Pages

vendredi 17 février 2017

La femme pour combattre la folie du monde



Plus que jamais, le côté féminin de l'humanité est appelé, de manière urgente, à accomplir sa part pour équilibrer les actions de l'homme. Sans cet aspect critique de l'équation cosmique, l'homme ne connaîtra ni la paix ni la libération de l'âme qu'il recherche tant. Celles qui se sont incarnées en tant que femmes au cours de cette vie sur terre, auront à faire face à des défis et à des situations particulières avant que l'humanité puisse faire des progrès. Ceci demande non seulement la renaissance de l'aspect féminin, mais aussi un réajustement de l'aspect masculin, celui-ci étant actuellement trop prononcé chez l'homme en général.




Ce message, livré le 28 juillet 2001, a été adressé à un groupe de femmes pour solliciter leur aide afin de s'occuper de la folie dans laquelle notre planète s'est engouffrée.

Vous voyez, mes chères, en ce temps-là, rien ne ressemblait à ce que vous pouvez probablement apprendre dans vos écoles d'aujourd'hui. Vous connaissez l'histoire, mais elle n'est pas comme ça, comme beaucoup de choses dans l'histoire ; comme mentionné par Sir Arthur, « c'est seulement un récit, c'est tout ».

Je parle de cela, car pendant cet événement, le dernier Thanksgiving, que je crois certaines parmi vous célébriez à la maison du médium ; Jill et Sir Arthur convoquèrent une réunion plutôt inattendue qui a fait sursauter plus d'une personne et surpris par son franc-parler, car plutôt que d'être un petit message réconfortant du genre : « Oh! Vous avez eu votre charmant Thanksgiving, votre Action de grâces, voilà qui est bien, bien, bien ». Eh bien ! il dit alors que votre planète, cette planète, est sur le point d'être engloutie par une onde de folie. C'était le mot employé, folie. Il est entré dans les détails, je crois, sur la manière dont cela se produirait. Si certains d'entre vous veulent l'entendre, je crois que des copies existent.

Eh bien, il n'est pas de ceux qui mâchent leurs mots, encore moins les fabriquerait-il. 
Et si vous prenez la peine de le remarquer, il y a bien eu de la folie, n'est-ce pas ? Oh ! oui ! Assez pour tout le monde ?

Je le pense. Bien, ça a tout à voir, comme on dit, avec certains facteurs de l'univers, la soi-disant ceinture de photons et ainsi de suite. Et pourtant, vraiment, se pourrait-il que cette soi-disant ceinture de photons incite des gens totalement sains, et une planète en équilibre à devenir soudainement fous? Je ne le pense pas. Je pense que lorsqu'il pleut, et que ça coule, c'est parce qu'il y avait une fuite qui ne pouvait résister à la pluie, ne pensez-vous pas? La pluie n'a pas soudainement créé l'ouverture. De même avec la folie, mes chères. Ce qui arrive aujourd'hui, n'est que la folie latente de la planète, une planète qui, hormis certaines exceptions, et je crains de ne pouvoir vous en donner une à l'échelle nationale, mais je me réfère bien sûr aux individus, au corps des individus, à l'exception de ceux, par qui la planète est devenue folle, folle depuis un temps déjà. Cinq décennies pour être plus précis. Cinquante ans de démence.

Que s'est-il passé ?

La Grande guerre a bien, j'hésite à le dire, été gagnée. Est-ce qu'une telle chose peut-elle être gagnée? Disons plutôt, a été réglée à un terrible, terrible prix. Et je vous dis, mes chères, comme chaque fois que l'on ne calcule pas le prix qu'on est prêt à payer pour quelque chose que l'on est obsédé à gagner, ça coûte trop cher. C'est un peu comme si les terribles bombardements de Nagasaki et Hiroshima avaient libéré une terrible force, mais qui s'est retournée contre ceux-là mêmes qui l'ont lancée. Y a-t-il plus fous que les Américains? Je ne sais pas. Et quand je dis ceci, mes chères, j'ai confiance dans le fait que vous devinez que je ne suis certainement pas en train de tenir une sorte de tribune politique. J'ai de meilleures choses à faire et vous aussi. Non, je dis que votre pays, votre magnifique pays, le plus magnifique du monde de bien des manières et pour des raisons variées, est aussi le plus attrayant pour ces pouvoirs qui gouvernent ces choses jugées utiles à la promotion de leur folie. Ainsi nous pouvons vraiment dire que c'est bien américain quoique l'Amérique semble être malheureusement le promoteur majeur, où l'instigateur et même la principale victime de cette démence.
Qui regarde plus la télévision que les Américains ? Personne.

