. Il faut ouvrir le marché du travail à ce million
surnuméraire ; des écoles pratiques et techniques sont créées pour les femmes
mais, malgré ces conditions démographiques, les femmes ne peuvent prétendre à
l'accès aux études médicales jusqu'en 1898, et la première immatriculation de
femme-médecin a lieu à Heildelberg en 1900 ! En Russie, la femme moscovite est
réduite à « l'esclavage jusqu'au XIIIe siècle, cloîtrée dans une partie de la
maison, le Terem ». Pierre Le Grand abolit les terems.
Catherine II
crée les instituts pour demoiselles. En 1857, le lycée féminin de
Saint-Pétersbourg conduit aux études supé- rieures, mais non à la médecine.
Seule une boursière du Corps des cosaques devient médecin pour soigner les
femmes d'officiers et de soldats. Quelques Russes s'instruisent en Suisse et à
Paris. Mais l'opinion publique est favorable, l'opposition est surtout le fait,
du gouvernement qui n'autorise, en 1872, que l'ouverture d'un cours supérieur
pour sages-femmes, à l'école de médecine militaire de Saint-Pétersbourg. Les
conditions d'entrée sont strictes : être âgée de plus de 20 ans, titulaire de
plusieurs baccalauréats, d'une autorisation des parents et d'un certificat de «
bonne vie et mœurs », délivré par la police.
Ces cours
deviennent très vite des études médicales clandestines, reconnues comme telles
en 1875 seulement. Lorsque la guerre contre la Turquie éclate, les étudiants de
fin d'études de médecine partent au front ; 25 étudiantes obtiennent de les
suivre ; elles se couvrent de gloire, obtiennent toutes le doctorat au retour,
favorisant ainsi l'ouverture de la première école de médecine pour femmes, en
1895. Dès l’ores, la féminisation du corps médical est spectaculaire,
atteignant très vite 75 %. La médecine n'était masculinisée en Russie que parce
qu'elle était exclusivement militaire ; la consommation médicale sous les tzars
était minime ; la médecine naissante, dans ce pays encore très pauvre, est
essentiellement préventive, peu coûteuse, d'emblée fonctionnaire et dénuée du
caractère prestigieux qu'elle revêt à l'Ouest. 557 femmes exercent la médecine
en 1902, 20 000 en 1926 ! Mais peu d'entre elles accèdent aux postes
d'enseignement et de recherche, aussi peu qu'en Europe et en Amérique.
Conclusion : Si l'on définit la pratique
médicale par les soins apportés aux enfants, aux femmes et aux hommes d'une
famille, aux bêtes d'un village, alors les femmes sont, à l'évidence, médecins
depuis toujours. Mais il faut interroger l'histoire pour voir qu'il n'en est
rien. Il semble bien exister un lien naturel entre la femme et les métiers de
soins, mais l'accès à la profession médicale, les conditions d'exercice de la
médecine par les femmes au cours des siècles, à travers les civilisations
paraissent dépendre, d'une part, du statut de la femme dans la société, des
possibilités d'instruction qui lui sont données et, d'autre part, du prestige
de la profession médicale.
Les raisons
historiques d'interdire ou d'autoriser cette activité féminine sont
sous-tendues par le souci de relier ou non l'existence des femmes aux modèles
mêmes de la profession médicale à un moment donné. Il n'existait pas de femme
docteur en médecine jusqu'à la fin du XIXe siècle, et le taux de féminisation
en médecine actuellement est de 20 % (45 % en médecine du travail) : on peut
voir là les effets d'une longue lutte féministe, tout aussi bien que d'une
perte progressive du prestige de la profession, de ce prestige que connaissent,
dans nos pays occidentaux, les professions libérales importantes, à faible effectif.
Il semble, à travers l'histoire, que l'acte médical n'est masculinisé que s'il
se mesure en pouvoir, en puissance d'argent et en puissance civique. Cet
héritage historique conditionne en partie le mode d'exercice de la médecine par
les femmes et l'idée qu'elles s'en font elles-mêmes, encore en 1982.
par Mme le docteur D. PENNEAU
Ma vie est belle grâce à vous, Mein Helfer. Seigneur Jésus dans ma vie comme une lumière de bougie dans l'obscurité. Tu m'as montré le sens de la foi avec tes paroles. Je sais que même lorsque je pleurais toute la journée en pensant à la façon de me rétablir, tu ne dormais pas, tu m'étais cher. J'ai contacté le centre d'herboristerie Dr Itua, qui vivait en Afrique de l'Ouest. Un de mes amis, ici à Hambourg, est également originaire d'Afrique. Elle m'a parlé des herbes africaines, mais j'étais nerveux. J'ai très peur quand il s'agit de l'Afrique parce que j'ai entendu beaucoup de choses terribles à leur sujet à cause de mon christianisme. Dieu pour la direction, faites un pas audacieux et prenez contact avec lui dans le courriel et puis allez à WhatsApp, il m'a demandé si je peux venir pour un traitement ou si je veux une livraison, je lui ai dit que je voulais le connaître j'achète des billets d'avion de 2 façons pour l'Afrique Pour rencontrer le Dr Itua, je suis allé là-bas et j'étais sans voix de la part des gens que j'y ai vu. Brevet, des gens malades. Itua est un dieu envoyé dans le monde, j'ai parlé à mon pasteur de ce que je fais, le pasteur Bill Scheer. Nous avons une belle bataille avec l'esprit et la chair. Adoration la même nuit. Il a prié pour moi et m'a demandé de diriger. J'ai passé 2 semaines et 2 jours en Afrique au Dr Itua Herbal Home. Après le traitement, il m'a demandé de rencontrer son infirmière pour faire le test du VIH quand je l'aurais fait. Il était négatif. J'ai demandé à mon ami de m'emmener dans un autre hôpital voisin quand je suis arrivé, il était négatif. Le résultat m'a fait perdre la tête, mais j'étais heureuse au fond de moi. Nous sommes allés avec le Dr Itua, je le remercie mais je lui explique que je n'ai pas assez pour lui montrer ma reconnaissance, qu'il comprend ma situation, mais je lui promets qu'il témoignera de son bon travail. Dieu merci pour ma chère amie Emma, je sais que je pourrais lire ceci maintenant, je veux vous remercier. Et un grand merci au Dr. Itua Herbal Center. Il m'a donné son calendrier que j'ai accroché au mur de ma maison. Le Dr Itua peut également soigner les maladies suivantes : VIH, herpès, hépatite B, foie inflammatoire, diabète, cancer de la vessie, cancer du cerveau, cancer de l'œsophage, cancer de la vésicule biliaire, maladie trophoblastique gestationnelle, cancer de la tête et du cou, lymphome de Hodgkin
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