D’où viennent l’Amour Inconditionnel et
le Nourrissage
Laissez-moi vous
parler de vous tels que vous étiez avant de vous réincarner. Toute personne qui
vient dans cette école – et ceci devrait être une description historique de la
réincarnation et du voyage qui mène ici, dans ce lieu sur la carte de votre
destinée – c ‘est parce qu’elle a été gloutonne dans sa vie antérieure.
Gloutonne. Vous avez été gloutons et/ou vous avez combattu pour votre survie au
cours d’une bataille, et au moment de mourir, vous vous êtes posé la question
suivante ; la première question que vous vous soyez posée fut de savoir où
était votre mère. Il n’y a pas un seul soldat, une seul guerrier qui au moment
de mourir sur le champ de bataille, n’appelle instinctivement sa mère. Ils le
font tous. Ceci est un fat absolu. J’en ai été le témoin moi-même. Pourquoi font-ils
cela ? Je voulais donc vous poser la question suivante : pourquoi
croyez-vous – vous croyez que c’est stupide ? – que tous les guerriers
appellent leur mère juste avant de mourir ? Veuillez vous tourner vers
votre partenaire et lui dire pourquoi vous croyez cela.
Eh bien, voilà
la réponse à cette question : c’est parce que, quand vous étiez petits,
l’aspect le plus réconfortant et le plus aimant n’a jamais été le père ;
cela a toujours été la mère. Et chaque fois que vous vous êtes fait mal, vous
êtes blessés ou cogné, vous êtes allés
auprès de votre mère qui remit tout dans l’ordre. Lorsqu’un soldat a les
boyaux éclatés et la moitié du corps qui manque, la seule personne qu’il
appelle est sa mère. Il en a été ainsi tout au long de l’histoire ;
Pourquoi ? Ils demandent à leur mère de les aider, car c’est la seule
personne dans leur vie qui puisse les aider. Et la deuxième personne qu’ils
appellent est Dieu : "Dieu aide-moi" Et ils meurent.
Les mères ici
présentes, à quel point sont-elles divines ? A quel point le sont-elles
divines ? A quel point les femmes sont-elles divines ? Combien
d’entre vous comprennent la question ? Vos femmes sont-elles
divines ? Chaque petit garçon sait que, lorsqu’il s’égratigne le genou ou
reçoit un coup sur la mâchoire, sa mère va prendre soin de lui, l’aimer, le
prendre sur sa poitrine et que cela suffit à faire que les choses aillent
mieux, n’est-ce pas ? Quel que soit leur âge, c’est ce qu’ils
croient ; C’est la raison pour laquelle ils sont épris des seins des femmes ;
ils tentent de retrouver leur mère ; Combien d’entre vous
comprennent ?
Maintenant,
suivez-moi bien. Je vais quelque part avec cette histoire. C’est parce que,
dans toutes leurs aventures, leur mère leur demande toujours de prendre soin d
‘eux-mêmes et de faire attention ; ils ont été des fils rebelles, sont
partis et on fait ce qu’ils voulaient d e toutes façon. Mais quand ils se sont
blessés, est-ce que les gens contre lesquels ils se sont rebellés ont pris soin
d’eux ? Non. Qui donc sont-ils allés trouver ? Maman, la bonne terre.
C’est la raison pour laquelle les femmes ne sont pas des hommes. Les hommes ont
l’esprit d’aventure et sont spontanés ; ils fécondent n’importe quel trou
qu’ils voient. Les femmes, elles, doivent porter la responsabilité de ce qui sort
de ce trou.
Que pouvons-nous donc dire des
femmes ?
Eh bien, pour la
plupart, les femmes se donnent aux hommes. Et, à moins qu’elles ne soient des
prostituées ou des hétaïres, elles oeuvrent réellement dur pour plaire à leurs
époux, leurs amants et leurs hommes. Mais, si elles tombent enceintes, le doit
de Dieu n’est pas dirigé en direction du père ; il est dirigé dans leur
direction. Ce sont donc elles qui supportent la croissance au sein de leur
matrice et ce sont elles qui supportent l’enfant, elles qui sont
continuellement là. Les soldats sur le champ de bataille n’appellent jamais, ou
rarement, leur père ; Je les ai observés et cela est vrai jusqu’à vos
guerres les plus récentes. Ils appellent leur mère ; ils n’appellent pas
leur père. Ne trouvez-vous pas cela intéressant ?
D’où viennent
donc l’amour inconditionnel et le nourrisage des mères ? C’est vrai. Et
ils appellent leur mère et leur mère est loin, et ils appellent et leur
souffrance est terminée ;ils sont partis pour toujours. Ils ne seront jamais
plus avec leur mère. Une telle situation est tout à fait tragique. Cela est la
partie de l’humanité qui n’est l’objet d’aucune louange, dont on ne parle pas,
et c’est la raison pour laquelle je suis une femme, cette compréhension
totalement bienveillante de ce que c’est que de recevoir la semence de l’homme
que vous aimez et d’avoir ensuite à prendre soin de cette semence, à la
nourrir, à la laisser croître dans votre corps, cet enfant grandit en vous.
C’étaient des
fils de mères qui étaient sur le champ de bataille de mon époque, pas des fils
de pères. Ainsi, en regard de toute éternité, où donc le siège de l’amour
absolu et de la protection se trouve-t-il ? Dans la femme, la partie la
plus menacée, car la femme peut aimer le monde. Si une seule femme faisait tous
les enfants et si tous les enfants du monde étaient ses petits-enfants, il n’y
aurait jamais de guerre. Mais si les amants entrent en jeu, il y aura toujours
la guerre.