Méfiez-vous de vos postes de télévision, mes chères. Méfiez-vous. Ce qui est transmis par eux est bien plus et bien moins que ce que vous pensez être du divertissement. Regardez, ceux-ci sont apparus et, pourrions-nous dire, ont été distribués, pendant la décennie des années cinquante approximativement. Peu de temps après, il y eut une certaine rencontre clandestine, entre votre propre président M. Eisenhower et les membres d'une race non terrestre. Vous en avez peut-être entendu parler. (Voyez le message ci-dessous sur les Forces Sombres).

Oh! oui. C'est arrivé. M. Truman a été impliqué aussi. Le point étant, mes chères, que des alliances impies ont été conclues et complotées non pour enrichir, non pour illuminer, elles ont aussi été lancées sur vous, sur tous. Ces choses doivent être comprises, afin que nous sachions à quoi nous en tenir, car je vous appelle, sœurs de compassion, mères de demain, et je vous demande, j'enrôle votre support afin d'être telles des infirmières dans le grand hôpital de la Divine Mère qui existe où que vous soyez. Vous êtes cet hôpital, comme le sont d'autres. C'est un hôpital non pas pour les malades mentaux, mais plutôt pour les personnes mentalement équilibrées et saines afin qu'elles puissent regagner et garder leur santé mentale, leur bon sens et ne plus jamais les perdre.

Chacune de vous ici a souffert de cela. Vous avez toutes été mentalement malades. Certaines le sont encore. Ce n'est pas une cause de honte. Pas du tout. Au contraire, c'est une question d'honnêteté. Ne pouvez-vous, chacune de vous, attraper un rhume? Il n'y a pas de raison d'être embarrassée de cela. Certaines de vous se plaignent de leurs soi-disant douleurs menstruelles. Vous n'y pensez pas à deux fois avant de le mentionner durant le déjeuner. Certaines se plaignent de maux de tête, un peu trop souvent, ajouterais-je. Et ceci n'est pas une critique. Je veux dire que si vous le mentionnez si souvent, mes chères, c'est que quelque chose doit aller affreusement mal. Ce n'est pas naturel d'avoir mal à la tête. Cela devrait être une exception, mais jamais la règle.

Pour certaines c'est plus profond. Le point étant que vous devez vous saisir de votre propre santé mentale, là où elle en est, dès maintenant. Et ne plus la laisser glisser hors de vous. Vous ne pouvez-vous le permettre. Vous ne pouvez vraiment pas vous le permettre. Je vous le dis à tout moment, les eaux montent et vous ne pouvez-vous permettre de perdre pied, car cela pourrait être votre dernière fois.

Je ne suis pas ici pour effrayer, menacer. Je suis ici pour alerter, pour réveiller, pour suggérer avec espoir que chacune de vous et toutes celles partout qui devraient entendre ces mots, en viennent à savoir que la santé mentale est pareille à, eh bien, une ligne tracée dans un champ où se joue une partie de football américain. Vous savez, si vous connaissez un peu ce jeu et, bien que je réalise que c'est un domaine d'homme, qu'il y a des divisions, la ligne de 10 verges, la ligne de 20 verges et ainsi de suite, et que le but bien sûr est d'atteindre l'autre côté et d'y rester, d'y revenir aussi souvent que vous pouvez, à n'importe quel prix, l'idée étant de ne pas laisser l'ennemi gagner le contrôle. Ne laissez pas l'ennemi gagner du terrain sur vous.

