Nombre total de pages vues

jeudi 2 octobre 2014

Femmes Essentielles : La Revirginisation



La nature a créé un avertissement et une situation de protection de la femme par l’hymen. Aucune explication officielle n’a été donnée concernant la présence de cette membrane. Selon l’article paru dans le journal Ça m’intéresse "Qui a inventé la virginité ?" de Jean-Marie Bretagne : "Physiologiquement, il n’a aucune fonction. L’hymen, cette petite membrane souple qui marque l’entrée du vagin, ne sert même pas à protéger l’utérus… Ce n’est d’ailleurs qu’un reste, qu’une trace de la formation des organes génitaux féminins. Pour une raison qu’on ignore, il n’est pas tombé. Serait-ce parce qu’elle est consciente de cette inutilité que la nature non seulement n’a rien prévu de similaire pour l’homme, mais, de plus, n’a accordé d’hymen qu’à de très rares espèces animales ?... Pour les hommes, l’hymen a représenté un véritable abcès de fixation. On a répudié, couvert d’opprobre, banni, exécuté même, des femmes qui avaient perdu leur fleur. Il n’y a pas si longtemps, encore, on exhibait en France, le lendemain de la nuit de noces, le drap taché du sang de la défloration.

Abandonnée même en Sicile, la coutume perdure dans les pays arabes et en Chine. En Afrique, on pratique toujours l’infibulation (le cousus ensemble). Deux mille réfections chirurgicales d’hymen seraient effectuées en France chaque année !... Le culte masculin de la virginité émanerait-il donc d’une sorte de peur panique ancestrale, irraisonnée, de la femme ? Le mythe du vagin denté ou venimeux se retrouve, avec des variantes, dans d’innombrables cultures. Et la défloration s’accompagne très souvent de rites d’initiation où l’on invoque, comme chez les Romains, la protection des dieux, afin de neutraliser les forces maléfiques de la vierge. Car la vierge a pour l’homme une double signification : elles sont innocentes et faciles à maîtriser, mais aussi inconnue et dangereuse. Qui sait quelles forces obscures ne se cachent pas en elle et ne vont pas se libérer au moment de son ouverture ? Il faut donc qu’une autorité assermentée, le plus souvent religieuse, se charge de cette tâche périlleuse. Tel était d’ailleurs le sens du fameux droit médiéval de cuissage ; Loin de constituer un pouvoir discrétionnaire, il s’agissait en réalité d’un service rendu par le souverain-père, qui déflorait la vierge afin d’épargner à son vassal le péril caché derrière l’hymen… A Rome, le feu sacré de Vesta était entretenu par de jeunes verges issues des plus grandes familles. Objet de respect. Mais celles qui fautaient était enterrées vivante".

On voit à travers ces informations historiques les divers délires qui ont été liés à l’hymen. Il s’agit d’en rechercher une explication naturelle et énergitico-spirituelle ; Ainsi donc, il a été mis, chez la femme, une fermeture de sa treizième porte par l’hymen, le corps ayant douze ouvertures cher l’homme et treize chez la femme. Ceci pourrait être afin d’éviter que la jeune fille vierge, qui est une petite âme proche des forces inférieures, en soit investie sans contrôle. Ceci en attendant que sa conscience soit suffisamment avertie pour qu’elle puisse, éventuellement comme sur une planète connectée, élevée, où l’on initie  correctement les êtres jeunes, prendre le contrôle  elle-même sur les forces qui se soulèvent du dessous et éviter d’être pénétrée par celles-ci.

En effet, si elle est pénétrée par ces forces inférieures, elle se trouve investie par ces circuits denses et elle ne peut plus s’élever en tant qu’âme, et croître normalement vers les dimensions d’énergie et de conscience supérieure qui la mettent en relation avec le plan de l’âme et de l’esprit supérieur permettant de contrôler les forces inférieures. 

Si on veut vraiment être utile à une femme, il faut l’acheminer progressivement vers une revirginisation de sa nature parce que l’âme est virginale. C’est pourquoi on parle de la vierge Marie. La génération d’un fils de dieu, c'est-à-dire d’un véhicule lumière immortel relié au père spirituel, ne peut être fait que par l’âme, la sœur lumière, le véhicule lumière qui est vierge. Ce n’est pas le corps physique de Marie, mais sa virginité énergétique qui permet de faire un fils de Dieu. Si la femme veut évoluer vers sa dimension spirituelle, elle devra dégager son corps physique des accrochages de puissance trop importants qui se sont faits depuis sa jeunesse. Elle devra se mettre dans une ambiance énergétique qui corresponde au plan de l’âme, redéfinissant ainsi l’identité énergétique de la femme. Une identité énergétique qui a beaucoup de difficultés à se définir si elle est imprégnée trop violemment, par l’énergie d’un homme.

En effet, dans la plupart des cas, les hommes vont injecter leur puissance personnelle dans le corps de la femme. En réalité, pour que la femme puisse redevenir une âme, il faudrait qu’l y ait échange énergétique avec douze femmes autour d’un homme afin que se crée une amplification formelle des douze ouvertures de communication avec l’extérieur permettant d’accroître la circulation énergétique par rapport à la condensation.

Car l’intériorité de l’homme communique à l’extérieur par douze orifices dans son corps : les deux yeux, les deux narines, les deux trous auriculaires, la bouche, les deux trous des seins, le nombril, l’orifice urinaire et l’anus.

Si on voulait que l’homme maîtrise bien sa délimitation, il faudrait que non seulement il puisse maîtriser son propre corps, mais qu’il puisse en maîtriser au-delà de son corps. Ce qui lui réclamerait éventuellement de pouvoir centraliser en plus de son propre corps, douze portes féminines qui seraient, en quelque sorte, l’amplification des ouvertures qu’il doit maîtriser. Cette situation permettrait à cet homme suramplifié d’avoir une relation au-delà de sa propre nature avec le réseau des douze qui existe dan les douze rayons que l’on peut observer en photographiant le soleil aux rayons X, et dans les douze constellations qui, traditionnellement, règlent la vie des créatures.

Si une femme reçoit trop l’énergie d’un homme, elle se matérialise. Si elle veut redevenir un être accordé à la dimension subtile de l’âme, il faut qu’elle prenne très peu de l’énergie de l’homme, juste ce qui correspond à la structure de l’âme. Si elle prend trop  de structure de l’homme, elle devient une femme, une forme-âme. Parce que l’homme est la structure, et la femme l’énergie. Si la femme prend trop de structure, elle devient de plus en plus matérielle. Si elle prend beaucoup de structure et d’énergie, el en ‘a plus qu’une solution pour évoluer cet excès, formaliser un enfant. A partir du moment où cette femme est trop chargée d’énergie et de structure, elle devient une mère formelle, elle est conduite à faire un enfant qui recentralise toutes ses forces de formalisation dont elle s’est chargée.

Dans l’autre sens, si la femme remonte dans l’énergie, elle ne va pas faire des enfants formels, elle va faire des enfants subtils. Elle va être la porte de transfert vers un monde plus élevé. Elle devient une vestale. Elle accouche des âmes qui étaient descendues en dessous et elle les fait revenir au-dessus. Elle rédempte les êtres descendus et elle les remonte au ciel. Ainsi se constituent des portes comme cela, qui sont entretenues par des êtres consacrés, pas seulement des religieuses ou des moines, mais par des êtres qui entretiennent une porte de retour et qui deviennent des protes de salut pour les âmes descendues dans la matière qui ne peuvent pas remonter s’il n’y a que des hommes qui éjaculent et des femmes matérialisées faisant des enfants formels. Car si tout est descendu vers la matière, les âmes descendues n’arrivent pas à remonter. Si la femme veut retrouver cette dimension d’âme, parce qu’elle a une très fort aspiration vers sa dimension subtile supérieure, vers son véhicule supérieur, elle peut envisager d’utiliser son corps physique comme matrice de construction de son véhicule d’immortalité.


Femmes, Réponses Essentielles. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire