Plus
que jamais, le côté féminin de l'humanité est appelé, de manière urgente, à
accomplir sa part pour équilibrer les actions de l'homme. Sans cet aspect
critique de l'équation cosmique, l'homme ne connaîtra ni la paix ni la
libération de l'âme qu'il recherche tant. Celles qui se sont incarnées en tant
que femmes au cours de cette vie sur terre, auront à faire face à des défis et
à des situations particulières avant que l'humanité puisse faire des progrès.
Ceci demande non seulement la renaissance de l'aspect féminin, mais aussi un
réajustement de l'aspect masculin, celui-ci étant actuellement trop prononcé
chez l'homme en général.
Ce
message, livré le 28 juillet 2001, a été adressé à un groupe de femmes pour
solliciter leur aide afin de s'occuper de la folie dans laquelle notre planète
s'est engouffrée.
Vous voyez, mes
chères, en ce temps-là, rien ne ressemblait à ce que vous pouvez probablement
apprendre dans vos écoles d'aujourd'hui. Vous connaissez l'histoire, mais elle
n'est pas comme ça, comme beaucoup de choses dans l'histoire ; comme mentionné
par Sir Arthur, « c'est seulement un récit, c'est tout ».
Je parle de cela, car
pendant cet événement, le dernier Thanksgiving, que je crois certaines parmi
vous célébriez à la maison du médium ; Jill et Sir Arthur convoquèrent une
réunion plutôt inattendue qui a fait sursauter plus d'une personne et surpris
par son franc-parler, car plutôt que d'être un petit message réconfortant du
genre : « Oh! Vous avez eu votre charmant Thanksgiving, votre Action de grâces,
voilà qui est bien, bien, bien ». Eh bien ! il dit alors que votre planète,
cette planète, est sur le point d'être engloutie par une onde de folie. C'était
le mot employé, folie. Il est entré dans les détails, je crois, sur la manière
dont cela se produirait. Si certains d'entre vous veulent l'entendre, je crois
que des copies existent.
Eh bien, il n'est pas
de ceux qui mâchent leurs mots, encore moins les fabriquerait-il.
Et si vous
prenez la peine de le remarquer, il y a bien eu de la folie, n'est-ce pas ? Oh
! oui ! Assez pour tout le monde ?
Je le pense. Bien, ça
a tout à voir, comme on dit, avec certains facteurs de l'univers, la soi-disant
ceinture de photons et ainsi de suite. Et pourtant, vraiment, se pourrait-il
que cette soi-disant ceinture de photons incite des gens totalement sains, et
une planète en équilibre à devenir soudainement fous? Je ne le pense pas. Je
pense que lorsqu'il pleut, et que ça coule, c'est parce qu'il y avait une fuite
qui ne pouvait résister à la pluie, ne pensez-vous pas? La pluie n'a pas
soudainement créé l'ouverture. De même avec la folie, mes chères. Ce qui arrive
aujourd'hui, n'est que la folie latente de la planète, une planète qui, hormis
certaines exceptions, et je crains de ne pouvoir vous en donner une à l'échelle
nationale, mais je me réfère bien sûr aux individus, au corps des individus, à
l'exception de ceux, par qui la planète est devenue folle, folle depuis un
temps déjà. Cinq décennies pour être plus précis. Cinquante ans de démence.
Que s'est-il passé ?
La Grande guerre a
bien, j'hésite à le dire, été gagnée. Est-ce qu'une telle chose peut-elle être
gagnée? Disons plutôt, a été réglée à un terrible, terrible prix. Et je vous
dis, mes chères, comme chaque fois que l'on ne calcule pas le prix qu'on est prêt
à payer pour quelque chose que l'on est obsédé à gagner, ça coûte trop cher.
C'est un peu comme si les terribles bombardements de Nagasaki et Hiroshima
avaient libéré une terrible force, mais qui s'est retournée contre ceux-là
mêmes qui l'ont lancée. Y a-t-il plus fous que les Américains? Je ne sais pas.
