Eh bien, mes
maîtres magnifiques, et en particulier mes femmes qui ont été les personnes
contre lesquelles ont existé le plus de préjugés – après avoir fait toutes ces
déclaration extravagantes qui sont vraies – retournons en arrière et revisitons
le domaine des femmes, le fait que les femmes furent l’objet de tellement
d’oppression alors que la plus grande Déesse qui ait jamais habité la terre –
Terra est une Déesse, pas un homme, car la terre est une immense matrice ;
l‘énergie est la matrice la réalité.
Ainsi, la
Déesse, le plus suprême des Dieux qui ait jamais vécu ici, ne fut pas un Dieu
mâle ; ce fut un Dieu femme. Les plus grands scientifiques qui aient
jamais vécu, les scientifiques qui sont d’importance, sont des femmes. Si
Einstein avait été une femme, il aurait admis publiquement la théorie du champ
unifié et au-delà. Ce fut son côté masculin qui lui fit rejeter publiquement la
théorie de la mécanique quantique de la physique quantique. Le féminin aurait
compris cela facilement.
Pourquoi
avons-nous ce problème ? Nous avons ce problème parce que la femme
créatrice la plus remarquable, le Dieu
féminin le plus remarquable qui ait jamais été ici, fut en réalité
responsable du croisement de l’Homo erectus avec le sperme des Dieux, les œufs
des Dieux. Ce fut une femme ; ce ne fut pas un homme. Une femme. Ce sont
les hommes qui penseraient seulement en termes de servitudes, alors que la
science d’une femme vise la création. Les hommes sont portés à l’oppression.
Vous devriez comprendre cela. Vous devriez le comprendre.
Il est donc
peu étonnant que l’on parle de la lune comme de l’Enchanteresse. J’en parlais
ainsi dans ma vie. C’était une femme. Il est clair que la lune est une femme.
Réfléchissez-y. Elle vous regarde, vous la cherchez, vous ne voyez que ses
contours. Si vous continuez à regarder, elle commencera à vous montrer un peu
plus et encore un peu plus d’elle-même. Et quand enfin elle est pleine e t vous
en enivrés, vous êtes grisés à la vue de ses rayons. Et puis elle s’enfuit.
C’est une femme. C’est une femme. Il est clair que la lune est une femme. Il
est clair que la terre est une femme. La terre n’est pas un homme. La terre est
une vaste matrice. Les hommes sont les fourmis sur la matrice. Imaginez un
œuf ; la matrice est grande comme cela. Elle est pure nature. La nature
est la vérité.
Nous voyons
donc maintenant l’oppression qui règne dans une société dominée par les hommes.
IL n’était pas dans l’intention de la Déesse que les enfants qu’elle avait
créés soient asservis et utilisés. Ce sont seulement les hommes, les Deux
hommes, qui en abusèrent ; Les femmes ne le firent pas. Elles sont
l’Esprit nourrissant de Dieu. Et, après le départ des Dieux, on voit donc que
l’aspect féminin de la mère divine fut totalement remplacé par le contrôle
rigoureux du prêtre, le mentor qui parle à son étudiant, le pont menant à Dieu.
Et l’on comprend que tous ceux qui avaient été laissés derrière ne savaient
rien. Ce n’étaient que des esclaves qui faisaient leur devoir, qui ne
possédaient pas la connaissance. Ils servaient c’es tout. Et, quand ils se
retrouvèrent seuls, ils transformèrent leurs devoirs en religion ca ils ne
savaient pas.
Ecoutez-moi.
Les femmes ont été traitées comme du bétail, comme des objets sexuels, même
quand elles n’étaient que des petites filles. Même chez les petites filles,
c’est comme si les petites filles deviennent la propriété des fantasmes sexuels
d’un homme quelconque. Et pourquoi ? Il s’agit d’une émotion sexuelle qui
a été transmise génétiquement de génération en génération qui fait que les femmes
doivent être réprimées à tout prix. Elles doivent être réprimées. Comme vous
feriez avec du bétail, rassemblez-les quelque part et servez-vous d’elles, et
ayez des rapports sexuels avec elles, des bébés avec elles, sans ne jamais leur
donner droit à la parole. Il n’est pas surprenant que ce soit la race la plus
réprimée qui soit.
Eh bien vous
savez, la sœur de cette illustre famille d’Anu, c’est elle qui était la
véritable héroïne de la famille entière. C’est une femme qui était sérieusement
dédiées au désir de projeter la vie ici. Il se peut qu’aucune de ses créatures
n’ait été issue de sa propre matrice, mais elle prit et mêla le sperme et
l’œuf, créant éventuellement, de ses mains aimantes, le parfait Adam.
