La nature a créé un avertissement et une
situation de protection de la femme par l’hymen. Aucune explication officielle
n’a été donnée concernant la présence de cette membrane. Selon l’article paru
dans le journal Ça m’intéresse
"Qui a inventé la virginité ?" de Jean-Marie Bretagne :
"Physiologiquement, il n’a aucune fonction. L’hymen, cette petite membrane
souple qui marque l’entrée du vagin, ne sert même pas à protéger l’utérus… Ce
n’est d’ailleurs qu’un reste, qu’une trace de la formation des organes génitaux
féminins. Pour une raison qu’on ignore, il n’est pas tombé. Serait-ce
parce qu’elle est consciente de cette inutilité que la nature non seulement n’a
rien prévu de similaire pour l’homme, mais, de plus, n’a accordé d’hymen qu’à
de très rares espèces animales ?... Pour les hommes, l’hymen a représenté
un véritable abcès de fixation. On a répudié, couvert d’opprobre, banni,
exécuté même, des femmes qui avaient perdu leur fleur. Il n’y a pas si
longtemps, encore, on exhibait en France, le lendemain de la nuit de noces, le
drap taché du sang de la défloration.
Abandonnée même en Sicile, la coutume
perdure dans les pays arabes et en Chine. En Afrique, on pratique toujours
l’infibulation (le cousus ensemble). Deux mille réfections chirurgicales
d’hymen seraient effectuées en France chaque année !... Le culte masculin
de la virginité émanerait-il donc d’une sorte de peur panique ancestrale,
irraisonnée, de la femme ? Le mythe du vagin denté ou venimeux se
retrouve, avec des variantes, dans d’innombrables cultures. Et la défloration
s’accompagne très souvent de rites d’initiation où l’on invoque, comme chez les
Romains, la protection des dieux, afin de neutraliser les forces maléfiques de
la vierge. Car la vierge a pour l’homme une double signification : elles
sont innocentes et faciles à maîtriser, mais aussi inconnue et dangereuse. Qui
sait quelles forces obscures ne se cachent pas en elle et ne vont pas se
libérer au moment de son ouverture ? Il faut donc qu’une autorité assermentée,
le plus souvent religieuse, se charge de cette tâche périlleuse. Tel était
d’ailleurs le sens du fameux droit médiéval de cuissage ; Loin de
constituer un pouvoir discrétionnaire, il s’agissait en réalité d’un service
rendu par le souverain-père, qui déflorait la vierge afin d’épargner à son
vassal le péril caché derrière l’hymen… A Rome, le feu sacré de Vesta était
entretenu par de jeunes verges issues des plus grandes familles. Objet de
respect. Mais celles qui fautaient était enterrées vivante".
On voit à travers ces informations
historiques les divers délires qui ont été liés à l’hymen. Il s’agit d’en
rechercher une explication naturelle et énergitico-spirituelle ; Ainsi
donc, il a été mis, chez la femme, une fermeture de sa treizième porte par l’hymen,
le corps ayant douze ouvertures cher l’homme et treize chez la femme. Ceci
pourrait être afin d’éviter que la jeune fille vierge, qui est une petite âme
proche des forces inférieures, en soit investie sans contrôle. Ceci en
attendant que sa conscience soit suffisamment avertie pour qu’elle puisse,
éventuellement comme sur une planète connectée, élevée, où l’on initie correctement les êtres jeunes, prendre le
contrôle elle-même sur les forces qui se
soulèvent du dessous et éviter d’être pénétrée par celles-ci.
En effet, si elle est pénétrée par ces
forces inférieures, elle se trouve investie par ces circuits denses et elle ne
peut plus s’élever en tant qu’âme, et croître normalement vers les dimensions
d’énergie et de conscience supérieure qui la mettent en relation avec le plan
de l’âme et de l’esprit supérieur permettant de contrôler les forces
inférieures.