Et quand je dis ceci, mes chères, j'ai confiance dans le fait que vous devinez
que je ne suis certainement pas en train de tenir une sorte de tribune
politique. J'ai de meilleures choses à faire et vous aussi. Non, je dis que
votre pays, votre magnifique pays, le plus magnifique du monde de bien des
manières et pour des raisons variées, est aussi le plus attrayant pour ces
pouvoirs qui gouvernent ces choses jugées utiles à la promotion de leur folie. Ainsi
nous pouvons vraiment dire que c'est bien américain quoique l'Amérique semble
être malheureusement le promoteur majeur, où l'instigateur et même la
principale victime de cette démence.
Qui regarde plus la
télévision que les Américains ? Personne.
Méfiez-vous de vos postes de
télévision, mes chères. Méfiez-vous. Ce qui est transmis par eux est bien plus
et bien moins que ce que vous pensez être du divertissement. Regardez, ceux-ci
sont apparus et, pourrions-nous dire, ont été distribués, pendant la décennie
des années cinquante approximativement. Peu de temps après, il y eut une
certaine rencontre clandestine, entre votre propre président M. Eisenhower et
les membres d'une race non terrestre. Vous en avez peut-être entendu parler.
(Voyez le message ci-dessous sur les Forces Sombres).
Oh! oui. C'est arrivé. M.
Truman a été impliqué aussi. Le point étant, mes chères, que des alliances
impies ont été conclues et complotées non pour enrichir, non pour illuminer,
elles ont aussi été lancées sur vous, sur tous. Ces choses doivent être
comprises, afin que nous sachions à quoi nous en tenir, car je vous appelle,
sœurs de compassion, mères de demain, et je vous demande, j'enrôle votre
support afin d'être telles des infirmières dans le grand hôpital de la Divine
Mère qui existe où que vous soyez. Vous êtes cet hôpital, comme le sont
d'autres. C'est un hôpital non pas pour les malades mentaux, mais plutôt pour
les personnes mentalement équilibrées et saines afin qu'elles puissent regagner
et garder leur santé mentale, leur bon sens et ne plus jamais les perdre.
Chacune de vous ici a souffert
de cela. Vous avez toutes été mentalement malades. Certaines le sont encore. Ce
n'est pas une cause de honte. Pas du tout. Au contraire, c'est une question
d'honnêteté. Ne pouvez-vous, chacune de vous, attraper un rhume? Il n'y a pas
de raison d'être embarrassée de cela. Certaines de vous se plaignent de leurs
soi-disant douleurs menstruelles. Vous n'y pensez pas à deux fois avant de le
mentionner durant le déjeuner. Certaines se plaignent de maux de tête, un peu
trop souvent, ajouterais-je. Et ceci n'est pas une critique. Je veux dire que
si vous le mentionnez si souvent, mes chères, c'est que quelque chose doit
aller affreusement mal. Ce n'est pas naturel d'avoir mal à la tête. Cela
devrait être une exception, mais jamais la règle.
Pour certaines c'est plus
profond. Le point étant que vous devez vous saisir de votre propre santé
mentale, là où elle en est, dès maintenant. Et ne plus la laisser glisser hors
de vous. Vous ne pouvez-vous le permettre. Vous ne pouvez vraiment pas vous le
permettre. Je vous le dis à tout moment, les eaux montent et vous ne
pouvez-vous permettre de perdre pied, car cela pourrait être votre dernière
fois.
Je ne suis pas ici pour
effrayer, menacer. Je suis ici pour alerter, pour réveiller, pour suggérer avec
espoir que chacune de vous et toutes celles partout qui devraient entendre ces
mots, en viennent à savoir que la santé mentale est pareille à, eh bien, une
ligne tracée dans un champ où se joue une partie de football américain. Vous
savez, si vous connaissez un peu ce jeu et, bien que je réalise que c'est un
domaine d'homme, qu'il y a des divisions, la ligne de 10 verges, la ligne de 20
verges et ainsi de suite, et que le but bien sûr est d'atteindre l'autre côté
et d'y rester, d'y revenir aussi souvent que vous pouvez, à n'importe quel
prix, l'idée étant de ne pas laisser l'ennemi gagner le contrôle. Ne laissez
pas l'ennemi gagner du terrain sur vous.
