La roue de l’Année Dianique

L’année est une femme qui danse, née avec la venue du printemps.

L’année est une femme qui danse, sa naissance et sa mort nous chantons.

Les femmes célèbrent rituellement les saisons et les cycles de la nature comme l’ont fait leurs ancêtres de tous les coins du globe. Le retour à une conscience où la nature est révérée et célébrée provient naturellement des mouvements écologiques et féministes de la fin des années 1960 et du début des années 1970. L’intérêt croissant pour le Dianisme et les autres traditions de la Déesse, les rituels féministes, et les racines païennes des religions occidentale s, offrent de plus en plus de façons de célébrer les thèmes éternels de la nature, les cycles de naissance, mort, renaissance.

Ce renouveau des traditions religieuses pré-chrétiennes et Wicca depuis quelques décennies ont été l’inspiration principale et la source originelle de nombreuses coutume rituelles et ont donné l’orientation générale des jours sacrés païens célébrés parles sorcières et les autres païens modernes aujourd’hui. Ces thèmes rituels saisonniers convergent principalement sur le cycle de fertilité de la Déesse et de Son conjoint mâle. La plupart des traditions néo-païennes et Wiccanes célèbrent le cycle sexuel et de fertilité de la nature exclusivement dans des termes hétérosexuels, avec un accent particulier sur le cycle de la vie et de la mort du Dieu inclus dans l’éternité de la Déesse, voyage cyclique à travers les saisons. Là où la Déesse est éternelle et immortelle, le Dieu est saisonnier. Il est né d’Elle, s’accouple avec Elle, meurt à la saison convenue et est réincarné encore par Elle.

Dans la tradition Dianique, où la Déesse est le centre unique de la pratique religieuse, on considère que les cycles de vies féminins fusionnent et s’imbriquent dans le cycle saisonnier et mythique de la Déesse.