Croyez-vous qu’elle n’aimait pas ce petit garçon ? Elle aimait ce petit
garçon, et c’est sous bonne supervision de sa part qu’ils eurent la permission
d’être nus. Les femmes ne molestent pas les enfants quand ils sont nus, mais
les hommes le font. Ce fut elle qui leur permit d’être nus devant elle et elle
les aimait ; Tout changea quand les deux frères entrèrent en conflit.
Ainsi, alors
que nous somme s l’aube des changements dans le monde – ils ont déjà lieu dans
l’hémisphère Sud et vont atteindre l’équateur et l’hémisphère Nord – je vais
vous dire ceci, que à la fin des temps, les enseignements viennent du corps du
Christ, oui car je sais tout ce qu’i fit partie de l’inititiation de ce
professeur du fait que j’ai préparé une partie de son ordre du jour. Et je
viens dans le corps d’une femme –une femme – qui est le groupe le plus calomnié
dans le monde aujourd’hui car elles ne sont pas naturellement des créatures
sexuelles. Elles sont des créateurs, c’est ce qu’elles sont. Du fait qu’elles
sont des créateurs, elles aiment car elles créent, et ce qu’elles créent fait
partie d’elles. C’est pourquoi elles ont tant d’amour pour leurs enfants.
Les hommes
sont plus éloignés. Le chemin est plus long pour un homme, car il doit dépasser
la femme vers le haut ; il doit posséder la femme en lui pour s’élever. Il
doit posséder cette compassion, cet amour, cette sincérité, ce souci des autres
et monter. Il doit comprendre comme le comprend la femme que, parmi tous les
actes sexuels qu’elle vit, certains ne sont pas faits pour son plaisir. La
plupart sont pour le plaisir de son amant et pour l’occuper. Si l’homme a été
une femme, il comprendra comment donner du plaisir à la femme. Mais son acte
naturel est de porter des enfants et la responsabilité de cet acte. Une fois
qu’elle l’aura fait, elle ne sera plus jamais son amante ; elle sera de
nouveau l’amante de l’enfant.
C’est
pourquoi il y a tant de mariages adultères. Une fois que la femme a eu des
enfants, parce que son amour va à son enfant, l’homme sorte et baise avec
d’autres femmes qui sont heureuses simplement du fait de l’enlever à cette
femme idyllique qu’elles ne sont pas encore. C’est comme le fait que vous êtes
le fruit de la matrice de votre mère et que votre mère a tout fait pour vous –
tout – et que vous êtes devenus le centre d’attention dans sa vie. Et puis, il
faut en outre faire marcher un mariage chancelant, un mari chancelant, la
responsabilité des enfants, la responsabilité de l’amour envers eux ; et
il faut aussi descendre dans ce premier sceau simplement pour satisfaire le
mari, juste pour qu’il continue à la faire vivre ainsi que ses enfants. Elle
mourra plutôt de faim que de voir ses enfants ne pas avoir de lait. Tel est
l’amour d’une mère. Très peu d’hommes ont une telle qualité. C’est pourquoi,
lorsque les hommes meurent sur le champ de bataille, ils n’appellent pas leur
père. Et quand leurs parents meurent, c’est la mère qui revient généralement à
eux.
Je suis un
être ancien. Je channelle parfaitement au travers de ce corps féminin. C’est un
corps que j’ai chois. C’est un corps qui célèbre les personnes envers
lesquelles existent le plus de préjugés, les femmes – quelle que soit leur
couleur – les femmes, il n’existe aucun doute là-dessus. Et la nouvelle vague
aujourd’hui qui insiste pour qu’elles se fassent mourir de faim et soient des
porte-manteaux, qui veut qu’elles ressemblent à des petits garçons avec des
seins artificiels et des visages artificiels, est l’œuvre du Dieu masculin
Jéhovah. Il s’agit d’asservir, de prostituer et de corrompre leur corps au nom
d e la gloire, de la fortune et de la célébrité. Cela n’a rien à voir avec un
lieu privé ou l’ingéniosité de l’Esprit leur a été accordée à la conception et
à la naissance ; c’est pour célébrer la femme avec ses hanches arrondies,
son corps doux, ses seins remplis, un toucher doux et qui ne ressent rien de ce
que ressent un homme, mais a le sentiment d’être la matrice de la terre – de la
terre – puissante, orageuse, d’humeur changeant et merveilleuse. Le temps a des
humeurs changeantes, vous savez. Le climat est d’humeur changeante. Ce sont
tous des signes de l’influence féminine de la Déesse.
retranscrit par Francesca issu de mon autre blog http://francesca1.unblog.fr/
Extrait du
livre RAMTHA : « Intervention des Dieux il y a 455 000 ans» aux
Editions AdA.
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