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lundi 27 juin 2016

À la portée des femmes : formules à sonorités magiques



Le bonheur travaille les jours de fêtes, fort, possible. Les petits bonheurs les ont faites, ces femmes. Le bonheur ne manque pas à son devoir de première clémence intérieure. Il tient dans ses poches les bateaux et les canots des fleuves difficiles. Brillant le mât féminin. Aucune obligation n’existe au bonheur : il émane des ressources plus ou moins enfouies. Parfois, ses poches sont vides, subtiles, puissantes, féminines. Une odeur rassurante encadre proprement ce qui se chante. Cela même fédère l’énergie des spirales telle une lemniscate. Dans les bois, les prés, les clairières, les sources naturelles, la muse retrouve sa force féminine. Un contraste dense brille comme une étoile nuit et jour. Un vrai bras droit. Troubadour transpercé par un canal qui jongle de coffres forts sur la ligne de mire. Le bonheur est un sérieux charnel de vanille et de cannelle, une résonance canalisant tous les agendas. Il s’étale sur le corps, sur les bougies, sur les branches des sapins et sur le temps qui passe. Sans force pathétique, il est moins courbé qu’une merveille. C’est un coffret décoré tout simplement. Un cadeau sans clé. La clé des femmes réside dans le subtil, au regard des « émanants ». La puissante force féminine se complète avec ce qui se présente devant : un joli paysage, présage.



La force du bonheur s’exprime sans pause, jusqu’au but. Il se déverse sur la buée légère des femmes.

Le bonheur est la première des pommes, le premier marché conclu. Il rencontre les centres dans leurs profondeurs. Il confie au cœur comment sauver les raretés. Il encense les songeurs, juste pour mieux cerner leur adaptabilité. Il garde un œil plus fort que la mort. Il chuchote à l’oreille qu’il est là pour qu’on brille ensemble. Il ne cadence pas les couleurs. Chaque timbre émane à la bonne heure ! Magnifiant l’inattendu, il se projette pourtant. Vous en buviez au cinéma autant que possible, sans doute ! Alors que d’autres femmes émanent hors de vos écrans. Savez-vous ce qui vous fait vibrer ? Ce qui vous met en extase ? Là sont les secrets.

Le bonheur se répète. Le bonheur déboute. Le bonheur aime toutes les routes. Chez les femmes sauvages, il s’anime et danse mélodieusement. Tout s’expose en adéquation avec ce qui résonne le plus pour présenter les plus beaux cadeaux : son authentique réalisation. Dorlotée après les tempêtes de la tristesse et des changements, la femme émane du subtil.

La voie ouvre les secrets sur de splendides messages, pleins, sans piratage. C’est une aventure qu’on sait et qu’on ne cache pas : échanges humains, douce chaleur des câlins, des chéris, des frangins. Sa réceptivité n’aime pas être attendue de façon explicite. Au-delà des attaques, des violences, la femme émane. Si affaiblie par quoi que ce soit, la femme recherche ses rayons dans ses souvenirs, dans ses pas.

Vénus mange, même si c’est une planète. Le bonheur, conservé sur clé USB, met de l’ordre dans 5 000 vers. Il rend hommage au grand Père, aux ancêtres. La femme est un grimoire ouvert, un bois de hêtre.

Nourriture des anges. Le bonheur sans obligation, tu prends ça pour un dû ? Le bonheur comme ressource inépuisable, le connais-tu ? Pour te sentir mieux ? Le bonheur est avant tout, honnête. Un plan sur la comète ? Le bonheur ramené à soi. Peu importe son prix et celui de l’eau de rose, d’oranger, de l’eau claire purifiée, de l’eau de source naturelle. Le bonheur, un inconnu ? Un coloré ?

Haut bonheur, la mélodie qui nous réveille de nos silences par des éclats de rire. Le bonheur appelle ! Rappelle-le ! Le bonheur traverse la salle pour complimenter tes merveilles. Le bonheur à la pelle ! Un rappel : que tu es belle ! Reviens-nous vite ! Qui sait esquisser le bonheur de bonne humeur ? Quelque chose de simple ! Une feuille. La plume d’une femme ou d’un homme réalisé.

J’attire le bonheur et sa force subtile. Tout s’écarte pour laisser place au bonheur, haut bon cœur. Bonbonne aux petits cœurs pour cette femme au cœur gauche. Allumez la lumière, la lumière, les lumières ! La joie n’est pas une ringarde prière. Elle ne perd pas ses vers.

Épiphyse du prince de l’air : diamants et cristaux coulent des lignes des prés verts. Le bonheur s’en va vers… ceux qui galèrent. Il fait de son maximum au summum. La force féminine se cache dans la douceur, l’accueil inconditionnel pour rebondir sur chaque passerelle. Aime ses années ! Émanez de l’essence christique oriflamme ! Invulnérables archétypes d’élixirs druidiques. Les recettes sont dans ces cocktails au son des lettres hébraïques. L’unique recette se trouve dans un ensemble. Le nôtre.

Fbk : Ae-Lem Lep Mêle, Poétique Alambiquée sur le magazine N° 41 http://www.revedefemmes.net

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