Si vous étiez en train d'escalader une montagne, vous la verriez comme ne perdant pas de terrain, c'est-à-dire, ne glissant pas vers le bas. Je dis qu'il est mieux de ne pas progresser que de régresser. Alors, gardez votre santé mentale, mes chères, pour ne pas perdre pied et aussi parce que cela peut aider celles qui l'ont perdu. Il en est de même pour ce recrutement auquel je me référais, je suis ici pour solliciter votre amour, votre aide, votre attention et peut-être aussi votre patience afin que vous sachiez toutes que cette folie, ce règne de terreur, n'est pas terminé, en fait il n'a pas encore atteint son sommet. Je parle en général et pas de cas particulier ici, alors s'il vous plaît, n'ayez pas peur.

Je suis seulement en train de dire que vu dans l'absolu, nous observons cette planète et tous ceux qui en font partie, ses habitants notamment, tous soumis à des ondes de cette chose et ceci nous mène au prochain sujet : les ondes. Ondes, certainement. Ondes d'énergies, mais énergies de qui? Que des énergies humaines évidemment. Des ondes générées par le mental des humains, qui est embrouillé, coupé de sa source divine, temporairement perdu, égaré, effrayé et par conséquent, rendu fou.

Je ne parle pas ici de définitions cliniques. Je me réfère à la santé mentale émanant de l'amour, de la paix et, dans un sens, de la relation au divin; et la folie, c'est l'absence de cela. Donc, redéfinissons la santé mentale et la folie. Et que ce soit clair que cette guerre sera gagnée. En parlant de guerre, cela me reporte en arrière aux jours de la Grande guerre, et croyez-le ou non, à une très effrayante circonstance, avec les bombes tombant sur Londres.

Nuage Rouge (Red Cloud, mon guide) me fit monter sur le porche d'un bâtiment bombardé, pour m'adresser à tous ces gens qui cherchaient dans les décombres peut-être leurs proches bien-aimés, et déclarer : « Cette guerre ne sera pas perdue! Le prix qui a été payé en sang ne l'aura pas été vainement! Courage, cher peuple, et ne permettez pas à l'ennemi de nous vaincre, en abdiquant de vos trônes de foi personnelle, de pouvoir, d'équilibre et de santé mentale. » Et ce furent les mots que j'utilisai. Difficile à imaginer que je serais ici à nouveau à répéter la même chose.

Considérez cela. Mes chères, considérez-le. Vous devez faire attention de ne pas vous plonger dans une telle dégringolade émotionnelle. Car vous savez que c'est toujours une question de choix, n'est-ce pas? Oh! Oui. Cela ne veut pas dire que nous jugeons nos camarades, certainement pas. Au contraire, la pitié n'est que plus grande car ils n'ont pas la lucidité, la prévoyance de voir où, dirions-nous, leur résistance à se contrôler a mené. Ne le faites pas, mes très chères. Tenez votre place. Ne cédez pas à la tentation d'agiter vos mains en l'air et à vous comporter en aliénée. S'il vous plaît. Cela ne fonctionne pas, n'aide pas, ne guérit pas, n'aime pas. Cela ne s'inquiète de rien. Ne le faites donc pas, je vous implore. Soyez aussi saine que vous l'êtes car toute chose s'engendre d'elle-même, vous savez, par la loi cosmique du momentum. Ce que vous êtes, EST, et s'accroît constamment. Ainsi, si vous deviez choisir la folie, eh bien, sachez à quoi vous attendre. Regardez ceux qui font du ski. Peuvent-ils s'arrêter ?

Mes chères, ceci est le dernier obstacle sérieux pour notre planète avant d'atteindre son illumination. C'est l'antithèse de l'illumination, n'est-ce pas ? La folie. Quel est son opposé, si ce n'est celui d'un être de lumière, si on pense en termes d'opposés de tout. Bien évidemment quelqu'un non seulement pas illuminé mais assez fou et loin de la paix et de la joie qui caractérisent toujours la présence de la vision divine.




Version Audio en anglais : Téléchargement de l'Audio


Estelle Roberts, voir son autobiographie : Fifty Years a Medium - New Age Spiritualist Mission

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire