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vendredi 8 avril 2016

Bien-aimée Quan Yin, Déesse de la Compassion



 Pour le peuple chinois, cet aspect bien-aimé de la Mère divine, incarnant le « principe féminin », est le patron national. Bien des Chinois ont cependant oublié la « Mer » qui parraine leur pays par la compassion et l’amour infinis de son cœur. La Chine entière est parsemée de temples et de statues honorant cette déité, mais son culte n’est plus vraiment vivant dans le cœur de son peuple. La véritable signification des miracles de l’amour qu’elle pourrait créer dans ce pays, si les gens tournaient leur cœur vers elle, a été négligée. Elle n’a pas été entièrement oubliée, mais on l’a tellement délaissée que la dévotion qu’on lui voue n’est plus aussi efficace qu’auparavant. 



Les cérémonies de dévotion à Quan Yin qui ont lieu dans ce pays sont généralement devenues des rituels dictés par des habitudes culturelles, des traditions à observer. Ce ne sont plus des cérémonials visant à allumer le feu de l’amour et de la compassion dans le cœur des âmes évoluant dans ce pays. Les feux du cœur de l’amour et de la compassion de la bien-aimée Quan Yin sont si puissants que celle-ci pourrait littéralement aider à la libération pacifique et harmonieuse du peuple chinois s’il se tournait vers elle et s’y abandonnait en toute confiance. L’observation formelle des vieilles traditions sans que soit allumé le feu des cœurs ne peut produire de résultats bien spectaculaires.

 Ce que nous vous disons ici de la Chine et de Quan Yin s’applique également à vous tous dans vos divers pays. L’amour de cette Déesse est infini ; il n’est pas limité à un seul pays ni  à une seule civilisation. 

Quan Yin n’est pas le principe féminin divin du seul peuple chinois ; elle l’est aussi pour tous ceux qui, dans le monde, se tournent vers elle.

La Mère Marie et Quan Yin travaillent en étroite collaboration, chacune symbolisant à sa façon unique l’archétype du véritable féminin divin sur cette planète et au-delà. Toutes deux « reines de plusieurs mondes », elles sont ici pour vous aider tous à atteindre ce qu’elles ont atteint elles-mêmes. 

 La déesse Quan Yin, dont le nom signifie Princesse du Cœur du Lion, est considérée par les érudits taoïstes comme un Être venu jadis de l'une des plus brillantes étoiles de notre galaxie, du Tibet, où le Dalaï Lama est reconnu comme l'incarnation d'un Etre cosmique du nom de Chenrezig (Cherenzig étant la polarité masculine de Quan Yin), et enfin du Japon, dont les empereurs descendent d'Ameratsu, qu'ils vénèrent en tant que déesse solaire mais qui fut en réalité le fruit de l'union d'une humaine et d'un membre de l'équipage du vaisseau commandé par Fen-Tsé.

Quan Yin, déesse vénérée à travers tout l'Orient, vient de Regulus (Alpha de la Constellation du Lion)

Quan Yin est une divinité syncrétique où se rejoignent deux grands symboles : celui de la Mère Divine (en Chine principalement) et celui du Bodhisattva de la Compassion, que l'on trouve au Tibet sous la forme de Chenrezig (" les Yeux de l'Amour ") et de Tara. Quan Yin et Chenrezig, que l'on présente parfois comme son pendant masculin, ont tous deux le même mantra : Om Mani Padme Hum.

Elle est aussi une des rares divinités à faire partie en toute quiétude de plusieurs religions différentes : on trouve son image, toujours variée, toujours elle-même, tant sur les autels bouddhistes que dans des lieux taoïstes. Son regard paisible veille sur les ancêtres de l'autel confucianiste en Chine, shintoïste au Japon, qui voisinent souvent le sien.

Sous ses traits de Grande Mère, la Compassion du Monde se manifeste aussi comme Tara au Tibet, Yemaya l'africaine ou la Virgén de Guadalupe d'Amérique du Sud... quand ce n'est pas tout simplement sous les traits de la Vierge Marie, dont le culte, qui a pris naissance tout le long de la Méditerranée, s'est tellement répandu chez les femmes catholiques que le Vatican a été obligé de reconnaître sa divinité pour endiguer la pratique populaire.

Partout les femmes prient depuis toujours la Dame Blanche pour la guérison d'un enfant malade ou la consolation des tribulations de la vie. Toujours elle entend, et de sa Présence console la peine, rafraîchit le front brûlant, apaise la douleur. Quan Yin signifie "Celle qui entend les plaintes des êtres conscients".

Sous sa forme tibétaine, elle devient lui : Chenrézig, "Yeux aimants", dont une forme est munie d'un millier de bras qui forment autour de lui tout un mandala prêt à secourir tout être s'adressant à lui.

Car il faut le dire, il faut demander, sinon Elle/Il ne peut pas savoir que sa Présence est requise...

Dans le sanctuaire qui abrite sa statue, Quan Yin vous attend. Entre ses mains brille la vasque emplie du nectar qu'elle verse sur les blessures du monde. La roue de son mantra, Om Mani Padme Hum, tourne à l'infini, générant une énergie bienfaisante qui se répand dans toutes les directions.

Prenez le temps de saluer cette image venue du trésor commun de toute l'humanité et laissez de votre coeur monter le cri sincère.

 Laissez-vous toucher par la subtile présence de la Compassion du Monde.

Message d’ADAMA, notre mentor Lémurien Extrait du blog de Francesca http://francesca1.unblog.fr/


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