Si vous étiez en train
d'escalader une montagne, vous la verriez comme ne perdant pas de terrain,
c'est-à-dire, ne glissant pas vers le bas. Je dis qu'il est mieux de ne pas
progresser que de régresser. Alors, gardez votre santé mentale, mes chères,
pour ne pas perdre pied et aussi parce que cela peut aider celles qui l'ont
perdu. Il en est de même pour ce recrutement auquel je me référais, je suis ici
pour solliciter votre amour, votre aide, votre attention et peut-être aussi
votre patience afin que vous sachiez toutes que cette folie, ce règne de
terreur, n'est pas terminé, en fait il n'a pas encore atteint son sommet. Je
parle en général et pas de cas particulier ici, alors s'il vous plaît, n'ayez
pas peur.
Je suis seulement en train de
dire que vu dans l'absolu, nous observons cette planète et tous ceux qui en
font partie, ses habitants notamment, tous soumis à des ondes de cette chose et
ceci nous mène au prochain sujet : les ondes. Ondes, certainement. Ondes
d'énergies, mais énergies de qui? Que des énergies humaines évidemment. Des
ondes générées par le mental des humains, qui est embrouillé, coupé de sa
source divine, temporairement perdu, égaré, effrayé et par conséquent, rendu
fou.
Je ne parle pas ici de
définitions cliniques. Je me réfère à la santé mentale émanant de l'amour, de
la paix et, dans un sens, de la relation au divin; et la folie, c'est l'absence
de cela. Donc, redéfinissons la santé mentale et la folie. Et que ce soit clair
que cette guerre sera gagnée. En parlant de guerre, cela me reporte en arrière
aux jours de la Grande guerre, et croyez-le ou non, à une très effrayante
circonstance, avec les bombes tombant sur Londres.
Nuage Rouge (Red Cloud, mon
guide) me fit monter sur le porche d'un bâtiment bombardé, pour m'adresser à
tous ces gens qui cherchaient dans les décombres peut-être leurs proches
bien-aimés, et déclarer : « Cette guerre ne sera pas perdue! Le prix qui a été
payé en sang ne l'aura pas été vainement! Courage, cher peuple, et ne permettez
pas à l'ennemi de nous vaincre, en abdiquant de vos trônes de foi personnelle,
de pouvoir, d'équilibre et de santé mentale. » Et ce furent les mots que
j'utilisai. Difficile à imaginer que je serais ici à nouveau à répéter la même
chose.
Considérez cela. Mes chères,
considérez-le. Vous devez faire attention de ne pas vous plonger dans une telle
dégringolade émotionnelle. Car vous savez que c'est toujours une question de
choix, n'est-ce pas? Oh! Oui. Cela ne veut pas dire que nous jugeons nos
camarades, certainement pas. Au contraire, la pitié n'est que plus grande car
ils n'ont pas la lucidité, la prévoyance de voir où, dirions-nous, leur
résistance à se contrôler a mené. Ne le faites pas, mes très chères. Tenez
votre place. Ne cédez pas à la tentation d'agiter vos mains en l'air et à vous
comporter en aliénée. S'il vous plaît. Cela ne fonctionne pas, n'aide pas, ne
guérit pas, n'aime pas. Cela ne s'inquiète de rien. Ne le faites donc pas, je
vous implore. Soyez aussi saine que vous l'êtes car toute chose s'engendre
d'elle-même, vous savez, par la loi cosmique du momentum. Ce que vous êtes,
EST, et s'accroît constamment. Ainsi, si vous deviez choisir la folie, eh bien,
sachez à quoi vous attendre. Regardez ceux qui font du ski. Peuvent-ils
s'arrêter ?
Mes chères, ceci est le dernier obstacle sérieux
pour notre planète avant d'atteindre son illumination. C'est
l'antithèse de l'illumination, n'est-ce pas ? La folie. Quel est son opposé, si ce
n'est celui d'un être de lumière, si on pense en termes d'opposés de tout. Bien
évidemment quelqu'un non seulement pas illuminé mais assez fou et loin de la
paix et de la joie qui caractérisent toujours la présence de la vision divine.
Version
Audio en anglais : Téléchargement de l'Audio
Estelle Roberts, voir son
autobiographie : Fifty Years a Medium - New
Age Spiritualist Mission
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