Si lors d’une
bataille rangée, les mourants appellent leur mère – que ce soient des hommes
virils, des guerriers de renon – à qui revient-il d’être le professeur de
l’humanité ? Une femme qui apporte douceur à la souffrance, réconfort à la
peur, joie et amour, l’idéal même que les hommes appellent de toutes leurs
forces au milieu de la bataille rangée alors que leurs boyaux se vident autour
d’eux, qu’ils meurent, que leur cœur éjecte les dernières gouttes de leur sang
et leur force vitale. Qui donc devrait être le professeur des générations à
venir ? Vous l’avez !
Je veux que vous
compreniez pourquoi vous ne savez pas reconnaître un maître. Regardez, si génie
sans cœur, je conquis les deux tiers du monde connu, ce que j’avais à
conquérir, étant devenu le vent, jusqu’à en être épris des montagnes enneigées,
des arbres givrés, des vertes rivières et des roseaux, ce fut d’apprendre
l’amour, de l’apprendre tel que le voit une femme ; Les femmes sont plus
proches de Dieu parce qu’elles ne sont pas naturellement dans le premier sceau.
Elles n’y sont naturellement que lors de la saison de leur ovulation. Tout le
reste, elles s’y efforcent. Là où l’homme se situe à ce moment-là, les femmes
n’y sont pas. Elles sont les qualités nourissantes de la Terre. C’est pourquoi
la nature est dénommée la mère. Elle sait ce que c’est que de souffrir
longtemps, d’aimer longtemps. Et elle est cruelle car elle sait éliminer toute
faiblesse quelle qu’elle soit et sera le support du plus fort de ses génomes,
sa genèse.
J’ai donc
découvert à propos des femmes que les qualités féminines ont été haïes par les
pouvoirs en place, en vérité l’Eglise, en vérité les royaumes, car les femmes
ont en elles-mêmes une compassion qui leur est naturelle. C’est la même chose
en ce qui concerne avoir des enfants. C’est une compassion naturelle. Elles ont
un amour naturel. Si on plaçait une femme sur le trône d’une principauté et
l’initiait à considérer chaque personne comme son enfant, elle deviendrait le
plus féroce des guerriers et protégerait chacun de ses enfants. Elle le ferait.
Cela est la raison pour laquelle si peu de femmes ont accédé au trône.
Oh Oui, il en
faut pour allumer une femme. Et les femmes d’aujourd’hui sont artificielles. Ce
sont des petits enfants programmés sans opinions ; elles veulent seulement
être belles et idolâtrées ; Cela dénote un effondrement de la conscience.
C’est cela. Mais les femmes ont une vertu . Et cette vertu, la
voici : tous mes soldats, qui appelaient-ils au moment de mourir ?
Leur mère, des femmes que je n’avais jamais connues, d es femmes qui, je
l’imagine, apprenant que leur fils – leur fier et magnifique fils – avait été
abattu sur le champ de bataille, crieraient, pleureraient et porteraient des
vêtements de deuil pendant longtemps. Je n’ai pas connu un seul père qui ait
fait cela. Les femmes le font. Cela montre l’intensité de leur amour. Elles
deviennent ensuite des proies et on les soupçonne. Dans le monde, elles sont
des marchandises. On les traite comme du bétail et comme des objets sexuels car
elles n’ont aucun droit et, dans la plupart des pays, elles n’ont pas le droit de
vote. Elles n’ont pas le droit à la contestation dans le mariage. Elles n’ont
absolument aucun droit, Une mauvais femme est seulement une femme à qui on a
renié son amour naturel, rien de plus.
En fait,
l’Eglise catholique a étendu son
adoration à la matrice de Marie pour qu’elle intercède auprès de son fils divin
pour les péchés de ceux qui viennent se confesser. C’est une femme médiatrice.
Pourquoi une femme devrait-elle être une médiatrice ? Pourquoi ne
serait-elle pas le don de ce qu’elle est ? Elle est plus haut placée sur
l’échelle à sept échelons ; Si on compte sept niveau de l’Hertzien à
l’inconnu infini, il n’y a que sept niveaux. Il n’y a que sept niveaux de
conscience. Bien sûr, il y a un quart de cercle de potentiels absolus dans le
monde quantique à trois niveaux (réalité tridimensionnelle). Comment le
sait-on ? C’est ce que j’ai enseigné à mes camarades ce soir. Pensez-vous
tout savoir ? Ce soir, regardez le ciel de minuit et imaginez les étoiles
que vous ne voyez pas. Si elles appartiennent toutes aux trois premiers sceaux,
en toute franchise et en toute vérité, je vous supplie de vous demander combien
d’aventures vous avez réellement vécues dans les trois premiers sceaux ?
Etes-vous jamais allés au-delà de votre lit, de votre réfrigérateur ou de votre
cuisinière, de votre pénis, de votre vagin, de vos siens ou de votre
visage ? Etes-vous jamais allés au-delà pour voir que l’espace contient
dans ce monde tridimensionnel des possibilités infinies pour vous tous ?
Comment pourrions-nous jamais être devenus plus grands que cela ?
Dieu est-il
aussi simple que sept échelons ? Oui. Mais le royaume de Dieu et les
aventures de Dieu sont-ils plus grands que sept échelons ? Absolument. Une
femme est naturellement plus proche de Dieu, plus artificielle envers son amant
et plus naturelle envers son propre Dieu de compassion, d’amour, de
compréhension et de nourriture de l’âme.
C’est pourquoi je suis une femme.
Extrait
du livre RAMTHA : « Intervention des Dieux » aux Editions AdA.
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