Si on veut vraiment être utile à une
femme, il faut l’acheminer progressivement vers une revirginisation de sa
nature parce que l’âme est virginale. C’est pourquoi on parle de la vierge
Marie. La génération d’un fils de dieu, c'est-à-dire d’un véhicule lumière
immortel relié au père spirituel, ne peut être fait que par l’âme, la sœur
lumière, le véhicule lumière qui est vierge. Ce n’est pas le corps physique de
Marie, mais sa virginité énergétique qui permet de faire un fils de Dieu. Si la
femme veut évoluer vers sa dimension spirituelle, elle devra dégager son corps
physique des accrochages de puissance trop importants qui se sont faits depuis sa
jeunesse. Elle devra se mettre dans une ambiance énergétique qui corresponde au
plan de l’âme, redéfinissant ainsi l’identité énergétique de la femme. Une
identité énergétique qui a beaucoup de difficultés à se définir si elle est
imprégnée trop violemment, par l’énergie d’un homme.
En effet, dans la plupart des cas, les
hommes vont injecter leur puissance personnelle dans le corps de la femme. En
réalité, pour que la femme puisse redevenir une âme, il faudrait qu’l y ait
échange énergétique avec douze femmes autour d’un homme afin que se crée une
amplification formelle des douze ouvertures de communication avec l’extérieur
permettant d’accroître la circulation énergétique par rapport à la
condensation.
Car l’intériorité de l’homme communique
à l’extérieur par douze orifices dans son corps : les deux yeux, les deux
narines, les deux trous auriculaires, la bouche, les deux trous des seins, le
nombril, l’orifice urinaire et l’anus.
Si on voulait que l’homme maîtrise bien
sa délimitation, il faudrait que non seulement il puisse maîtriser son propre
corps, mais qu’il puisse en maîtriser au-delà de son corps. Ce qui lui
réclamerait éventuellement de pouvoir centraliser en plus de son propre corps,
douze portes féminines qui seraient, en quelque sorte, l’amplification des
ouvertures qu’il doit maîtriser. Cette situation permettrait à cet homme
suramplifié d’avoir une relation au-delà de sa propre nature avec le réseau des
douze qui existe dan les douze rayons que l’on peut observer en photographiant
le soleil aux rayons X, et dans les douze constellations qui,
traditionnellement, règlent la vie des créatures.
Si une femme reçoit trop l’énergie d’un
homme, elle se matérialise. Si elle veut redevenir un être accordé à la
dimension subtile de l’âme, il faut qu’elle prenne très peu de l’énergie de
l’homme, juste ce qui correspond à la structure de l’âme. Si elle prend
trop de structure de l’homme, elle
devient une femme, une forme-âme. Parce que l’homme est la structure, et la
femme l’énergie. Si la femme prend trop de structure, elle devient de plus en
plus matérielle. Si elle prend beaucoup de structure et d’énergie, el en ‘a
plus qu’une solution pour évoluer cet excès, formaliser un enfant. A partir du
moment où cette femme est trop chargée d’énergie et de structure, elle devient
une mère formelle, elle est conduite à faire un enfant qui recentralise toutes
ses forces de formalisation dont elle s’est chargée.
Dans l’autre sens, si la femme remonte
dans l’énergie, elle ne va pas faire des enfants formels, elle va faire des
enfants subtils. Elle va être la porte de transfert vers un monde plus élevé.
Elle devient une vestale. Elle accouche des âmes qui étaient descendues en
dessous et elle les fait revenir au-dessus. Elle rédempte les êtres descendus
et elle les remonte au ciel. Ainsi se constituent des portes comme cela, qui
sont entretenues par des êtres consacrés, pas seulement des religieuses ou des
moines, mais par des êtres qui entretiennent une porte de retour et qui
deviennent des protes de salut pour les âmes descendues dans la matière qui ne
peuvent pas remonter s’il n’y a que des hommes qui éjaculent et des femmes
matérialisées faisant des enfants formels. Car si tout est descendu vers la
matière, les âmes descendues n’arrivent pas à remonter. Si la femme veut
retrouver cette dimension d’âme, parce qu’elle a une très fort aspiration vers
sa dimension subtile supérieure, vers son véhicule supérieur, elle peut
envisager d’utiliser son corps physique comme matrice de construction de son
véhicule d’immortalité.
Femmes, Réponses Essentielles.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire